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Je voudrais insister sur un point, qui j'espère aura déjà frappé mes lecteurs. Ce que je raconte n'est en rien le produit de mon imagination, ni un simple défoulement de fantasmes sexuels, sur le thème du pouvoir de domination qu'exercent les mâles alpha. Évidemment, en racontant diverses expériences vécues, je n'ai pas, non plus, la moindre prétention littéraire, même si je m'efforce de prêter la plus grande attention à la grammaire et à la syntaxe de notre langue. Il s'agit en vérité d'histoires vécues, récemment, mais qui font suite à un "apprentissage" particulièrement précoce. 18 ans D'abord, avec un cousin, puis avec un copain de classe, tous deux plus âgés que moi de deux ans. Car je n'ai pas décidé un jour de me convertir en esclave sexuel, par pur caprice ou curiosité, mais j'y ai été peu à peu amené, contraint, par ceux qui m'ont initié. Et toutes ces expériences successives ont finalement et définitivement façonné mes goûts sexuels, faisant de moi, à la longue, ce que je suis devenu aujourd'hui.
Il n'est pas facile de décrire ce qu'un garçon dominé ressent à l'égard de son mâle alpha, ni d'exprimer avec des mots évocateurs cette vénération absolue qui est parvenue chez moi à annihiler toute capacité de réflexion et toute volonté. Entre les bras de mon mâle dominant, je me transforme en une espèce d'interrupteur électrique ; je m'allume par instants. C'est lui qui fait en sorte que j'éprouve du plaisir, comme une lampe qui s'allume; il me fouette de sa main ou de sa verge pour que je me lance, ou pour me stopper, pour que j'aille plus vite, pour que je me comporte plus tendrement, ou bien que je sois plus lent, ou encore que je manifeste plus de désir...
Non, ce n'est pas facile de peindre ce regard suppliant que je présente à mon mâle alpha, le convertissant du même coup en l'homme le plus puissant et dominateur de la terre. Aux yeux de son subordonné, le maître est l'homme le plus beau qui puisse exister, une espèce de dieu vivant auquel il offre sa vie. En sa présence, et à quatre pattes, mes members ne sont là que pour me soutenir, me permettre de marcher comme un chien devant son maître. Sans la moindre pitié, comme tout parfait étalon couvrant et saillant sa femelle, il m'empale avec sa longue queue, l'enfonçant au plus profond de moi. J'entends le claquement de ses testicules contre mes fesses. Au début, la douleur est immense, quand il commence à me pénètrer, qu'il me défonce, qu'il me détruit, me brisant totalement par la violence de ses charges. Au cours de sa saillie, mon maître gagne en autorité, en confiance. Je m'en rends compte en écoutant sa respiration : elle s'accélère progressivement, devient plus sonore. Elle ressemble plus à celle d'un animal qu'au souffle d'un humain dans la satisfaction de sa virilité. Les claques qu'il me donne, sur la nuque ou sur les fesses, m'excitent au plus haut point, et elles ont à la fois le pouvoir de me calmer. Je devine ce que mon mâle attend de moi : je me cabre, tend mon cul en l'air, comme le plus beau des sacrifices d'amour qu'une chienne puisse offrir à son maître. Je sens alors s'écouler de haut sa salive : elle se glisse le long de ma raie... atteint mon oeillet, le rafraîchissant et le lubrifiant en même temps... Mon mâle continue de me fesser, de fourrer brutalement ses doigts dans mon trou; je sens que mon orifice est désormais humide et réceptif. Je devine très vite que son gland cherche à se faire de la place entre les deux globes de mon cul. Puis, les séparant largement, je sens qu'il atteint et pénètre le tube chaud de mon rectum. Au passage de cet énorme bâton de chair tiède, ma prostate me procure un plaisir incroyable, proche de l'orgasme, une jouissance si forte que, de ma verge, coule immédiatement un mince filet de liquide préséminal. Je suis devenu cette pute qui jouit du seul fait d'être possédé par son maître. Je vous le dis, c'est la pure vérité, douleur et plaisir vont de pair, sans qu'on puisse les distinguer. Quand l'un cesse, l'autre commence. Lui, mon mâle, s'excite en m'entendant gémir. Et quand il est sur le point d'éjaculer, qu'il a atteint le degré maximum de son excitation, le climax, son corps se tend derrière moi; il me plante son sexe le plus profondément possible, puis accélère le rythme de ses coups de reins. Il me triture les tétons, me plante ses dents dans le cou. Ses va-et-vient dans mon cul sont de plus en plus rapides et brutaux. J'ai envie de crier, mais, en plaquant sa main sur ma bouche, il m'en empêche, au risque de m'étouffer. Il semble même prendre un malin plaisir à me voir agoniser, le visage écarlate par manque d'air, au bord de la perte totale de connaissance. À ce moment-là, sa domination est totale, et mon abandon maximal. J'ai appris peu à peu à serrer mes sphincters, comme je le fais avec mes lèvres sur sa bite quand je le suce, comme le font aussi les muscles du vagin d'une gonzesse. Je bouge les hanches, je me cambre, je me tords, je remue en cadence les deux globes de mes fesses. J'écoute le souffle agité de mon mâle contre mon cou. Il m'étrangle en serrant ma gorge avec un bras. Je comprends alors qu'il va se vider : je détends l'anneau des muscles de ma rondelle, me dilatant au maximum pour que son foutre chaud s'immisce bien en moi. Mon orgasme débute d'abord dans mes entrailles, quand je sens sa semence chaude en train de se répandre; puis, il se prolonge, sans même avoir besoin de me branler, ni même de me toucher, seulement en relâchant la tension que j'ai accumulée. Je jouis en réalité à la seule pensée que mon mâle vient de juter dans mon ventre. Il reste encore quelques instants, le corps raide contre moi, sa queue plantée dans mon cul. Puis il retire sa verge, encore grosse mais plus molle, toute gluante de foutre. Mon cul est en feu. Ma rondelle, pourtant libre maintenant, ne se referme pas : elle garde encore le diamètre de cette énorme queue qui vient de la torturer. Au bout de quelques secondes, mon mâle se penche sur mon cul, écarte de ses mains les globes de mes fesses. Il regarde alors avec satisfaction et fierté son sperme couler, dans un flot épais et continu, se répandre sur mes couilles. Il adore ce spectacle. Il me l'a dit : il aime voir mon trou et mes testicules baignés de sa semence. Alors, avec son gland, encore gonflé de sang, il recueille son précieux nectar et le fait pénétrer à nouveau dans mon trou.
Rafael
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