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Dimanche, matchs...
Nous émergeons vers midi. Je suis sur le côté, la tête contre l'épaule de Mika. Lorsque je le vois, je fonds de bonheur : une chaleur m'envahit et je sens des larmes de bonheur couler sur mes joues.
Lorsqu'il ouvre les yeux, je lis de la panique. Il me repousse sans ménagement, se lève, cherche frénétiquement son slip, se " rhabille " et quitte la pièce sans un mot.
Ça me blesse. Je commence à comprendre un peu : s'il n'a pas de problème pour que les copains connaissent mon orientation, il n'est pas prêt à faire son propre coming-out. Son comportement macho au salon hier soir est probablement lié à ça.
Je m'assois au bord du lit et tente de réfléchir à tout ce qui s'est passé depuis hier soir. Tous les mecs se sont fait plaisir avec moi. J'ai pris mon pied aussi. J'imagine que c'est normal quand on est gay : dans tous les pornos y'a toujours un mec dont les autres se servent pour leur plaisir, un mec qui se fait sauter par tous les autres.
Je suis ce mec-là. La lope de service.
Ce n'est pas tout à fait ce que je voulais, mais je suppose que c'est comme être gay : on ne choisit pas.
Je repense alors à la visite de Medhi puis à celle de Mika. Je suis certain que Medhi n'en n'était pas à son coup d'essai avec un mec. J'avoue que lorsqu'il m'a pris, le plaisir était bien plus intense qu'avec les autres, même Mika. Je me surprends à espérer qu'il remettra ça la nuit prochaine... ou même dans la journée.
Quant à Mika... Je peux vivre dans le secret, ça fait tellement longtemps que je ne dis rien de mes envies, alors cacher à mes proches ma relation avec lui, ce n'est pas grand-chose. Je me demande juste si je dois lui dire pour Medhi ou bien si je dois garder ça pour moi. Et puis... Ne suis-je pas censé être fidèle à Mika ? En même temps, c'est lui qui m'a livré aux autres pour... qu'ils me sautent tous. Je sais pas trop du coup... Perso, je préférerais... Heu... Me les taper tous ? Ou vivre juste une belle histoire avec Mika ? Putain : je sais pas quoi faire !!!
Je me lève alors, retrouve mon boxer et ramasse la serviette un peu rêche à cause de tout le sperme que j'ai mis dessus cette nuit. Je sors et me dirige vers la salle de bain qui est vide. Je me douche rapidement en espérant une visite inattendue : j'ai laissé la porte entrouverte exprès. Mais personne ne vient me tenir compagnie. Dommage.
Une fois propre, je m'habille. Comme on a prévu un tournoi de bad(minton), je mets un t-shirt blanc, un pantacourt noir nike et une paire de puma en cuir blanc.
Je descends. J'ai un peu d'appréhension : que va-t-il se passer ? Vont-ils vouloir me baiser à nouveau ? Vont-ils me virer ? Se foutre de ma gueule ? Je me rappelle les histoires de lope qui suce tous les mecs avant le petit déj'... Faut que je fasse gaffe sinon je vais bander...
J'entends les conversations et les rires en provenance de la cuisine. La conversation porte sur notre entraineur qui est vraiment à la ramasse depuis quelques mois : sa femme l'a largué. Ouf ! Au moins, ce n'est pas de moi qu'il est question.
" Salut !, dis-je en arrivant dans la cuisine.
- Tiens la marmotte !
- Ca fait un moment qu'on t'attend tu sais !
- Tu veux du café ?
- Oui avec plaisir. Vous auriez dû me réveiller !
- T'inquiète, c'est pas comme si on avait un planning ! "
Je suis soulagé de voir que la conversation redémarre normalement, sans allusion.
Ouf !
Pendant que Mika et Kevin installent le pauvre terrain de bad (un filet tout pourri acheté chez IKEA), je papote avec Fred, Medhi et John. Toujours aucune réaction négative. Je préfère éviter de faire allusion à la soirée dernière et ce qu'on a fait.
On était tous biens bourrés et leurs souvenirs sont peut-être un peu flous.
On tire les équipes : je me retrouve en binôme avec John qui porte sa tenue de tennis habituelle. J'ai de la chance car il a un peu joué en club (de bad) avant de se consacrer au tennis. On prépare le tableau des rencontres : trois matchs puis la finale pour les deux meilleures équipes (écart de points).
On tire au sort ! Nous jouons contre Fred et Medhi. Il fait chaud. On joue pendant près d'une heure. Le match est disputé. Au bout de 20 minutes, j'enlève mon t-shirt, suivi bientôt par John et Medhi. Nous l'emportons 21-13 / 14-21 / 21-17 !
