Premier épisode
Chapitre-2
« Tu vas revenir au club ? Il me semble que tu avais bien apprécié ta première séance non ? Le beau Loïc ne t’avait pas laissé indifférent. Et Emmanuel m’a posé la question aussi, de savoir si tu allais m’accompagner. On a une séance ce soir ». Les propos de ma sœur Dominique ont traversé son appartement pour m’atteindre tandis que je me prélasse dans sa baignoire. Dans l’appartement que je loue à Mohammed, il n’y a qu’une douche. Je viens donc prendre mes bains chez ma sœur. Du moins quand son compagnon est en déplacement pour le boulot. On retrouve ainsi notre complicité sœur-frère débutée quand nous étions étudiants. Le temps que je lui réponde, la voilà qui entre dans la salle de bains. Elle s’assied sur le rebord de la baignoire et, coquine, plonge sa main dans l’eau pour me saisir la queue. Elle me chatouille sous l’eau mon sexe épilé. « Tu es vraiment excitant mon Damien avec ce corps épilé. Pas étonnant que tu donnes faim au
x hommes et aux femmes mais elles tu t’en fiches. A part moi, bien sûr » me dit-elle d’un rire joyeux tout en faisant glisser sa nuisette. Nue, épilée comme moi, elle a un corps plutôt androgyne et ses lèvres laissent voir son gros bouton clitoridien. D’un bond elle enjambe le bord de la baignoire pour me rejoindre avant de me savonner. Lève-toi pour que je te savonne le dos et ce beau petit cul. Ses mains écartent mes fesses et dévoilent mon œillet. Mon trésor intime dans lequel mes amants aiment s’introduire avec fougue. « Alors, tu viendras ce soir ? On a une séance. Je peux passer te prendre au boulot » insiste-t-elle. Encore émoustillé par la première séance, j’accepte.
Que la journée passe lentement quand on attend sa fin. 17 h 30, Dominique m’attend sur le parking. Je monte avec mon sac de sport. « En route frérot. Impatiente de te mater avec ton legging moulant en train d’exciter les autres. Tu sais que le vieux François m’a demandé aussi tes coordonnées ? Malgré ses 75 ans il aime encore se vider dans un petit cul comme le tien. Et toi qui aimes les poils blancs tu dois avoir envie non ? » « Si tu commences à m’exciter je vais arriver en érection » je lui réponds, tandis qu’elle rigole comme une ado. Sur le palier de l’appartement qui sert de salle de yoga, mon cœur bat la chamade. Et c’est Emmanuel qui ouvre, sourire aux lèvres en me voyant : « Ah, Damien nous est revenu. Merci Domi de l’avoir convaincu. »
Après avoir laissé Emmanuel m’embrasser sur la bouche tout en palpant le cul je vais me changer dans la petite chambre. Suivi par Emmanuel, notre cher professeur de yoga. J’ai encore tant à apprendre. « Ah Damien, pas la peine d’enfiler ton legging, on a décidé cette séance de pratiquer les exercices nus. » Ma sœur s’est déjà déshabillée et part rejoindre les autres, tous nus. De loin, je mate ma sœur qui parle à madame Rosa, vieille lesbienne qui est déjà occupée à la peloter, la main sur son sexe. De loin Loïc m’a vu et me fait signe. Wow, le revoir nu avec son corps laiteux et sa foufoune rousse autour du sexe me redonne des pulsions érotiques. Sans rien dire il me serre contre lui pour m’embrasser, sa peau chaude contre la mienne. Sa main gauche se glisse dans ma raie et je sens un doigt se faufiler dans mon petit trou. « Les amoureux, je pense qu’il serait préférable de vous apaiser avant la séance, pour mieux rester concentrés. Vous perme ttrez seulement que l’on profite du spectacle » dit Emmanuel. C’est vrai que je suis en chaleur comme pas possible. Loïc m’invite à m’allonger sur le tapis de sol. Sur le dos, je replie mes jambes bien haut, écartées. Livrant mon intimité à la vue de tous. Dont ma sœur