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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Découverte -06

Quelques jours après mon dépucelage, en montant dans le camion un matin, François m'indique qu'il doit passer voir un client. Il me jette un coup d'oeil, sourit et ajoute " ça va, t'es douché ? Alors tu peux m'accompagner ! " Il gare le camion dans une allée et, quand nous approchons de la maison, la porte s'ouvre sur un homme en peignoir éponge blanc. François entre et je m'avance à sa suite. L'homme est plus grand d'une tête et athlétique. Ses yeux se fixent sur moi, il est rasé de frais et son menton brille. Comme son regard, son sourire a quelque chose d'appuyé. Ignorant tout de ce que nous sommes venus faire, je suis un peu absent et je mets quelques secondes à réagir à son " bonjour " puis à saisir sa main tendue. Or il la garde un instant comme pour m'attirer à lui tandis qu'il referme la porte et, dans cette proximité, je ressens sa chaleur et un élan contenu. J'entre à la suite de François et l'homme pose sa main sur mon épaule pour me contourner en proposant un café. Il sert trois tasses et échange avec François. Ses yeux ne cessent de revenir vers moi et je me mets à l'observer. Il est plutôt beau mec, la trentaine, cheveux courts. Lorsque François repose sa tasse, il lui demande " as-tu apporté les échantillons dont tu m'as parlé ? " François nous regarde alternativement, il sourit " non, j'ai oublié ! je vais les chercher, j'en ai pour un instant ", se tournant vers moi " attends-moi ici " et il tourne les talons. L'homme s'approche alors de moi en me regardant, il tend la main pour me retirer la tasse que je tiens encore et s'avance avec un sourire entendu " pendant ce temps, nous pourrions faire connaissance " Ses yeux plongent dans les miens et il attrape la fermeture de ma cote entre deux doigts. Je comprends enfin !

Mes yeux se dessillent sur un monde d'adultes de quête de partenaire de plaisir. Il doit lire ce changement car son sourire s'élargit et il me dit " viens ! " Il m'entraîne dans une chambre dont les rideaux laissent entrer un demi-jour. Il se tourne vers moi et plaque sa main sur mon paquet. Je m'empare de la glissière, dé zippe ma cotte, tire sur mon slip et mon mandrin de coquin bondit. Ses mains sont restées en suspens, ses yeux fixent ma queue, se relèvent un instant vers les miens puis replongent vers ma bite. Et soudain, elle est dans sa bouche et ses deux mains glissent l'une sur mes abdos quand l'autre saisit mes couilles comme on cueille un fruit. Trois glissades voluptueuses : ma queue coulisse lentement sur le velours de sa muqueuse chaude et humide, sa main hérisse peau et poils sur mon torse et l'autre enserre fermement mes boules et détend mes bourses.

Il se redresse et défait ma cote, m'arrache mon maillot, baisse à deux mains mon slip sur mes hanches. Je l'écarte d'une main et me baisse pour délacer mes chaussures et retirer tout à fait ma cote : je suis nu et bandé face à lui qui me parcourt d'une main bien à plat et de son regard gourmand. Je me laisse contempler puis je saisis son bras pour le tourner vers moi. Je défais le noeud retenant la ceinture de son peignoir qui tombe de ses épaules. Ma main s'empare de sa queue dressée, droite et mouillante et je réalise ce que François soulignait : j'ai une belle queue. Puis moi aussi, j'entreprends de la main un inventaire de ce bel homme : ventre tendu, pecs dont les tétons se dressent, épaules rondes, dos lisse et fesses fermes. Ma main s'attarde sur elles, mes doigts glissent le long de la raie, s'enroulent sous le globe qu'ils moulent et soulèvent. De la pointe des doigts de l'autre main, je remonte sa raie lisse puis je la plaque sur ses reins et mon majeur coulisse jusqu'à sa rosette. Je suis surpris car il l'a préalablement enduite de lubrifiant et elle est souple sous la pulpe du doigt. À ce simple contact, il soupire et est parcouru d'un frisson qui agite ses épaules. La première phalange ouvre son sphincter et s'engage à la découverte de son conduit chaud et noyé de lubrifiant. Mais soudain il se dégage et me pousse vers le lit où je me laisse tomber sur le dos.

