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Premier épisodeÉpisode précédent

Agriculteur | 8

3 | Encore

Le récit de Julien

J’ai saisi la tête de Cyrille entre mes deux grandes mains et je l’ai embrassé, sans fioritures, une chorégraphie simple, capable d’accorder facilement nos langues qui se nouent, se dénouent. Puis, tandis que mes doigts viennent dans sa bouche jouer à leur tour avec sa langue qui n’a pas tardé à comprendre, la mienne se baguenaude partout sur son visage, des ailes du nez aux paupières, glissant vers son oreille, léchant, suçant, mordillant, éraflant de ma barbe. Et j’entends à sa respiration haletante, à ses mains qui m’empoignent et se crispent, à sa bouche qui tête mes doigts avidement puis les oublie pour quelque grande aspiration vitale, qu’il se laisse désormais emporter par le plaisir.

Alors je me lance dans une cartographie exhaustive mais erratique et hautement fantaisiste de son anatomie de jeune homme m’emparant de son mollet, suçotant son gros orteil, mordillant son talon, léchant son creux poplité sautant à celui du coude puis le renversant tout à trac, tourneboulé sans ménagement pour son confort, pour venir creuser son aisselle, dégustant ses humeurs que ma langue s’empresse de lui faire partager dans une reconnaissance de lui-même que j’espère heureuse.

Et je m’amuse de ses yeux écarquillés par ses découvertes, de ses suffocations, de ses sursauts, de ses précipitations réflexes qui suspendent mon geste ... jusqu’à ce qu’il supplie.

- « Continue, s’il te plaît. »

Car il est adorablement bien élevé, jusque dans le frisson !

Et il me cherche aussi ! Hésitantes, ses mains explorent, son corps se presse. Mais je reste imperturbablement habillé et me préserve en demeurant encore inconnu de lui.

J’aime lui mordiller les épaules, irriter son échine en l’égratignant de ma barbe puis l’apaiser d’une large langue, le voir casser sa nuque puis la relever brusquement pour résister. Vaine tentative !

Je le renverse et l’enroule à l’envers sur son épine dorsale, en appui sur les épaules, le dos arrondi, les genoux encadrant ses oreilles, cul par dessus tête. Sa raie s’est largement ouverte et totalement dévoilée avec ses bourses fripées et sombrement violacées, son périnée parsemé de poils très durs et foncés ... mon index y batifole, jusqu’à venir caresser sa rosette brune pour en tester la résistance. Forcenée.

Mes yeux reviennent alors dans les siens, à terre. Pour une séquence d’une autre nature.

- « Si c’est ta première fois, tu n’as donc jamais pris aucun risque ? »

Malgré cette position inconfortable, il réussit à faire rouler son chef en signe de dénégation.

- « A peine quelques branlettes mutuelles. »

Mon doigt joue avec l’élasticité de son sphincter et mon autre main erre et volette partout ailleurs sur sa peau qui se hérisse facilement, à ma grande satisfaction.

- « Je suis, moi aussi, certain de mon statut négatif alors, si tu m’accordes ta confiance, on peut jouer sans capote pour cette première, qu’en dis-tu ? »

Il souffle un « oui » si enthousiaste que je devine à son soulagement qu’il approuverait la plus folle de mes suggestions, tout aussi démuni que moi qui m’en étais remis à François dans des circonstances analogues. Mais tout comme pour moi, je veux lui donner la chance d’une belle découverte, à ce puceau touchant. Et puis la prise est trop inespérée ...

Alors j’entreprends de lui bouffer le fion, avec tout mon savoir faire, tous mes subterfuges, alternant douceur et rudoiements, le détrempant, léchant, en pétrissant ses boules, claquant sèchement ses petites fesses glabres puis revenant téter, masser, encore et encore et qu’enfin, il palpite, prêt à s’entrouvrir sous mon doigt, sous la pointe de ma langue, que lui aussi suce mes doigts afin qu’ils reviennent, trempés, agacer sa rondelle, qu’il goûte à ses propres effluves en mêlant nos langues. Je le malmène, le presse, l’enroule rudement. Il encaisse, grimace parfois.

Puis d’un coup, je perce !

Et je fais mouche !

Bouche et yeux grands ouverts, respiration coupée, quelques secondes de sidération sensorielle, un éblouissement, semble-t-il.

Je le regarde reprendre pied. Ce n’est qu’un avant goût.

J’ai à peine goûté à sa queue, discrètement arquée à gauche, mouillante. Je ne cherche pas à le faire éjaculer, ça, il connaît déjà !

Puis je m’allonge mollement sur le dos à mon tour, je saisis son téton entre deux doigts et le maltraite jusqu’à ce qu’il m’écarte en le protégeant de sa main.

- « A toi de venir m’embrasser maintenant ! »

Il se redresse, rampe jusqu’à moi, déjà rompu par tant de sensations nouvelles mais pourtant insatiable, il approche ses lèvres. Je souris, je cède d’abord puis j'interpose l’écran de ma main.

- « Voyons si tu as retenu quelque chose de ta leçon ; à toi d’agir, maintenant ! Retire mes chaussures si tu veux bien ! »

Il sourit de la connivence, se retourne, délace ma chaussure, retire ma chaussette et se penche pour embrasser mon pied, se soulevant pour offrir à ma vue ses jolies fesses qu’aussitôt ma main vient mouler, indiscrète . Il ondule discrètement du cul pour encourager ma caresse et prolonge les siennes sur mon pied. Délicatement.

Je crois qu’il est bon élève.

