Étudiant appliqué | S2

Étudiant appliqué | Saison 2 | Apéritif

Chapitre 3 | Où l’on commence à s’amuser

Je retourne au salon en compagnie de Toni et nous retrouvons Damien avec Thomas et Romain discutant avec Radouane. Je souris car je connais le gout de mon ami pour ces peaux basanées. Éric s’est rapproché d’eux. Kévin est entouré de Nicolas et Omar qui semblent bien décidés à se disputer ses faveurs… en apparence ! Ils lui offrent à boire et l’entourent de leurs mains baladeuses à tous propos. Kévin me lance un regard … et je frappe dans mes mains pour attirer l’attention. Je prends la parole pour expliquer mon intervention professionnelle à la fac, l’initiative qu’a prise Toni en expurgeant les détails croustillants qui ont suivi ; ce qui nous vaut d’être réunis ce soir. J’en profite pour l’attirer à moi. J’ajoute qu’incroyablement, il a gagné son pari et qu’en conséquence, je serai son cavalier ce soir en le serrant contre moi d’un bras possessif. Je laisse un blanc en réalisant que la formule ouvre à plusieurs interprétations face aux sourires affiché par mes amis, puis je porte un toast et vois Nicolas remplir à nouveau le verre d’un Kévin dépité. En aparté, je demande à Toni qui, à son avis, baisera Kévin ce soir et il adopte un air sceptique. Je souris et Nicolas et Omar me renvoient un sourire complice. Je pose alors avec cérémonie une coupe remplie de capotes et de gel sur la table avant d’entrainer Toni à nouveau à l’extérieur.

Portant son verre et le mien, je lève ostensiblement mes deux mains encombrées et avance mon bassin pour dire à Toni « J’ai envie de pisser, aide-moi et sors ma queue s’il te plait ». Comme il reste interloqué, je me colle à lui, l’encadrant de mes deux bras levés, mon front contre le sien et je reprends : « sors ma queue, Toni, pour voir si tes mains lui font toujours autant d’effet » Toni a un demi-sourire, il déboucle ma ceinture, fait sauter un à un les boutons de ma braguette, dégage ma demi-molle d’une main et glisse l’autre en coupe sous mes boules. J’aperçois son profil de trois quarts mais, vite, je ferme les yeux pour parvenir à me concentrer sur ma miction. Toni guide mon jet vers le buisson, secoue la goutte puis se penche pour sucer ma queue qui bondit au seul contact de ses lèvres. Il l’aspire dans un voluptueuse caresse de toute sa bouche. Je le laisse me pomper goulument quelques minutes puis, en total gougeât, je lui retire et lui demande de m’embrasser avec le gout de ma queue, ajoutant « S’il te plait Toni ». Nos langues dialoguent très sensuellement tandis qu’il caresse légèrement la peau de mon dard tendu du bout des doigts. Puis je lui demande de me rajuster et le regarde enfermer mon bâton avec son air frustré. Je lui glisse « patience, Toni » et termine en lui agaçant l’oreille de la pointe de la langue et des dents. Je lui tends son verre dont il boit une gorgée et je bois de même dans le mien puis je reprends son verre et lui tends le mien en échange « pour lire dans nos pensées, Toni » Sous ses mèches brunes, il relève vers moi ses yeux pleins d’appétits et ce regard est une promesse. Je ris « est-ce qu’on pense bien à la même chose, Toni ? » Son regard répond à sa place. Je le ramène alors vers le groupe en le poussant d’une main glissée dans son short, mon majeur imprimant de petits mouvements au plug tandis que je lui murmure à l’oreille qu’il sera servi tout à l’heure. Ce petit joueur de foot est bien chaud et stimule mon imagination de chasseur, l’idée même des jeux à venir m’excite terriblement et j’aime ces petites frustrations car je sais qu’il sera mon dessert.

