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Agriculteur | S9 Lecourt

8 | Une cartouche à la va-vite

Le récit de Julien

J’ai dormi comme un bébé et lorsque je me réveille, Lecourt est déjà fin prêt. Nous partageons le petit déjeuner puis nous prenons la route du retour. Lecourt est au volant et la berline file rapidement sur l’autoroute.

Soudain, clignotant ; il s’engage sur la bretelle d’une aire de repos.

- « Tu comprends, après le bol de café du matin, c’est désormais ma vessie qui commande et elle n’admet plus aucune discussion. »

La rampe s’élève et se partage : à droite pour les véhicules légers. Lecourt stationne la voiture sur le parking désert, il sort et je lui emboîte le pas. Plusieurs camions stationnent sur l’espace dédié, en contrebas des toilettes. Lecourt entre dans la première cabine, je pousse jusqu’aux urinoirs. Il y en a deux et j’entraperçois rapidement le mec qui occupe celui de gauche : pas très grand, les cheveux blonds et courts, vêtu d’un tee-shirt clair et d’un pantalon foncé mou.

Je m’approche de la vespasienne vacante, bassin en rétroversion, je me débraguette et, tirant mon slip vers le bas de la main gauche, je déballe souplement ma bite. Je prends en même temps une profonde inspiration, tête relevée et je contracte mes abdominaux pour effacer toute tentation de « vessie timide* » et déclencher ma miction libératrice.

Une fois lancé, je rebaisse la tête, je perçois que mon voisin a légèrement tourné la sienne dans ma direction. Je devine ce qu’il reluque. Bon prince, mais en regardant droit devant moi, j’écarte mon pouce et fais tressauter ma queue sur mes autres doigts ; je lui donne ainsi volontiers la possibilité de documenter une curiosité fréquente qui reste ici visuelle puisqu’il n’ébauche aucun geste vers son objet mais il secoue la sienne, se rajuste et sort dans un bruit de claquettes.

Seul, je peux céder sans retenue au plaisir de la miction du matin: pieds écartés pour un bon équilibre, bassin en avant, ma bite au repos posée sur les quatre doigts. Mon pouce caresse légèrement la douce muqueuse de mon gland et perçoit la pression de mon jet. Sa puissance me remplit d’une satisfaction naïve, celle d’être bien vivant, en pleine santé, de prendre soin de moi en pissant debout à la face du monde, jusqu’à la dernière goutte.

Quand je sors de l’édicule, je vois que Lecourt n’est pas encore à la voiture et je ralentis le pas pour l’attendre. Levant les yeux, je découvre mon voisin de pissotière, adossé à un arbre, un peu plus loin, à l’entrée d’un sentier qui mène dans la partie boisée. Il a rentré ses deux pouces dans la ceinture de son survêtement sur lequel ses deux bras pèsent en l’étirant vers le bas, dévoilant son ventre jusqu’à la naissance de sa touffe, ses autres doigts plaquant le tissu sur son paquet.

De la main, je m’assure que j’ai bien ma trousse d’urgence dans ma poche.

Quand Lecourt me rejoint, il saisit tout de suite la cause de mon immobilité de chien d’arrêt.

- « Joli garçon qui a l’air dans de bonnes dispositions ! »

Mais quand je l’invite à me suivre d’un geste de la tête, il m’arrête d’une main sur le bras. Je me retourne et le regarde. Il me dévisage en souriant.

- « Tu vois, quand j’évoque la différence d’âge … J’ai, moi, épuisé tout le sel de ces rencontres rapides en plein air pour cultiver désormais mon jardin d’hiver alors que je te vois plein de sève. Va ! C’est toi qu’il attend. »

J’hésite mais il m’encourage encore d’un hochement de tête et, aveuglé par les hormones, je me dirige résolument vers le bois. Ce que voyant, le blond quitte son appui et s’enfonce à couvert. A-t-il relevé son tee-shirt, mis ses mains dans ses poches ? Le tissu moule merveilleusement son joli petit pétard qui, dés lors, me tient lieu d’horizon. Il disparaît alors derrière les feuillages.

Je le redécouvre m’attendant près d’une de ces tables de pique-nique en bois, munie de deux bancs fixes. Il se tient de trois quarts, dos à moi et me regarde approcher par dessus son épaule. Regard bleu pâle, demi-sourire ironique.

J’approche jusqu’à me coller à lui, pour tenter de respirer son odeur malheureusement masquée par de trop fortes effluves d’un gel douche synthétique et, entourant sa taille, mes deux mains s’insinuent aussitôt sous l’élastique souple de son pantalon. Il ne porte pas de sous vêtement et j’imagine qu’il s’était posté dans les sanitaires dans l’attente d’une bonne fortune. Je m’empare de sa demi molle d’une main pour le maintenir quand, de l’autre, j’explore sa raie poilue. La fourrure en est étonnamment rêche et dense. Mes doigts progressent, ouvrent, écartent et la pulpe de mon majeur trouve l’eldorado de son anus. Il a cassé la nuque vers l’avant sous ma légère pression et je crache un jet de salive dans ma main avant de revenir à son œillet.

