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Chapitre-4
Cette nouvelle séance de yoga terminée, enfin jamais réellement commencée pour moi avec le vieil Henry qui m'a utilisé comme vide-couilles, ma sœur et moi restons silencieux dans le bus qui nous ramène chez elle. J’ai l’impression d'attirer le regard de tous les passagers sur moi. Je sens le sexe c’est certain. L’odeur masculine d’Henry me colle à la peau, comme celle de son sperme séché sur mon corps. Comme je ne mets jamais de slip, je ne me rends pas compte si le foutre écoulé de mon petit trou a taché ou non le fond de mon jeans moulant. Le trajet me semble interminable avec le regard coquin de ma sœur sur moi. Elle n’attend qu’une chose, être rentrée chez elle pour parler de ce qui s’est passé sous ses yeux. Cette séance de baise sans tabou avec Henry. Elle adore depuis toujours me voir nu en action avec un homme.
Enfin, nous y voici. « Nul doute qu’une bonne douche te fera du bien » me dit ma sœur dans un éclat de rire. Et comment. Je me déshabille complètement et je sens ma peau polluée par l’odeur corporelle de ce vieil homme qui a pris mon corps comme un sextoy vivant. Il ne m’a rien épargné. Je ressens encore la chaleur de sa bouche sur ma verge, ses mains posées sur moi, entre mes fesses, sur mes tétons. Et, surtout, le passage de sa verge épaisse dans mon petit trou serré. Ma sœur me regarde tout en faisant couler l’eau chaude dans la douche. « Tu es vachement bandant, tu le sais cela ? Comment fais-tu à la trentaine pour rester si fin et si sexy. Pas de ventre, pas de graisse mal placée. Et cette part de féminité qui se dégage de ton corps épilé comme une femme. » Ses propos m’excitent et mon pénis se met à durcir sous le jet d’eau chaude qui chasse les restes de cette séance de yoga bien particulière. Ma sœur se dénude elle aussi et se décide à me rejoindre sous la douche. Peut-être encore un souvenir de nos ablutions communes d’antan. Quand le mercredi après-midi nous étions seuls à la maison. Elle se rapproche de moi, très près. Je sens ses seins se frotter contre mon corps. Ma main glisse entre ses cuisses pour titiller son bouton clitoridien. Elle gémit, me pousse à continuer, en prenant ma queue pour la masturber. Un plaisir interrompu par une sonnerie, celle de la porte de l’appartement.
Sans même cacher son intimité ma sœur sort de la douche pour aller ouvrir. Me permettant ainsi d’admirer sa croupe, dans laquelle je me suis glissé autrefois pour tester la sodo. Cet anneau élastique percé maladroitement, je le reconnais.
De la cabine de douche je ne vois pas qui est entré mais j’entends des voix se rapprocher. Celle de ma sœur, mais aussi celle de… Loïc. Les deux entrent dans la salle de bain, sans gêne aucune pour ma nudité. « Loïc était fort déçu cet après-midi de ne pas pouvoir t’avoir comme compagnie au cours. Je lui ai dit de venir dans un sms envoyé dans le bus. Vous serez tranquilles ici pour poursuivre votre découverte mutuelle. La chambre est à vous. Même si je me permets d’assister, voire de participer. Et bien Damien ? Sors de cette douche et embrasse Loïc » me dit Dominique, presque avec un reproche dans la voix. De fait, je suis là comme un con dans la cabine, nu devant Loïc qui a les yeux rivés sur moi, sur ma verge pendante entre les cuisses, comme un enfant qui attend son cadeau d’anniversaire.