On retrouve Thomas un peu parti qui se laisse peloter par Damien et Radouane coincé par Romain dont les mains, glissées sous ses vêtements, semblent lancées dans une exploration intégrale. Éric est en jockstrap aux côtés du trio et présente ses fesses noires aux deux mains d’un Kévin qui les explore les yeux fermés, se laissant piloter par Omar, lui-même entouré de près par Nicolas. Mais tout est encore bien sage et intimidé alors je décide de donner un signal qui pourra contribuer à faire monter la température. M’approchant du buffet, je trempe mon index tendu dans le guacamole, je tourne et je relève mon coude, laissant pendre ce doigt dégoulinant de pâte verte. Je me tourne vers Toni avec la main toujours levée. Il renverse sa tête, bouche grande ouverte et je lui donne mon doigt à sucer. « tu aimes ? Partage ! » et on s’embrasse à pleine bouche. Puis je lui ôte son maillot, découvrant son harnais sur son torse poilu que je paluche de deux mains possessives. Ses tétons pincés se dressent. Je lui offre une olive sur la paume de ma main, il la saisit avec ses lèvres et me la donne à manger en la poussant de sa langue, ce qui dérive en long baiser. Je vois Romain entreprendre de la sorte Radouane et conclure lui aussi. Nicolas, lui, semble avoir gagné avec Kévin mais Omar est en embuscade et je connais leur complicité.

A ma demande, Toni quitte son short, se met à genoux sur un fauteuil pour exposer son cul poilu encadré des élastiques du jock. Mes mains parcourant sa croupe, je joue avec son plug m’appliquant à le faire soupirer. Il ferme les yeux sur son plaisir qui monte.

Je vois Thomas se laisser déculotter aussi et Damien lui saisir le manche pour entamer une pipe. Omar a retourné la tête de Kévin vers lui et lui ventouse la bouche pendant que Nicolas attaque sa braguette, aidé par Éric qui, prêt à sucer lui aussi, s’empare de la queue sitôt libérée alors que Nicolas s’emploie ensuite à dégager la croupe et plonge son visage dans la fente. C’est maintenant Thomas qui suce Damien et je vois ses fesses blanches dressées comme une lune pâle. Romain, chemise ouverte, serre Radouane contre lui en l’embrassant partout et ses deux mains moulent les fesses de l’étudiant qu’il dégage de ses vêtements. Le beau Kévin, à quatre pattes, sucé par Éric, se fait dévorer le cul avec un air extatique par un Nicolas stratégique qui prépare le terrain sous l’œil d’Omar déjà capoté. Je montre le tableau à Toni qui n’en revient pas et assiste à la mise en place rapide d’Omar : il fixe Kévin et l’introduit doucement d’abord puis lui casse les reins pour le cambrer et le pénétrer plus profond. Kévin pousse un cri et Omar stoppe sa glissade pour le laisser se détendre en l’encourageant « Tu la sens bien, c’est que t’as un bon cul pour ma bite de sénégalais » Nicolas se place face à lui, bandé à mort et Kévin ouvre la bouche pour aspirer ce beau morceau qui suinte de liqueur. Omar a repris sa progression et Kévin halète quand Nicolas lui biffle le visage. Toni est ahuri devant la scène et je le pousse en avant pour qu’il vérifie : il caresse les fesses de Kévin et sa main glisse pour toucher la queue plantée d’Omar. Celui-ci lui sourit de cet air carnassier qui en impose et lui propose illico de la lui faire gouter. Je décline en riant, arrachant Toni à son regard et invitant Omar à plutôt bourrer Kévin qui commence à gémir sous sa pression. Nicolas s’est capoté à son tour et Omar lui laisse la place : Nicolas doigte avec force lubrifiant puis s’engage résolument tandis qu’Omar dispose Éric en parallèle et lui fiche ses doigts pour le détendre avant de le pointer et de l’enfiler d’un coup comme un cosaque. Et les deux amis commencent à limer de concert.

Romain a basculé Radouane sur la table, croupe levée et cambrée et a entrepris de le préparer pour sa bite qu’il lui a déjà donnée à sucer. Puis, sitôt capoté, il le positionne et le pointe à son tour. Le beur se cambre puis se pend à son cou et se laisse lentement glisser sur ce beau manche dressé qui l’empale progressivement. Omar réalise que le cul de Thomas qui suce Damien en soixante-neuf est libre et il lâche Éric pour empoigner ses hanches. Il pose sa queue noire dans la raie blanche et doigte le fion au lubrifiant avant de faire coulisser sa queue qu’il guide et plante dans ce cul offert. Thomas sursaute et encore une fois, Omar suspend sa pression pour le laisser se détendre puis reprend sa poussée et pénètre le garçon qui se met à geindre puis à onduler de la croupe. Damien, délaissé, se capote pour Éric qui appelle une queue avec son anneau qui palpite. Il avale facilement la tige offerte qui, aussitôt, le besogne avec régularité.