qui s’est placée en bonne position pour mater l’accouplement avec Loïc dont la verge bien dressée n’attend que de pénétrer ma petite fente étoilée. Loïc se couche sur moi et me caresse le cou, les seins tandis que son gland se glisse dans ma raie, trouve mon petit trou avant de s’y engouffrer. Comme d’habitude la douleur se montre vive quand mon anus se doit de laisser entrer un phallus de belles dimensions comme celui de Loïc. Mais la douleur de l’enculage s’estompe rapidement et les coups de rein de Loïc m’excitent. Les cris d’encouragement du public rassemblé autour de nous lui donnent envie de me besogner sans douceur. Je me sens si femme dans les bras de Loïc. Sa bouc he est soudée à la mienne, sa langue s’enroule autour de la mienne. C’est délicieux et être exposé aux autres me pousse à me donner davantage à Loïc. Il s’est retiré et m’invite à me mettre à quatre pattes, jambes un peu écartées. Il me prend en levrette tandis que le vieux François s’est approché et sans honte commence à me traire la verge comme si j’étais une vache. Je ne tiens pas longtemps, je jouis. Un long jet de foutre est projeté au sol. Mais le vieillard n’arrête pas et continue. Je jouis encore un peu mais je sens mon gland devenir bien sensible. Mon partenaire s’en fiche et continue à me masturber sous les encouragements d’Emmanuel.
Ce mélange de plaisir et de douleur me fait gémir, d’autant plus que je vois ma sœur jambes ouvertes, une tête, cette de Rosa, en train de sucer son con. La séance est en train de devenir une partouze. Emmanuel est en levrette lui aussi, enculé par un sexagénaire dont je mate le gros cul poilu du blanc en train de s’agiter sous les coups de queue. Emmanuel crie comme une fille en réclamant encore à son amant. Plus loin, deux hommes se sucent en 69 sur un tapis. L’atmosphère sent la sueur et le foutre. Les corps nus luisent et les jets de foutre se succèdent. Ma sœur a joui elle aussi et demande au vieux François de la prendre. Elle aussi apprécie les vieux messieurs aux poils blancs. Comme un rappel à notre voisin quand nous vivions encore chez les parents. Loïc a joui en moi et s’est retiré. Sans rien dire, il se place lui aussi en position pour que je lui donne du plaisir. Comment lui refuser ? Et encore en érection je le pénètre. Son petit trou est chaud, élastique. Mon gland est suivi par toute ma verge. Mes testicules claquent contre ses fesses. On n’entend presque que nous dans l’appartement.
Et soudain, un coup sur la porte nous surprend tous. Le calme se fait. Emmanuel, rouge pivoine, enfile un peignoir et va ouvrir. C’est le voisin de palier, furieux, qui vient se plaindre de nos cris. Comment lui donner tort à ce pappy ? Il faut voir sa tête quand il nous voit tous à poil en train de baiser. « Voulez-vous entrer Henry ? Désolé pour le bruit mais ma petite séance de yoga a dérapé aujourd’hui. Mais si vous voulez vous joindre à nous, vous êtes le bienvenu » lui explique Emmanuel, qui a laissé tomber son peignoir, offrant la vue de son corps à son voisin. « Bien volontiers, j’avoue que ma solitude ne me laisse pas beaucoup d’occasions de baiser » lui répond Henry tout en se déshabillant. Nu comme un ver, le corps recouvert de poils blancs, il nous mate et son regard se pose sur Loïc et moi. « J’ai très envie de ce couple » dit Henry en nous montrant du doigt. Je pense que mon apprentissage du yoga ne se fera pas cette fois me dis-je tout en me mettant sur le dos pour accueillir le voisin dont le sexe est déjà bien dressé. Je vous raconterai tout cela dans un prochain épisode.
Colinot
tonlibertin@netcourrier.com
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