Je suis rincé ! Je dégouline de sueur comme mes potes. On se rafraîchit : coca et eau fraîche. Nous nous félicitons mutuellement. Je trouve Medhi plus chaleureux qu'à son habitude, mais je me fais peut être des idées.
Au bout de vingt minutes de repos, c'est Fred et Medhi contre Mika et Kevin. John et moi nous installons au frais dans le salon.
John va chercher à boire et en me tendant ma canette me dit tout bas :
" Je suis désolé pour hier soir Yves. J'étais démonté et j'ai pas réalisé ce que je faisais. Mais pour moi ça change rien que tu sois gay.
- Merci, c'est cool. T'inquiète pas pour hier soir... C'était cool.
- Heu... Et ça fait longtemps que t'es gay ?
- Ben, depuis toujours je crois.
- Ah merde alors. C'est vrai alors qu'on choisit pas ?
- T'as choisi les filles toi ?
- Heu..., je le vois gêné.
- Tu vois... T'as pas choisi. C'est ta queue qui a choisi pour toi.
- Bah c'est clair ouais. Mais hier, elle t'avait choisi... Si tu vois ce que je veux dire.
- Une bouche n'a pas de sexe..., répondis-je en riant, content d'avoir trouvé cette réplique. "
C'est alors que je ne peux m'empêcher de jeter un oeil à son short blanc. Pas de doute : il bande. Il voit mon regard et comprend que je l'ai capté. Il rougit.
" Désolé...
- T'as envie toi..., dis-je d'un ton mi-accusateur, mi-taquin. "
Je réfléchis à toute vitesse. Les autres en ont encore pour une demi-heure au moins. M'être fait dépuceler a chassé toute pudeur et toute prudence... Et puis comme je suis la lope de service... Autant assumer tout de suite.
" Viens dans ma chambre... Je vais arranger ça."
Il ne répond rien mais me suit lorsque je prends la direction de l'étage. Dans " ma " chambre, je m'assois au bord du lit. John hésite un peu. Mais je suis brûlant de luxure à présent : j'ai envie de sentir sa queue dans ma bouche.
J'ai envie de sucer. Comme un camé avec un pétard sous le nez.
Comme il reste planté sur le pas de la porte, je me relève, lui prend la main et l'attire vers le lit. Je lui vole un baiser mais ce n'est pas son truc : c'est clair. Je me rassois alors et lui caresse le ventre : il n'a toujours pas remis son t-shirt. Son ventre est doux, ferme avec une fine toison blonde qui ressort sur la peau bronzée.
Je glisse ma main sur le short. Sa queue est de bonne taille (je commence à avoir des références). Il soupir de plaisir. J'embrasse son ventre et descends son short et son boxer. Une odeur de mâle se dégage de son entre-jambe. Ce n'est pas désagréable, je sais que ce n'est que l'effet du match et pas d'un manque de propreté.
Son sexe est raide, circoncis, dur contre ma joue. Je dépose des baisers sur la verge. De la pointe de ma langue je prélève la goutte de liquide transparent qui orne le gland violet et dur. John ne peut s'empêcher de gémir. J'avale alors son sexe aussi loin que je peux. Mon nez dans ses poils pubiens est envouté par l'odeur masculine.
C'est bon un sexe dans la bouche.
C'est dur et doux à la fois.
Fragile car le moindre coup de dent peut conduire à la catastrophe. Je le suce alors avec lenteur et plaisir. John ne peut s'empêcher de gémir bruyamment. Cela m'encourage : j'adore l'idée de lui faire du bien.
Je place mes mains sur ses fesses fermes et musculeuses. Il accompagne ma suce d'un léger mouvement du bassin. Il a les yeux fermé, la tête renversée en arrière. Au bout de quelques minutes je l'entends dire :
" Putain je... "
Je ne réfléchis même pas : je continue à le sucer jusqu'à ce qu'il emplisse ma bouche de son sperme.
Il est généreux dans son éjaculation et je n'arrive pas à tout avaler d'un coup. Il reste planté devant moi, surpris et content.
Sa queue ne débande pas.
Je le regarde avec un sourire amusé. Il me sourit : " Merci... Je sais pas dire pour les autres, mais c'est trop trop bien comme tu fais. "
Il n'en faut pas plus pour que je reprenne sa bite en bouche et reprenne une fellation intense. John pousse un cri de surprise suivi d'un " Mmmm " de plaisir. Je pensais qu'il serait plus long à venir mais non : il faut deux ou trois minutes pour qu'il jouisse de nouveau et une sacrée dose à mon avis. J'ai la bouche à nouveau emplie de sa sève de mec.
Je comprends le visage épanoui des mecs qui se font jouir dans la bouche dans les pornos ! C'est tellement bon.
Cette fois, il se recule... Comme s'il avait peur que je le pompe une troisième fois. Remarquez, si je n'avais pas une crampe dans la mâchoire je pourrais bien le faire.