Aussitôt, il est sur moi, à quatre pattes et ma bite en bouche. Il la ventouse et m'administre quelques succions redoutables qui me décollent les reins avant de la relâcher brusquement pour qu'elle claque sur mes abdos contractés. Ses grandes mains me maintiennent plaqué au matelas, écrasant mon ventre, écartant mes cuisses et sa langue me parcourt toute la hampe d'une large caresse humide. Il gobe mes couilles tour à tour, puis mon gland, revient lécher mon frein puis effectue de rapides aller-retour sur le canal dilaté et reprend mon gland entre ses lèvres, l'aspire et recommence sa succion implacable alors que ses mains me pétrissent. Ses lèvres, sa bouche, sa langue me dévorent. C'est, à la fois, langoureux, velouté, interminable et un peu vertigineux, comme une descente tout schuss. J'aspire une grande goulée d'air qui bloque mes poumons et soulève mon torse puis je vide mes poumons d'un coup. Je résiste comme je peux à ce flux de sensations qui creusent mes reins, tirent sur mes couilles et me laissent frissonnant. Il tient fermement ma queue enserrée et me pompe impitoyablement. Je me sens monter et essaie de me retirer, de le repousser, mais il affermit ses prises et impose son mouvement. Je me laisse gagner par le plaisir qui nait dans mes reins, pousse puis éclate en saccades et je le goinfre de coups de reins rageurs en fond de gorge avant de m'effondrer et d'offrir les dernières gouttes à la gourmandise de sa langue, mon bras relevé sur mes yeux. Je le sens déglutir et murmurer d'aise.

Puis il s'allonge à mon côté, la tête appuyée sur son bras replié, dessinant sur ma peau de légers chemins du bout de ses doigts. Il plonge son visage dans mon aisselle et y déploie tous les raffinements de ses lécheries puis se déporte vers mon téton qui durcit sous la caresse experte. Je sens sa bite raide contre ma cuisse et je retrouve moi aussi la forme. Il me saisit le manche à la base pour l'agiter et s'en caresser le visage. Je me redresse en contactant mes abdos, nos regards se croisent et s'accordent sans un mot. Il tend la main vers une capote qu'il déroule sur ma queue tendue et il se retourne à quatre pattes, cul offert. Putain je suis le boss.

Je prends mon temps. Du plat de la main, je caresse son dos, ses reins sur lesquels je pèse pour le voir se cambrer. Je masse ses deux lobes fessiers, charnus, imberbes et je ne résiste pas à l'envie de les claquer chacun leur tour, bien à plat. Je prends en main ses couilles que je découvre rasées : c'est nouveau, doux et je joue un peu avec, étirant, pressant et faisant rouler ses boules. Puis je pose le gras de mon pouce sur sa rosette, lisse elle aussi, pour un petit massage circulaire et quelques pressions. Il cligne du cul et soupire doucement. Je pointe mon index et lui enfonce tout droit dans le cul, au plus profond, c'est doux, chaud et bien lubrifié : il a pris des précautions ! J'exécute quelques rotations du poignet en étirant un peu le conduit latéralement. Il me semble souple et détendu, bref, comme offert à toutes mes entreprises et je me sens impatient.

Je me redresse à genoux entre ses jambes écartées et je dessine sa raie de bas en haut avec mon gland calotté que je tiens à pleine main puis je vibre son anneau afin de le nicher et je donne un petit coup de rein pour pointer. Je bascule simplement en avant en maintenant ses globes écartés pour bien voir son fion s'ouvrir et engloutir mon barreau. Il écrase ses épaules dans les draps, tourne la tête sur le côté et respire fort, bouche ouverte. J'amorce une reculade, mais il proteste d'un " non " avalé dans une grande inspiration qui me fait sourire : je reprends ma progression, jusqu'aux poils et j'ajoute de petits balancements avant de m'immobiliser. Je le sens se détendre et je donne une série de petits coups secs qui lui font avaler précipitamment sa salive. Une pause, puis je recommence les balancements qui nous font coulisser souplement. Il passe la main sous lui pour attraper mes boules et les attirer vers lui, comme s'il en voulait encore plus alors que j'avais déjà l'impression de l'enculer bien à fond. Comme mis au défi, j'écarte puissamment ses fesses à deux mains et lui remets une série de poinçons qui lui arrachent des gémissements.

