Épisode précédent
J'ai trouvé un locataire naturiste pour m'héberger sur Paris. Marre des hôtels. Et j'ai plusieurs contrats à faire signer dans son quartier, une aubaine. Mais je m'embarque et m'enfonce dans des situations de plus en plus incongrues. A croire que je les recherche !
Je monte quatre à quatre les 7 étages pour prendre une douche dans le SPA de l'Apt de Félidé. Il n'est pas rentré, je me sers un whisky pour me récompenser des deux contrats signés avec commission en plus. J'en avise mon employeur qui me félicite. Le reste est à venir, j'ai affaire à des groupes plus importants qui exige des garanties de ma boite. J'entends Félidé entrer, il jette un coup d'oeil dans le SPA, me demande si je peux lui faire une place. J'acquiesce ! A la vue du whisky, il me dit " je devine que tes RDV se sont bien passés ". Et m'embrasse langoureusement ce qui me déclanche la trique et la sienne ". Rires ! Le premier qui débande doit sucer l'autre me lance t-il. Evidemment je perds, et dois m'exécuter. Putain de purée épaisse qu'il m'a mit ! Le temps de finir mon whisky pour me rincer la bouche. Il m'annonce que les zouaves de l'autres jours venus échanger des CD vont repasser. Dans la soirée ! Pas trop envie de tomber sur eux lui confiais-je, ils m'ont tous tripoté les balloches, surtout un. T'inquiète si je suis là, il ne t'arrivera rien. Et s'est sensé me rassurer ?
Je sors du SPA, l'idée saugrenue de demander à Max au 8 e un petit service en prévision de ce que m'avait préparé Félidé me vient à l'esprit. Ca tombe bien j'ai ramené le whisky que je leur avais " torché " lui dis-je comme pour me justifier. Je ne calcule même pas que je n'ai qu'une serviette autour des reins, continue de grimper. Juste le temps de mettre le bloque porte. Je perds la serviette entre deux étages lorsque une vielle sort de chez elle. Me voyant avec un carton dans les bras elle me prend pour un livreur. Les bras encombrés, je ne peux l'empêcher qu'elle m'attrape la biroute pour me sucer sans demander permission. L'idée de l'assommer avec mon carton de 6 whiskies m'effleure, je me ravise car forcément il va y avoir de la casse. Voilà que je me fais tailler une pipe par une septuagénaire édentée les bras chargés d'un carton quasi impuissant à me détacher de sa bouche ventouse. Son mari sort à ce moment là, devant la scène s'esclaffe de rire " Ne te laisse pas faire jeune homme, elle va te bouffer la merguez ". " Moi, j'en ai perdu la moitié " ! La vieille garde ma serviette en me proposant de revenir quand je veux. J'arrive enfin devant la porte de Max et frappe trois coups deux coups pour qu'il reconnaisse le code. Il ouvre, médusé de m'apercevoir à oilpé. C'est une habitude chez toi, t'es exhibitionniste ou quoi ?
-Non c'est la vieille d'en face qui m'a piquée ma serviette.
-Hilare, il était !
-J'ai une service à te demander STP
-Chut ! Chloé dort, je l'ai tellement piné que pour la première fois elle m'a demandée d'arrêter. Dit donc, tu triques ou je rêve en évaluant la raideur ?
-C'est la vieille qui m'a bouffer la queue, ce qu'il en reste.
-j'ai besoin de ta potion magique ce soir, je crois que Félidé me prépare quelque chose.
-Dis donc, ça coûte une fortune ce machin là.
-Je t'ai ramené le whisky que je vous ai torché, je te rembourserais pour la poudre.
-Ca ne va pas faire le compte, je veux que tu me sucer là maintenant sur le palier pour ne pas réveiller Chloé qui est d'humeur exécrable car elle a ses ragnagnas.
Ceux qui ne comprennent pas, circulez !
-Sur le palier ? Devant la vieille et son vioque ?
-Laisse les se rincer l'oeil ! Je l'ai déjà piné devant son mari, une vraie fontaine, lui est incontinent. Il pisse à chaque fois dans sa chattemite au lieu de décharger ?