Je prends alors un malin plaisir à glisser mes doigts autour de l'élastique de son boxer et de le remonter lentement. Je me lève en même temps pour glisser mes mains sur ses hanches pour que le boxer soit parfaitement en place... sans plis. C'est trop beau une queue dans un beau slip net, sans plis, bien moulée... Je procède ensuite de même avec son short en plongeant mon regard dans le sien. Lorsque le short est replacé, je caresse ses fesses et les tâte doucement.
John, rouge comme une pivoine, me dit :
" Tu sais... Je suis pas gay moi...
- T'inquiète, je sais. Ça reste entre nous... Quand t'as envie... Ben... Fais-moi signe.
- T'es cool... Mais je veux pas te manquer de respect. T'es pas obligé. "
D'un petit coup de langue je nettoie la commissure de mes lèvres où je sentais quelque chose. La saveur m'informe que c'était du sperme.
" Si c'est moi qui te propose... T'as pas à t'en faire, et je lui vole un second baiser. "
Nous redescendons dans le salon où nos amis ne se sont même pas aperçus de notre départ. Nous reprenons nos places dans les fauteuils et reprenons nos verres.
Je me perds dans la contemplation des bulles de mon coca : qu'est-ce que je suis en train de faire ?
Je me tape tous mes potes les uns après les autres.
Entre ceux qui me veulent et ceux que je provoque...
Je me dis que c'est mal, mais j'ai le ventre en feu dès que je pense à l'un ou l'autre et mon sens moral est étouffé par ma libido enfin libérée.
Le second match est remporté par Medhi et Fred. Si John et moi l'emportons, nous les retrouverons en final car ils ont battu Mika et Kevin en deux sets.
Ils prennent une pause de vingt minutes. Nous buvons et papotons comme si de rien n'était. Lorsque je vais chercher le matériel avec Kevin, celui-ci me glisse discrètement à l'oreille qu'il est aussi désolé pour la veille et qu'il ne faut pas lui en vouloir, ni m'inquiéter car ça ne change " rien " entre nous. Je réussis juste à lui glisser : " Rien si ce n'est que tu m'as enculé... "
Et je le regarde avec un grand sourire et un clin d'oeil.
Je vois un réel regret sur son visage et ses yeux évitent les miens : " T'inquiète, je t'en veux pas."
Bien au contraire... Ajouté-je dans ma tête.
Nous ramenons alors le matériel à nos partenaires et entamons le match. Mika évite systématiquement mes regards : ça nous aide à les écraser. Mika est tellement maladroit qu'il finit par se prendre la tête avec Kevin.
Toujours est-il qu'après ce match, nous retrouvons Medhi et Fred en finale. Hélas, ils gagnent. J'ai été très mauvais sur cette dernière rencontre. Evidemment, John ne peut s'empêcher de dire alors que je rate une fois de plus mon service : " Putain tu vas arrêter de servir comme une tapette ! ".
Là je ne peux m'empêcher d'exploser de rire. Se rendant compte de sa connerie, John éclate de rire à son tour suivi de Mehdi. Mika fait semblant de rire. Il semble adopter la posture de l'hétéro choqué de découvrir le gay du groupe.
Il m'agace.
Bref... Lorsque le match est fini, nous nous retrouvons tous dans le salon autour d'une bonne bière. On déconne, on délire sur des conneries et même sur les nanas. L'idée de faire un bowling sur la Wii émerge. Personnellement ça ne me branche qu'à moitié. Je n'aime pas trop la compétition virtuelle... Surtout parce que je suis assez manche sur ce genre de jeu.
Comme prévu je suis rapidement classé bon dernier. Kevin, en hôte attentionné, fait la proposition suivante :
" Le vainqueur aura une bouteille de champagne de la cave de mes vieux !"
Tout le monde réagit avec enthousiasme.
" J'en ai déjà eu hier ! C'est pas ça qui va me motiver !, dis-je en riant.
- Ben qu'est-ce tu proposes ?, répond-il un peu vexé.
- Ben comme je vais perdre de toute manière... Je taille une pipe au vainqueur ! "
Ils éclatent de rire et me demandent d'arrêter de déconner ! Mais j'insiste et finalement c'est entendu : le vainqueur aura sa pipe. Mika tire une gueule de 36 pieds de long. Mais je m'en fous, c'est bien fait pour sa gueule. Puisqu'il veut me faire passer pour la tapette du groupe... J'irai à fond.
Du coup, la partie devient carrément intéressante. Curieusement, aucun n'essaye de mal jouer pour perdre. Les lancés ratés font réagir plus intensément. Je me rends qu'ils ont tous une sérieuse envie de se faire pomper. Comme quoi, les mecs de 18 ans ont tous le cerveau dans les couilles.