Je redescends alors mes fesses aux talons, entraînant sa croupe fichée sur ma tige et il se redresse à son tour contre moi, posant ses fesses sur mes cuisses. Mes deux mains le caressent en remontant depuis ses hanches vers ses tétons dressés que je saisis entre des doigts féroces. Il ondule du bassin d'avant en arrière pour bien se masser sur ma queue raide et je le bloque à deux mains en position cambrée. Mes deux mains enserrent chacune la masse d'une fesse et je les pétris, les écarte en me redressant juste assez pour bien buter en fond. D'une bourrade entre les épaules, je précipite son torse à plat sur le lit et je me dégage, descends du lit. J'attrape une de ses jambes et je tire, sans ménagement pour le disposer le torse reposant sur les draps et les jambes hors du lit, laissant son cul offert à angle droit. Je saisis mon membre et je crois que je ne l'avais encore jamais vu comme cela, aussi dur et développé. Je lui biffle le cul pour qu'il perçoive bien lui aussi cette bite de roi. Puis j'écarte d'une main sa raie, tiens mon manche de l'autre et l'enfile d'une traite. Il pousse un souffle rauque, mais je suis bien campé en lui. Sans attendre, je l'attire à deux mains sur mon axe et le larde sans ménagement de plusieurs traits rapides et appuyés de toute ma queue. Mais soudain, il se cambre et se tétanise : son cul se crispe et emprisonne ma queue dans un étau. Je réalise qu'emporté par cette illusion de puissance, je l'ai probablement un peu malmené et ce comportement de goujat me ramène illico à lui porter plus d'attention. Je le caresse en attendant qu'il se détende à nouveau et quand il me dit " ça va ", je me retire.

Il remonte sur le lit et s'allonge sur le côté. Je le rejoins et recommence à le caresser, décalant ses cuisses pour accéder à sa raie où je balade mes doigts qui ne tardent pas à s'introduire pour un massage appuyé. Puis je gaine sa cuisse d'une main par en-dessous pour la soulever et l'écarter, ma queue vient taper doucement à son oeillet sans parvenir à trouver l'axe. C'est lui qui me guide et je m'enfonce en lui qui se tortille et gémit de plaisir au fur et à mesure qu'il accueille ma queue en lui. Cette fois, il est souple, profond et je perçois des ondes qui courent en lui et viennent masser mon épieu qui se pousse en lui. Je le lime à grands mouvements amples et souples et il se laisse aller à geindre en respirant fortement. À ce moment, il me semble que nous sommes enfin accordés et j'ai envie de déployer toute cette vitalité que je sens en moi. Il ouvre les yeux et me sourit, complice.

Nous basculons et me voilà sur le dos, la bite à nouveau tendue comme jamais. Il la saisit d'une main et la serre pour souligner cette tension et mon gland devient cramoisi. Puis il soulève une jambe comme pour monter en selle. Il guide ma queue de sa main pour la placer dans son axe et, sans me quitter des yeux, se laisse coulisser voluptueusement sur mon manche jusqu'à l'engloutir dans un grand soupir. Il écarte ses fesses et se carre au plus profond puis commence à rouler du bassin en vagues pour trouver son plaisir. Ses frissons me comblent : plus que jamais, j'ai le sentiment que ma puissance lui offre l'instrument dont il tire son plaisir. Il bande franchement et je le sens parcouru d'ondes qui enflent. Il s'arrête brusquement et me dit " viens "

Il s'arrache alors à la position d'Andromaque et se retourne. Je suis moi aussi pressé par un impérieux besoin de le retrouver. Je le pénètre en levrette et le saisissant par les hanches, je le bourrine dans des claquements de peau et des soupirs réciproques. D'un coup, il se contracte, se cambre et pousse un petit cri sourd en éclaboussant de son foutre. Je le rejoins aussitôt, dans un vertige. Nous restons collés quelques instants, avant de reprendre nos esprits et de nous dégager. Il attrape ma queue, la décapote et la flatte avec un petit sifflet approbateur. Il me conduit à la salle d'eau et me laisse sous la douche.

Je crois que nous n'avons échangé que quelques mots, des consignes " utiles " pour nous accorder dans le plaisir, sans aucune considération sentimentale. J'ai un sentiment de plénitude... un peu comme après avoir mangé un bon gâteau ? Non, nous avons " partagé " un bon repas, chacun faisant les délices de l'autre et se renforçant de ces plaisirs réciproques. Je me sens bien dans mon corps comme dans un vêtement ajusté pour moi.

Je le retrouve dans la cuisine, à boire un café avec François, l'air de complices. Il fait glisser vers moi sa carte de visite : " quand tu veux, mon garçon ". Et bien je lui ai souri et l'ai mise dans ma poche, un peu par politesse ! J'étais encore bien incertain de ce que je voudrais en faire.

Amical72

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