Premier épisode
" Ouvre-moi, c'est Jacques ! "
Mais que diable venait faire le patron du Terminus chez moi et à cette heure ? Jacques a la réputation d'un coureur de jupons mais je sais, pour en avoir fait l'expérience, qu'il aime tout autant s'offrir à un amant. Je lui entrebâillais la porte et il passa un bras... tenant ma sacoche contenant mon pc ! Mon précieux auxiliaire oublié sans doute au Terminus dans l'échauffement de mes échanges avec Florian. Jacques poussa alors la porte et, devant ma tenue, il émit un sifflement " fin de la première mi-temps et retour aux vestiaires ? " et, arrachant la serviette qui m'entourait les reins, il commença à me masser les épaules en se frottant à moi. Plus petit que moi, Jacques est un beau brun de 35 ans, un sportif mince et lisse à la peau un peu mate. Son sourire est éclatant et communicatif. Je saisis sa taille à deux mains et lui embrassais les lèvres, mais il en voulait plus...
- " Mais j'y pense ! Florian est-il déjà reparti ? " dit-il avec un regard angélique. Peut-être avait-il entendu Florian approcher derrière lui mais il ne fit pas l'étonné quand deux bras lui enserrèrent la taille pour déboucler son pantalon. Ayant fait dégringoler le pantalon sur ses chevilles, les mains de Florian remontèrent sous la chemise vers les tétons et Jacques soupira d'aise alors que je commençais à le déboutonner. Une fois nu, il nous attira contre lui d'un bras devant et l'autre derrière pour " un sandwich aux poils ", ce qui le fit rire avant qu'il ne se laisser bâillonner par ma bouche : il avait l'art du baiser canaille et savait enlacer les langues avec beaucoup de volupté. Florian lui baissa son ultime protection vestimentaire et se frotta abondamment contre lui, mêlant caresses et lécheries, ce qui déconcentrait Jacques qui finit par se retourner pour, dit-il " faire connaissance avec le poilu qui lui caressait les fesses ". Il en profita pour plaquer les siennes contre ma queue qui avait retrouvé sa forme turgescente et qui se trouva astiquée par sa peau douce et les mouvements de son bassin. Florian s'était cassé en deux et pompait la bite de Jacques lequel lui massait le cul et, trouvant la raie poilue fort à son goût, y faisait coulisser des doigts qu'il mouillait abondamment de salive. Sa main se retourna aussi vers ma queue et humidifia sa propre raie où il explora son anus avec des soupirs...
Mais bientôt, il se dégagea, visiblement très ému et retira sa queue à Florian, il lui tint la tête pour lui offrir ma queue à pomper alors qu'il allait s'agenouiller derrière le poilu pour lui bouffer le cul. Parfois, il lui gobait le gland puis remontait une large langue sous les couilles jusqu'à l'anus qu'il dévorait avec des lapements de chiot. Puis se redressant, il se mit à le doigter avec beaucoup d'énergie en me cherchant des yeux et je lui fis signe que oui, Florian avait un cul de paradis. Se coiffant rapidement d'un condom, Jacques se posta derrière lui et avec de petits appels sur les hanches fit reculer progressivement Florian sur sa queue, et celui-ci se trouvant ainsi farcis par ses deux trous, Jacques et moi nous mîmes en train pour des variations.
Tantôt Jacques poussait Florian vers l'avant pour le bloquer avec ma queue en gorge et lui limait le cul avec une endurance de joggeur, tantôt il attirait les fesses du garçon vers lui et, lui bloquant le cul empalé sur sa bite, libérait son mouvement de pompe sur mon membre qui se faisait avaler puis déglutir par une bouche de velours. Mais visiblement Jacques goûtait trop le cul poilu de Florian : il eut une session de ramonage véloce, ponctuée de divers commentaires " que t'es bon toi !... Serre ma queue plus fort ! ... Ouvre-toi à fond que je te fourre profond ! "... qui laissa Florian la bouche inerte, baveuse sur ma queue et le râle aux lèvres, profitant du plaisir du rythme que lui imprimait un Jacques lancé à pleine ampleur. Et soudain Jacques me regarda dans les yeux et son visage s'ouvrit d'un sourire... Claquant les fesses de Florian, il décula et prit deux ou trois inspirations profondes comme pour retarder sa jouissance puis il releva la tête de Florian, libérant ma queue qu'il habilla d'une capote avant de me bousculer pour m'allonger sur le dos. Il saisit ma queue qui me semblait presque privée de sensations tant elle était dure et, se retournant, il s'accroupit à l'envers sur moi, se caressant la raie avec ma tige. Je pris alors le relai et ses mains libérées écartèrent ses fesses. Doigtant et lubrifiant, je lui plaçais le bout de mon gland dans l'anus et le laissai, haletant dans l'effort, coulisser doucement le long de mon manche que je vis disparaitre dans sa rondelle dilatée. Il resta quelques secondes immobile puis ondula de la croupe pour placer judicieusement mon chibre en lui (" Oh oui, là, là ! Reste là !) et, ainsi embroché à fond, adopta la position " à la plage ", comme offert au soleil... Mais c'était pour mieux montrer sa queue dressée à Florian qui avait accompagné ce supplice du pal avec ses caresses. Celui-ci voyait bien ce qui lui était offert et il se mit à califourchon face à Jacques qui l'invitait à une belle chevauchée. Je le vis s'asseoir sur la bite de Jacques et coller ses fesses sur son pubis avec un murmure d'aise. Il commença des roulements de bassin qui firent détendre le cul de Jacques autour de ma queue.
Puis il se mit à osciller de bas en haut sur la queue dressée et à presser Jacques de se vider en lui (Donne-moi ta liqueur ! Remplis mon verre de ton jus !) J'en ressentais les effets au profond des entrailles de Jacques qui se serraient/desserraient à étourdir ma bite presque immobile en lui. Mes mains pinçaient les 2 petits tétons glabres de Jacques qui ne tarda pas à gémir. Florian s 'assit alors sur lui en écrasant sa croupe au maximum : " T'es bien au fond ? " avant de reprendre son mouvement impitoyable sur un rythme soutenu : " alors garçon ? Tu le sers ton client ? Elle vient cette giclée ? " et, sous ce traitement, je sentis monter la sève en Jacques... Florian le sentit également et décula, arracha le latex et obtint à la force du poignet la gerbe de foutre dont Jacques nous gratifia alors que ma queue, toujours fichée en lui, le maintenait pendant ses spasmes de jouissance.
Florian cueillait le liquide épais et faisait sucer ses doigts à Jacques qui revenait à lui et je me retirai doucement de son cul. Nous relevâmes Jacques et partîmes tous trois à la douche. Jacques eut droit à des frictions, des baisers, des caresses de fourrures dont, imberbe, il était friand puis nous le séchâmes et il partit rejoindre le Terminus, repu et complice. Florian me saisit alors la queue et plongea ses yeux dans les miens : " et maintenant, baise-moi ! "
Amical72
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