Finalement de manière assez logique, c'est Kevin qui l'emporte : propriétaire du jeu, c'est lui qui le connait le mieux. Bien que maigre c'est un beau mec. Son visage ovale est bien proportionné comme son corps : sec et dessiné. Comme les autres, j'ai fantasmé de nombreuses fois sur lui.
Il vient vers moi. Va-t-il me demander de le sucer devant les autres ? L'idée même m'excite...
" T'inquiète, je ne te demanderai pas ma récompense. T'as pas à faire ça, me dit-il en me tendant sa main à plat. "
Automatiquement je tape avec la mienne.
" Et si on préparait le barbeuk !, crie-t-il à la cantonnade. "
Je réalise alors que les autres semblaient avoir oublié de respirer. Il réparti alors le travail : Mika et John au feu, Fred et Medhi aux brochettes, lui et moi pour aller chercher la picole et préparer la table.
Tout le monde commence à s'affairer. J'accompagne Kevin à la cave pour choisir le vin et remonter de la bière.
" Tu sais, je suis vraiment, vraiment désolé pour hier, commence-t-il.
- Je sais mais bon, c'est comme ça : on était tous beurrés et j'ai pensé qu'en me laissant faire ça se passerait mieux qu'en résistant.
- Ch'ais pas. C'est vrai qu'on est con quand on est bourré.
- Le QI du groupe est celui du plus bête divisé par deux... non ?
- Ouais... Ben ça va pas voler haut avec nous.
- Yep ! Mais bon, tout à l'heure, j'étais plus bourré.
- Hein ?
- Pour ton prix... "
Il me regarde alors avec surprise.
" T'es sérieux ?
- Ben tu sais... Je suis pédé et j'aime les beaux mecs.
- Chuis pas gay moi !
- Ca t'a pas gêné hier... T'as pris ton pied comme les autres non ?
- C'est pas pareil... "
Je le vois troublé... Mais je vois surtout son pantacourt se déformer entre les poches. Sans même me rendre compte de ce que je fais, je porte ma main sur sa queue.
" Moi j'en ai envie... Tu veux pas me faire plaisir ?
- Je... Tu... Non ! Enfin si ! Mais...
- Personne ne le saura si c'est ça qui t'inquiète...
- Non mais... "
Je le bâillonne doucement de ma main et glisse l'autre directement dans son slip. Son sexe est bandé et chaud. Doucement, je commence à le branler. Puis je me mets à genoux libérant sa bouche. Il retient sa respiration.
A genoux sur le béton dur, je descends son pantacourt et son slip. De nouveau l'odeur puissante du sexe de ce mec dissout toute timidité et pudeur chez moi. Je prends plaisir à sentir le lourd sexe sur mon visage alors que je lèche ses couilles. Je passe ma langue entre ses cuisses et goûte la saveur salée et acide de sa sueur. Je bande moi aussi comme un taureau.
Une fois sa bite enfournée dans ma gorge, c'est un feu d'artifice de plaisir dans mon ventre. Je goûte chaque millimètre de cette queue. Kevin a enfin repris sa respiration pour haleter au rythme de mes caresses buccales. Il a les épaules contre le mur, le bassin bien en avant. Il commence à prendre goût à la situation et finit même par me donner des encouragements : " oui vas-y, c'est bon, continue, mmmm trop bon... "
Il prend son pied et moi aussi. Je sors ma queue et me branle tout en le suçant. Il ne faut plus que quelques minutes pour qu'il jouisse. Alors que je sens son sexe se raidir et prêt à expulser sa purée, il se retire de ma bouche et jute par terre.
Je le regarde effaré ! Ce n'est pas ce que je voulais. Je reprends son sexe en bouche pour avoir les dernières gouttes de sperme. Je finis de me branler avec son sexe en bouche. Je jute à mon tour par terre et abondamment : ça fait un bruit de geyser lorsque mon sperme s'échappe de ma queue.
Une fois calmé, je relâche ma proie. Kevin me regarde avec une profonde surprise teintée de... mépris ? Je me lève et je le regarde droit dans les yeux :
" C'est aussi mon plaisir tu sais... Merci à toi.
- Non c'est moi... Mais si tu kiffes, hésites pas hein... en scred... ok ? Répond-il.
- C'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. "
Nous remontons quelques instants après avec une caisse de bouteilles. Je vois que Mika nous regarde de travers. Ca m'amuse. Je me rends compte que je me suis tapé presque tous mes potes une deuxième fois depuis hier soir.
Ne manque que Fred.
[ Merci pour vos mails qui me sont toujours très précieux. Si la suite vous intéresse, dites-le moi ! Et je réponds toujours aux messages.]
Yopi
yop_ex@outlook.fr
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