Étudiant appliqué | 2

Étudiant appliqué | Saison 1 | Le Pari

Chapitre 2

Plaqué contre le dos de Toni dans l'ascenseur, je le maintiens fermement pour palper ses avantages d'une main d'explorateur quand la cabine tinte et la porte s'ouvre...
Je le fais se déchausser sur le palier et le conduis pieds nus à la salle d'eau des invités : " tu te brosses les dents et tu te douches au savon, je reviens ". Quand j'entends qu'il a fini, j'entre en desserrant ma cravate. Il a enroulé une serviette autour de ses reins, mais je l'attrape d'une main par la nuque pour l'embrasser et de l'autre, j'arrache sa tentative de pudeur. Premier baiser avec la fraicheur de la menthe et Toni se révèle assez habile à nouer nos langues. Je le pousse dos au mur et une main posée de chaque côté, je lui dis : " tu restes nu et à mon service Toni, aide-moi à me déshabiller ! " avant de le bâillonner d'une bouche avide. J'envahis sa bouche d'une grosse langue qui explore, fourre, pousse. Je décolle pour lui cracher au visage et le lécher avant de retourner à mon baiser vorace. Il défait les boutons de ma chemise et explore mon torse à deux mains dans ma toison, cherchant mes tétons. Je recule et il me mate avec un sourire puis enlève ma chemise, je sens ses yeux sur mon torse. Quand il se rapproche, je lui dis " ferme les yeux ! " lui saisis la nuque et lui promène le visage dans la fourrure de mon torse jusqu'à mes aisselles humides puis j'appuie sur ses épaules pour qu'il s'agenouille et il déboucle ma ceinture. Je le tiens toujours pour frotter son visage sur la bosse qui déforme ma braguette. Il tâtonne, défait les boutons un à un, caresse la bosse du slip et ma queue se tend et dépasse par la fente horizontale. Elle mouille et il tire sur le slip pour engloutir mon gland qu'il lèche et suçote avec empressement et une certaine compétence, je dois reconnaitre, en dégageant totalement ma hampe du slip pour tenter de l'avaler. Je le laisse profiter de ces premières excrétions qu'il lape puis je le relève et recommence à l'embrasser, mais cette fois le gout de ma queue a remplacé la menthe. À ma demande, il baisse mon slip en lorgnant sur mon service, mais je m'applique à l'ignorer et le pousse au fond de la douche et m'approche demi-dressé pour lancer un jet doré puissant et odorant dans sa direction. Surpris, il recule, mais je souris et avance vers lui pour l'arroser quand il a enfin compris. " Première douche d'or ? " " Oui M'sieur ! " fait-il piteux et soudain il sourit et s'agenouille pour me gober le gland qui retrouve illico sa pleine forme.