-Je me laisse faire, ridiculement nu sur le palier, tandis que j'y mets tant d'application à lui lustrer la hampe en lui astiquant les balloches. Il jouis comme un fou, Max ne peut s'empêcher de partager sa sémination dans un " bouche à bouche " à prendre le vertigo.
-Les vioques applaudissent !
-Ne bouge pas, je vais te chercher ce qu'il te faut ! Il revint me tends une fiole, me demande de me mettre à quatre pattes pour m'enfiler un " suppo ". Imaginez la situation grotesque sur un palier le cul en l'air devant deux vicelards. C'est par précaution me dit-il, faudrait mieux laisser ta rondelle se reposer encore 24 heures. Parce Chloé t'invite jeudi pour l'anniversaire de son neveu Steve qui fête ses dix huit ans. Et ne soit pas surprit, il est gay pur et dur complètement puceau avec les filles ! Elle lui réserve une surprise de première.
-Si je comprends bien, je vais encore servir de cobaye !
- Dis moi pas que ma soeurette ce n'est pas un bon coup ? Ne t'en fais pas malgré ses coquelicots le neveu va s'apercevoir de rien. Puis on va si prendre à deux, t'inquiet.
-Mais je n'ai jamais fais ça, moi !
-Faut un début à tout, tu verras ça glisse tout seul !
Je redescends au 7e nu puisque la vieille a gardé ma serviette. Je m'attends au bloque porte fermé ou une autre plaisanterie de Félidé. Non, il m'attend la porte entre ouverte.
-Ben encore à " oilpé ", je vais avoir les meurs sur le dos, ou le syndic. Il me tend le post it qu'il m'avait préparé : à 3 mn près t'y avais droit : " vient me rejoindre au bar tabac d'en bas, je t'attends, c'est urgent.
-Très drôle, j'ai eu mon compte d'émotions en montant au 8e. Je lui explique la vieille, il était hilare.
-Si tu ne veux pas rester sur le palier dans cette tenue dégorge moi le poireau, et vite j'ai les burnes qui débordent.
-Sur le palier (encore pensais-je) ?
-Oui !
Mais qu'est ce qu'ils ont tous à vouloir me remplir la bouche de leur sperme ? Ca a été si rapide que je comprenais l'urgence à combiner sémination de Max et Félidé sans transition. Je devais avoir une haleine de bouche d'égout.
-Allez rentre tu fais tache sur le palier le cul à l'air, mets toi à l'aise !
-J'y suis déjà ! Mais je vais me laver la queue et la bouche abondamment.
-T'a journée c'est bien passée me demande Félidé ?
-Oui, j'ai une cheque de 90.000€ que j'ai déposé à la banque du patron sans attendre.
-T'as bien mérité ton whisky mon grand et dans un grand verre ? Je te préviens ce soir je reçois les jeunes qui viennent m'emprunter des CD parfois. Tu les as déjà rencontré. Ca n'a pas l'air de t'emballer ?
-Ben la dernière fois, ils m'ont tous tripotés les burnes surtout le blondinet vu que j'étais à " oilpé " pour les recevoir.
-T'inquiète ce soir, c'est soirée pizza party, et dans le SPA je les encule à la chaîne, le blondinet en premier si tu veux. Ou mieux, tu connais le jeu de la " Pierre Feuille Ciseaux " ? J'ai mis le groupe au courant sauf le blondinet qui se la pète pour qu'il perde. Tu n'auras qu'à être rapide et faire comme moi.
-Comment ça que je veux ! Plutôt deux fois qu'une mais à une condition : on ne touche pas à ma rondelle, j'ai des hémorroïdes grosses comme des ampoules ! Faut que j'aille " taffer " mes RDV de demain, j'emmène le whisky, j'ai besoin de remontant !
-Là tu te fous royal ma gueule avec ta rondelle en choux fleur, ou alors tu me cache des choses ! Rire !
J'ai pu bosser une bonne heure à préparer mes RDV de demain. Le hic, j'en ai un aux buttes Chaumont va falloir que je prenne le RER que j'ai en horreur. Félidé vient me chercher pour me prévenir que ses potes arrivent. Il ne me sent pas trop enthousiaste aussi il entreprend de me sucer pour me faire triquer.
