Premier épisode
Chapitre-2
« Damien, Damien ! Réveille-toi !» Une voix et une main pour me secouer suffisent à m’éveiller et me sortir de ce rêve. Avec cette longue balade pour arriver dans cette maison je me suis endormi sur le lit. Je suis habillé. Tout n’était qu’un rêve ? J’ai pourtant vraiment cru entendre ces voix. Mais au-dessus de moi seul le vieux garde-chasse me sourit. « Je suis revenu sur mes pas pour voir si tu allais bien mon petit Damien. Et je t’ai trouvé endormi sur le lit. Je dois dire que la vue de ton petit cul moulé dans le cuissard m’a excité » me dit le garde-chasse dans un grand sourire. Désormais bien éveillé, je lui raconte mon rêve, ce déshabillage forcé. Lui me regarde de son air de grand-père bienveillant. Son regard posé sur mon sexe, en érection sous mon cuissard. Comme à chacun de mes réveils. Je comprends la situation et d’un geste je me débarrasse de mon cuissard puis de mon sweat-shirt pour offrir mon corps nu à la vue de mon hôte. Sans attendre ses demandes je me couche sur le dos, jambes relevées sur le ventre. Nul doute que la vue offerte sur mon petit trou doit lui donner envie de me posséder. Mais il a l’air préoccupé, jetant des coups d’œil réguliers par la fenêtre.
« Merci pour cette offrande Damien. Je vais l’honorer mais sans trop tarder. Dans le village on sait qu’il ne faut pas traîner dans les parages quand tombe la nuit. Plusieurs chasseurs ont vu des lumières dans la maison et des formes lumineuses autour de l’étang » me dit le vieil homme, tremblant. « Des formes lumineuses ? Elles ressemblaient à quoi ? » Ma question le fait frissonner. « J’ignore s’ils disaient la vérité ou pas mais ils parlaient de formes masculines, de corps masculins nus. Tous du même physique que toi. Mince et petit » répond-il tout en baissant son pantalon et son slip. Rapidement le voici qui se couche sur moi pour me ramoner l’œillet. Quelques coups de reins suffisent pour qu’il fasse gicler son foutre en moi. Fébrilement il décule et se rhabille. Puis il me fait ses adieux pour ce soir. « J’ai adoré ce moment et la saveur de mon enculage mais je dois y aller. Je ne veux pas que ma femme s’inquiète de ne pas me revoir » me déclare-t-il. Nu, couché sur le lit je le regarde partir. Par la fenêtre je le vois quitter les lieux d’un pas pressé. Sans se retourner. Bientôt il n’est plus qu’un point dans le paysage. Me voilà seul. Nu comme un ver. Etrangement il ne fait pas froid dans la maison. Au contraire. Et cela ne me pousse pas à me rhabiller. Mon sexe est encore humide et je sens que du foutre coule le long de mes cuisses.
Et si je repartais à la découverte de la maison, désormais mienne pour le week-end ? Le silence des lieux est brisé par des bruits étouffés, ceux du bois qui travaille. Des questions me taraudent. Si je me suis endormi et que j’ai rêvé, qui a allumé les cierges dans la chambre ? Et qui m’a guidé jusqu’à elle ? Tout à mes pensées je déambule dans les étages. Une porte ouverte m’attire. Et la surprise me prend à la gorge dès l’entrée : une salle médicale complète semble m’attendre. Une table de gynéco avec les étriers ouverts m’invite à monter dessus. Mon corps nu avec les jambes ouvertes m’excite. Et me rappelle les visites au dispensaire et les doigts du docteur ben Ali. Etrangement, il n’y a pas de trace de poussière sur la table comme sur les meubles. Sur une petite table se trouve une sonde anale reliée à une petite batterie. Et si j’osais ? J’ose. Je la prends en main et je me l’enfonce dans mon anus. Puis j’essaie la batterie.
Une décharge électrique dans ma croupe me fait sursauter. Diable, la batterie est encore chargée. De plus en plus étrange. Je décide de m’amuser et je remets le courant. De plus en plus fort. J’ai bon, je crie, je hurle sous les décharges électriques. Cela me rappelle les jeux SM vécus avec mon maître quand j’étais ce disciple à initier. Des pinces sur une autre table sont appliquées sur mes tétons et mon prépuce, reliées à la batterie elles aussi. De la douleur immédiate se fait jour, un plaisir de subir. Le pied. Je sors ensuite la sonde de mon anus pour repartir à la découverte de la maison.
Et soudain, des cris me glacent le sang. Lointains mais bien audibles. Ceux de jeunes hommes. Apparemment soumis à un traitement douloureux. J’essaie de m’orienter pour les rejoindre. Guidé par le son. Et là, je me rends compte de ma vulnérabilité, de ma nudité. Je n’ai que ma paire de baskets comme habillement. Les cris se font de plus en plus fort au fur et à mesure de ma progression dans les couloirs. Ils semblent sortir d'une pièce cachée par une porte. Le cœur battant je décide d’entrer. Le spectacle offert me glace le sang tout en déclenchant une érection subite
Colinot
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