Quelques rotations pour l’enduire et l’anneau cède sans effort, mon doigt découvre son conduit chaud et déjà accueillant. Il s’est retourné tout à fait, les poings en appui sur la table et se cambre légèrement. J’extirpe mes munitions et mets en perce un étui sur son sacrum, le lubrifiant coule dans sa raie. Mon pouce s’y roule, se niche, frétille et, prestement, l’ouvre en remontant.

Il souffle sous l’éperonnage.

De l’autre main, je retrousse mon polo derrière ma tête et déboucle ma ceinture, je me débraguette et abaisse l’élastique de mon slip sous mes couilles. Il a tourné la tête vers ma bite qui se dresse et amorce un geste. Je suspends les miens et il se courbe pour me prendre en bouche.

Hmm ! J’aime me faire sucer, or sa bouche est experte. En même temps, il me pétrit agréablement les couilles quand mon pouce s’active à détendre son conduit rendu plus accessible par sa posture courbée. Ma main se pose sur sa nuque au contact de sa chevelure presque crépue pour soutenir sa pulsation de pompe mécanique.

Quand il cesse ses aspirations goulues pour venir lécher mon mat durci en cherchant mes yeux, je brandis la capote dont je coiffe mon vit sous les siens. Il se retourne spontanément, les coudes en appui sur la table et le cul en offrande. Mes deux pognes s’emparent de ses globes pour les pétrir virilement, les écarter pour mater puis étirer ce trou du cul rose et souple dont je n’aurai de cesse que de m’en couronner le gland. Je frémis à l’avance du plaisir d’y plonger toute ma queue qui se rengorge. Alors je l’insère dans sa raie humide de gel et je le bouscule dans une simulation de fornication brouillonne.

Je me décale ensuite, pour attraper ses couilles qui pendent dans ses bourses rêches et les rouler entre mes doigts. Il se cambre davantage sous ce traitement un peu rude tandis que, de l’autre main, je caresse verticalement sa raie de la pointe de ma bite qui cherche son nid.

D’un vif coup de reins, je l’ai pointé et il s’est immobilisé, comme tétanisé.

Mes deux mains se sont refermées comme des serres et je l’attire à moi, pour maintenant l’enfiler, lentement mais résolument, sans égards particuliers. Il ventile fortement, montrant qu’il prend bien la queue. Jusqu’à la garde. Appuyant des deux mains sur son dos, je fléchis sur mes cuisses et me redresse en puissance, bassin en avant, pour l’éperonner solidement. Là, il est ferré.

Il a gémi et baragouiné précipitamment dans une langue qui m’est inconnue. Je laisse sa respiration s’apaiser et, des deux mains, j’ôte son tee shirt pour chercher ses tétons, à tâtons. Une fourrure rêche et rase les protège mais je me saisis des petits mamelons et je remonte ses épaules au contact de mon torse tout en amorçant un léger balancement des reins.

Il s’est arqué pour résister à mes élans et détend son sphincter. Je maltraite ses petits pointes durcies et il s’ajuste à mon piston qui donne maintenant toute sa mesure. D’une main, il se raccroche à la table, de l’autre il s’astique fébrilement la bite.

Il connaît les usages, il sait que, dans ces endroits, l’heure n’est que rarement à la poésie et au partage, que le coït sera assurément égoïste, pressent que s’il tarde à jouir, l’actif à qui il s’est offert n’en aura cure et l’abandonnera sans remord à sa frustration après son propre plaisir. Je le regarde monter en respirant fort et soudain son cul se serre et des crispations le secouent, me faisant venir à mon tour. Mais je l’emprisonne dans mes bras, le retiens bien fiché sur mon mat. Je ne le libère qu’après que le dernier écho nous a soulevé.

Et c’est pour le doigter, à sa surprise, lui procurant un ultime hoquet fulgurant. J’aime cet instant inespéré où les yeux se brouillent, les jambes flageolent, ce petit cadeau inattendu. Il répond à mon sourire en caressant ma queue poisseuse qu’il a décapotée puis suce ses doigts, l’œil canaille. Il vaut sans doute mieux que cette cartouche tirée à la va-vite, mais la pensée de Lecourt qui m’attend prend maintenant toute la place.

On se rhabille après quelques mimiques, renonçant à toute autre forme de dialogue puis je le salue de la main et dévale le sentier.

Dés qu’il me voit, Lecourt débloque les portières et démarre souplement dés que j’ai attaché la ceinture de sécurité. A la fin de la bretelle de raccordement, il a atteint la vitesse de croisière et entre sur la voie autoroutière, d'ailleurs déserte. Un quatuor de Mozart nous emporte.

Amical72

amical072@gmail.com

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