-Tu comprends faut que t'ai l'air présentable, et avec ta trique tu gagnes 50% de ton potentiel. Viens, que je te présente !
-Voici Polo les " tarlouze ", c'est mon coloc alors respect, il vient de décrocher un contrat de 90.000€. Je ne risquais pas de passez inaperçu avec une trique relevant de la tête jusqu'au nombril sous l'oeil amusé de Félidé qui me passait la mains sur les balloches en invitant ses amis à me tâter.
-Pas mal ton coloc, vraiment tu les choisis toujours bien ! On se calme les " tarlouzes ", on se met en tenue car je veux voir vos queues se lever, pas de couilles molles chez moi. Puis c'est pizza à toutes les sauces ? Et SPA ! Je vous ai réservé une surprise.
Soirée bon enfant la " zicmu " à donf comme on était en manque de pizz on a rappelé le pizzaïolo à peine surprit de nous trouver tous à oilpé. Pour un peu il se serait fait inviter si on avait insisté. Félidé lui donne un large pourboire prometteur. Félidé encore avait le chic de donner des gages à tour de bras à toutes les couilles mollasses. Ce qui nous obligeait entre deux parts de pizz à aller sous la table en sucer un au hasard jusqu'à la trique. J'avoue, en avoir sucé un max sans oublier Félidé ou je m'attardais sur le gland, son point sensible. Car s'il m'épargnait les coups bas, les plus crades discrètement pour ne pas passer pas pour son chouchou : J'eu droit à lécher tous les anus tartinés de pizz. Puis à sucer des triques arrosées au ketchup et de mayo, et j'ai horreur de la mayo, beurk. Ça devenait " déprav " ce repas pizz. Il fut décidé que tout le monde filait à la douche pour se récurer, puis au SPA. Sous la douche impossible d'éviter la séance de " pissing " dont tout le monde se donnait à coeur joie. Evidemment, c'est encore tombé sur moi, il a fallu que je serve d'urinoir aux vessies trop pleines sous l'oeil bienveillant de Félidé. C'était une première pour moi cette pisse à avaler, j'en étais groggy de dégoûts et plaisirs mélangés.
Vous l'avez compris on ne discute pas avec Félidé ! Nous avions tous l'impression d'être son larbin prêt à répondre à son moindre fantasme, correction, punitions, et nous l'acception sans discuter. Passé la première demi heure à se prélasser dans le SPA, Félidé lança le jeu de la " Pierre Feuille Ciseaux " dont j'avais bien compris la règle en me calquant sur Félidé. La coïncidence tomba sur Benoît " le blondinet " grand perdant que je ne pouvais pas " piffrer ". Félidé lui passa une foulard sur les yeux. Le pliant en position ventrale sur le SPA cul bien relevé. Au passage prit une burette remplie de lubrifiant munie d'une canule pour ne pas blesser, en demandant au 7 autres mecs à tour de rôle de bien arroser sa rosette. De son majeur, il vérifiait l'élasticité de son oignon, et quand son majeur le jugea prêt, il me prit à partie pour me chuchoter : " Je fais un aller retour, après tu le doses un max ". Benoît malgré l'entrecuisse sur lubrifiée ne put retenir un cri de surprise à la trique de Félidé qui le perforait direct. Félidé le maintenait par les hanches. Je prenais la suite sous les encouragements des autres qui criait " Polo défonce-le " ! En me forçant à entrer plus profond rythmant mes reins, d'autres lui malaxant les burnes tandis que les autres le suçaient. Félidé avait augmenté le son de la sono, tamisé les lumières. Il ordonna : " tout le monde doit le doser, et surtout donner sa purée à Polo qu'il va partager avec moi de la bouche. A deux doigts de lâcher la purée, tellement il gesticulait s'était si excitant, je cherchait la bouche de Félidé pour lui faire partager ma sémination à portée de son fion. Et ainsi de suite jusqu'aux sept mecs. Félidé arrêta ce jeu sadique enfin. Benoît en chialait le cul en feu " salaud de Polo, vous m'avez eu en traite " ! Félidé: " Tu as perdu sois beau joueur ? ".