Mais je lui retire et ouvre l'eau. Puis je lui donne un gant et le savon et lui claque la fesse : " au boulot ! frictionne ! " et je le surveille tandis qu'il me couvre d'une belle mousse puis j'attrape son poignet et lui retire le gant : " continue de faire mousser Toni, à mains nues ! " pendant qu'à mon tour je le couvre de mousse. Je l'invite à ne négliger aucun endroit et, tandis que ses mains explorent mon corps, je commence à me frotter à lui pour mélanger les peaux autant que je lui impose le mélange de nos langues. Ma main en cuillère ramasse la mousse sur son corps et la ramène dans sa raie que je caresse de doigts pressants, puis sa rondelle qui s'ouvre sans effort en avalant mon majeur. Il soupire et je le masse délicatement puis je me retire à sa surprise. Ma queue coulisse dans la mousse entre ses cuisses et la sienne, chaude et tendue, se plaque sur mon ventre où je la fais rouler. Je le retourne pour recommencer mon manège, ma tige soulève ses couilles par-derrière et je sens qu'il durcit. Mes mains caressent ses tétons qui se dressent. Je lui colle les mains au mur, ma main retrouve sa raie et mes doigts sa rosette qui s'ouvre souplement sous la pression. Je le masse lentement et il pousse un soupir soudain avec des soubresauts. Il tourne la tête vers moi, l'oeil perdu pour m'offrir sa bouche et nous restons collés sous l'eau chaude avant que je m'empare d'une capote prestement enfilée. Malgré le beau diamètre de mon gland bien gonflé, je le pénètre sans effort et il accueille souplement toute ma queue dans sa croupe offerte. Il se cambre, se tend en s'appuyant au mur pour s'offrir à mon lent va-et-vient et commence à râler doucement puis soudain, il est pris à nouveau de frissons et, avec quelques hoquets, je sens son cul serrer ma bite par spasmes à chacun de ses jets de foutre qui claquent contre la paroi. Puis son cul se détend et il se cambre pour coulisser à fond sur ma queue. Bien enfoncé en lui, je recueille sa liqueur et lui fais lécher mes doigts sans cesser de le caresser, le temps pour lui de retrouver ses esprits alors que je me retire à sa surprise manifeste. Mais il me regarde avec un air attendri et je lui demande s'il a aimé ce premier essai, et, le laissant bafouiller, j'ajoute " ce premier essai raté ". Devant son air confus, je précise " premier coup pour découvrir, mais il faut apprendre à te retenir pour partager " puis le saisissant par le menton je l'oblige à ma regarder dans les yeux " tu baises tout seul, Toni ? " Sa confusion le fait rougir et je le laisse un peu à sa culpabilité avant de lui indiquer " maintenant, tu vas nous sécher " en lui indiquant les serviettes. Toni croit y voir une opportunité pour tenter de se rattraper, mais je refuse sèchement de le laisser jouer avec ma queue pourtant manifestement en pleine forme. Je lui indique un baudrier cuir et des bracelets qu'il attache à ses poignets et chevilles. Quelques liens et mousquetons plus tard et le voilà ligoté à plat ventre sur le lit. La tête à hauteur de ma taille, il lorgne sur ma queue. Aussi je m'accroupis sur son visage en le bifflant de ma queue demie molle et je lui demande de prendre la position de la prière, les cuisses repliées sous lui et les poignets aux chevilles. Je le caresse fermement en resserrant ses liens puis je me consacre à son cul : la peau de timide n'a sans doute pas vu le soleil, elle est couverte d'un duvet sombre et je caresse ses fesses charnues avant de les pétrir puis de les claquer à plusieurs reprises. J'écarte ses cuisses, il a une trique d'enfer. Je saisis ses couilles poilues que je travaille d'une main ferme et virile et lui annonce que quelques interventions sont nécessaires, avec son accord, pour qu'il puisse correctement remplir ses fonctions à mon service.
Comme il ne dit rien, je resserre ma pression sur ses boules et lui claque le cul de ma main libre ; je répète " avec ton accord ! je t'écoute... " Il répond d'une voix hésitante " oui, M'sieur "
" Bien Toni ! " et, d'un coup net, je lui fiche le plug débutant bien lubrifié que j'avais préparé en exigeant " et maintenant, serre ton cul Toni, je veux te voir essayer de l'avaler pour muscler ton petit trou " Et je le vois contracter son sphincter en ondes prometteuses. Je l'encourage à poursuivre et je passe à la suite en faisant rouler ses boules pour tendre ses bourses que j'enduis de mousse à raser....
Une fois les boules de Toni rasées, je joue un peu avec elles, les faisant rouler dans ma main et les gobant une à une puis je resserre ses liens et, enfilant un peignoir, je l'abandonne sans un mot ligoté en position de prière sur le lit, après avoir vérifié son plug.
Un bon moment plus tard, je reviens dans la chambre pour lui demander s'il a réfléchi, s'il est enfin prêt à se donner pour mon plaisir. Il me jette un regard suppliant " Oui, M'sieur ! je ferai tout ce que vous voudrez, mais détachez-moi s'il vous plait ! "

Je me penche alors sur lui appuyé sur mes bras tendus et mon peignoir s'ouvre. L'air sombre, je le fixe dans les yeux : " dernière chance, Toni ! Si t'es pas un bon coup cette fois, je me débarrasse de toi " puis je souris en lui jetant un regard affamé et lui demande : " tu veux toujours aller avec moi, Toni ? " Il regarde mon début d'érection, mais comme elle est hors de sa portée, il relève les yeux vers moi, se contorsionne et tend sa bouche vers ma queue. " Tu veux me montrer ta bonne volonté Toni ? " et je le saisis par les cheveux pour l'approcher de mon gland devenu brillant de tension que, dans une détente, il réussit à prendre en bouche. Je me rapproche et, sans que ma main ne lâche ses cheveux, je le laisse me pomper goulument avec des bruits de bouche et des grognements pendant quelques minutes voraces.

Puis ma main l'écarte et l'écrase sur le lit pendant que je m'essuie de sa salive de l'autre. " Bien Toni, on fait un second essai. Tu ne bouges pas, Je te détache, puis tu fais ta toilette et tu me rejoins dans le salon en face, mais avant... " Je le retourne, lui écarte les fesses et lui retire le plug et je contemple son trou se refermer en caressant ses boules lisses avant de défaire ses liens pour lui permettre de se déplier.
Puis je tourne les talons et vais m'asseoir au milieu du canapé du salon, les bras en croix sur le dossier pour l'attendre.