« Viens Loïc, allons déjà dans la chambre, Damien nous rejoindra quand il aura terminé. Et cette fois, tu l'auras tout à toi, par ses deux orifices. » D’un bond, je sors de la douche, je me sèche et je me prépare l’anus avec une bonne dose de gel. Histoire de ne pas irriter davantage ce petit trou bien sollicité avec Henry. Dans la chambre ma sœur déshabille Loïc, timide quand il s’agit d’une femme. Je bande en voyant ma sœur lui descendre son petit slip rouge et dévoiler cet épais membre entouré de poils roux. La connaissant elle ne va pas s’empêcher de le sucer, comme un sucre d’orge. Sa façon de sucer les glaces et les sucettes quand elle était ado avait le don d’énerver nos parents par la sensualité qu’elle dégageait. Penchée sur Loïc pour le sucer, sa croupe me fait face, comme une sorte d’appel à l’aide. Je ne peux m’empêcher d’y tremper ma queue. C’est chaud et serré. Et le fait de baiser ma sœur m’excite encore plus, co
mme une mise en bouche de ce que vais faire avec le beau Loïc, désormais nu comme un ver. Après avoir déculé, je me glisse dans les bras de Loïc, nous tombons sur le lit, enlacés. Nos corps serrés, nous nous embrassons comme des sauvages. Sous le regard de Dominique qui ne perd rien du spectacle. Loïc bande, son gros sexe décalotté planté au milieu de sa toison pubienne rousse. Comme un affamé je tends mes lèvres sur son sexe, enfoncé dans ma bouche en gorge profonde. L’odeur virile de son sexe se répand en bouche tandis que mes mains pétrissent ses fesses. Douces, moelleuses. « Entre en moi » me susurre Loïc tout en relevant ses jambes, livrant à ma vue son intimité poilue. Dominique ne reste pas passive et s’assied sur le visage de Loïc, lui laissant le loisir de la lécher au plus profond de son intimité. Elle sent sa langue lécher son clito et ses lèvres. Et gémit, crie mon prénom, celui de Loïc. De mon côté, un peu distrait par le spectacle je m’introduis en Loïc un peu malgré moi. Mon gland ouvre le passage, écartant les parois serrées de l’anus pour laisser passer mon sexe tout entier. C’est chaud et mon sexe se voit englouti dans ce conduit intime. Décidément, quel plaisir que celui de passer dans ce conduit intime que beaucoup refusent d'explorer. merci à mon prof de biologie d'avoir parler en classe de cette possibilité de prendre du plaisir. Son conseil m'a bien servi.
Tout en sodomisant Loïc je caresse ses bourses, bien grosses et lisses elles aussi. J’ai toujours aimé que l’on s’occupe des miennes, en les malaxant sans douceur. Un souvenir gardé de mes années d’internat quand le vieux pion qui nous surveillait choisissait ses amants et s'amusait à les faire crier par ses jeux de pincement intimes.
Quelques coups de reins donnés dans l’anus de Loïc suffisent à me faire jouir, par la douceur de sa peau si douce et blanche dans laquelle me lover. J’ai toujours eu tendance à jouir beaucoup et mon sperme a dû bien tapisser l’intérieur de Loïc. Je me retire, le souffle coupé par la sodomie pratiquée avec fougue sur mon amant. Je pars me nettoyer le sexe tandis que Loïc achève de faire jouir ma sœur sur son visage. Personnellement j’ai toujours adoré lui lécher le sexe autant que son anus. Plus encore depuis qu’elle a pris l’habitude comme moi de se raser la chatte. Les poils, ce n’est pas trop mon truc, sauf les poils roux masculins, j’ignore pourquoi. Loïc, un peu étouffé par la présence de ma sœur assise sur lui a repris ses esprits et m’attend. Pour me rendre la pareille et m’enculer. De retour dans la pièce, je me mets en levrette, croupe offerte. Mais pas longtemps seule, le phallus de Loïc s’y introduit d’un coup. Ses mains sur mes fesses s’enfoncent dans ma chair. L’acte est violent, ma verge se balance d’un coin à l’autre. Loïc entre en transe et me laboure le ventre. J’adore. Puis l’apothéose survient, je sens son foutre gicler en moi. Un liquide chaud et épais frappe les parois de l’anus.
Loïc s’est retiré, en sueur. Epuisé. Son sexe luisant de foutre. Et que je m'empresse de sucer pour le nettoyer, ma langue tournant autour du membre et du gland. Délicieux. « Et bien les hommes, vous êtes des bêtes de sexe. Damien tu es vraiment une belle petite salope. Les parents avaient raison. Et oui, ils le savent . Bon et si on révisait nos positions de yoga pour la séance de demain ? » Ma sœur a toujours su trouvé les mots justes. A nous la séance improvisée de yoga nu. j'ai tant à rattraper avant de retrouver Emmanuel et son groupe. Il devra être puni pour m'avoir donné à Henry. A très vite amis lecteurs.
Colinot
tonlibertin@netcourrier.com
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