-Vous autres vous restez là ordonna Félidé, je vais réparer la cheminée de Benoît. Et tandis qu'il lui enduisait abondamment une crème anesthésiante dans le fion, il lui demanda : " Tu veux ta revanche ". Et " J'ai ce qu'il te faut " ! Félidé avait soigneusement emballé dans un sac poubelle les habits des 6 mecs, y compris Polo, sans Benoît qui se r'habillait prestement pour déguerpir. " Maintenant c'est à toi de jouer, tu descends chez Georgette (elle est prévenue j't'dis), et tu lui donnes le sac ". Tu rentres chez toi sans attendre. Benoît retrouve le sourire malgré la douleur au derche.
-T'es sur que Polo fait parti du lot, oui j't'dit. Ca va être dur de rater ça !
-Surtout n'oublie pas de mettre la cale pour bloquer la porte d'entrée car sinon t'es mort, ils vont se retrouver à la rue.
-Me tente pas dit Benoît !
-Je n'y penserais même pas si tu tiens à tes bijoux de famille.
Félidé rejoint le SPA en demandant à la volée " vous avez vu Benoît " ? Unanimement tous répondent NON. Nous continuâmes une bonne demie heure à nous caresser embrasser sucer mais l'absence de Benoît devenait pesante suspecte. C'est Polo qui prit l'initiative de vérifier son absence. Il revient complètement paniqué " Il s'est tiré, je vous dis " ! " Et vous savez avec nos fringues en plus ". Il y a un post it qui dit " rira bien qui rira le dernier, vos fringues sont chez Georgette ". Tout le monde déserte le SPA illico presto pour constater de visu. " Le salaud, chez Georgette, c'est à une centaines de mètres. Un autre rajoute " une bouffeuse de bite de 60 ans ". Force est de constater qu'une centaine de mètres à 2h du matin si on reste groupé, c'est faisable en évitant les lampadaires les noctambules, et les flics. Félidé propose de téléphoner à Georgette qui confirme avoir trouvé sur son paillasson un sac poubelle avec des vêtements.
-Qu'est ce que j'en fait, je les jette ?
-Félidé au groupe retenant son hilarité " elle demande si il faut les jeter " ?
-Surtout pas répondirent-ils en coeurs affolés, on arrive : " Dit lui qu'on vient Félidé, STP ". Tu nous attends surtout, fais pas le con !
-Je vous attends, grouillez vous, j'espère que Georgette ne sera pas endormie. " Putain ça crains descendre en pleine nuit à oilpé sans papier en plein Paris ".
Epilogue : Restons groupé devenait le mot d'ordre avec une champ de vision à 360 degré afin d'éviter toute surprises devant derrière. Arrivés devant chez Georgette portes closes ainsi que volets et lumière éteinte. Sur le paillasson un sac poubelle vide avec un post it de Benoît : " Et maintenant, vous faites quoi, trous duc " ? Entre rage désespoir colère nous décidâmes de retourner chez Félidé en croissant les doigts pour qu'il ne soit pas l'instigateur de cette plaisanterie. Croisant les doigts pour que la calle tenant la porte ouverte n'ai pas disparue. C'est pratiquement au pas de course que nous terminons les derniers mètres. Ouf la calle est là, porte entre ouverte ! Nous montons quatre à quatre les escaliers jusqu'au 7e. Félidé nous y attends hilare ! Il nous laisse entrer mais dix milles machinations neuronales des plus sadiques nourrissent revanche.
-Et nos fringues demandèrent en coeur 7 mecs à poil ?
-Félidé placide, ils sont là en désignant une armoire !
-Et Benoît ?
-Il vous attend, mais c'est moi qui ai tout combiné, il n'y est pour presque rien...
Nous décidâmes en coeur de coucher sur place pour nous réconcilier.
Je sais, je vais en frustrer plus d'un, car j'ai censuré l'anniversaire du neveu de Chloé avec Max, mais le soirée SPA et pizz avec Félidé valait bien ce chapitre supplémentaire en préparation.
Scoubidou38
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