Il s’est retourné, à genoux et mon bras s’enroule à sa taille, ma main couvre son rein, mon majeur coulisse dans sa raie tandis qu’il défait, un à un, les boutons de ma chemisette dont il écarte les pans pour perdre ses doigts dans ma toison qu’il peigne.

- « Juste ce que j’imaginais ! »

- « Parce que c’était prémédité ? »

Il secoue la tête avec véhémence, garde les yeux baissés.

- « Je partais voir des amis quand je t’ai croisé dans le magasin. » Il relève les yeux. « Je me suis dit : c’est maintenant ! »

Je souris et chantonne.

- « C’est aujourd’hui que j’le perds, il parlait de son pucelage, vous aviez deviné j’espère*. »

Mais le regard de Cyrille s’est assombri, vague inquiétude ou scrupule ? Je préfère m’en assurer.

- « Tu peux encore aller retrouver tes amis ... »

Son air soudainement affolé me fait rire et, m’asseyant, je lui empoigne les deux bras.

- « Ou il sera bientôt trop tard ! »

Mais prenant appui sur mes deux mains fixes qui voulaient le maintenir, il projette son buste pour venir me galocher comme un éperdu avec, je dois dire, une certaine efficacité toute nouvelle.

Cependant, je me dégage rapidement et, tout en le maintenant accroupi, je me relève, tombant la chemise puis dégrafant ma ceinture. Face à lui, j’écarte les pans de mon jean dont les boutons sautent un à un, laissant apparaître mon slip déformé et trempé de mouille. Tandis que je soulève un pied puis l’autre pour libérer mes chevilles, Cyrille, à genoux, moule mon barreau et, guettant mon accord tacite, commence à le libérer. Abaissant l’élastique d’un doigt, il enfouit son visage dans ma touffe, prenant une profonde inspiration, plaquant ma queue contre sa joue en la caressant du bout des doigts. Puis il tourne lentement la tête, hasarde la pointe de sa langue, lèche ma hampe à petits coups, d’abord avec précaution puis il s’enhardit et en même temps, ses mains me cajolent, me pressent, m’infligeant de si délicieuses torsions que je crains de ne pouvoir y résister longtemps. La branlette, il connaît !

Le soutenant sous les bras, je le redresse et, à mon tour, lui roule un baiser goulu, mes bras l’enveloppent pour le serrer contre moi tandis que mes deux mains emballent son joli cul, le malaxent, l’ouvrent comme une grenade, lui titillent l’anus, le massent. Je l’ai fait reculer lentement et, quand il butte contre la paroi de paille dont les chaumes le percent comme un saint Sébastien, je le retourne prestement pour m’écraser contre son dos. Ma tige dressée s’encastre exactement dans sa raie et mes pognes, après avoir écarté ses globes, les pressent pour les refermer autour de ma bite tendue de désir. Je froisse le cartilage de son pavillon entre mes lèvres, pousse ma langue épaisse dans son conduit et lui murmure :

- « Qu’attends-tu maintenant ? Et pourquoi moi ? »

Le souffle court accéléré par l’urgence et sur un ton de supplique, il répond :

- « Parce que toi, tu as toujours répondu gentiment à mes saluts, tu ne m’as jamais traité de fils à papa ou de bibelot ... »

- « Alors … ? »

- « Alors mets-la moi, Julien ! S’il te plaît ! »

Il a presq’hurlé sa formule de politesse et ça m’excite, je dois dire, de le voir aussi impatient. Alors je le soulève sous les cuisses pour le faire basculer, buste en avant sur la botte, le cul en offrande, ouvert en grenouille. Ma paluche s’empare de ses bourses que je presse fermement pour qu’il se cambre davantage encore et, à peine ma langue commence-t-elle à lui lécher l’oignon, qu’immédiatement, il se détend et gémit faiblement. Est-ce au souvenir de l’éclair de plaisir que je lui ai octroyé tout à l’heure, il s’offre complaisamment, l’anneau déjà souple.

Une giclée de lubrifiant dont la fraîcheur le fait sursauter et mon majeur le perce sans coup férir pour le vriller en profondeur. Cette piqûre de rappel le laisse souple. Un deuxième jet m’enduit la bite et je le fourre à deux doigts sans effort, trouvant ce point précis qui le fait accéder aux éblouissements. Insensiblement, un bras entourant sa taille le rapproche de moi quand mon autre main guide mon épieu visant son joli trou élastique.

Il s’emploie à avaler prudemment mon gland quand, d’un coup, la douleur le déchire. Je l’attire alors fermement à moi et lui porte l’estocade. Il a crié puis s’est tétanisé, comprimant sauvagement ma queue en lui. Mes caresses et ma voix basse, monocorde, rassurante accompagnent patiemment sa lente détente d’une douce litanie et il proteste quand il me sent amorcer un retrait.

Mais c’est pour arroser abondamment ma tige de lubrifiant avant de repartir toujours lentement en sens inverse, et il en soupire d’aise, déjà accueillant. Une fois encore, je me retire, jusqu’au bourrelet cette fois, puis je le ramène précautionneusement à moi pour que, sous son propre poids, il se plante sur toute l’envergure de mon rostre, compressant mon pubis de son coccyx. Il ventile profondément : pas facile de se dépuceler avec mon gros calibre mais il semble s’adapter, mieux, il engage de lui-même le retrait suivant et sa respiration se fait plus régulière.

Je le regarde s’enfiler souplement de son propre chef avec des soupirs d’aise et, quand il sent ma touffe contre son cul, il tourne sa tête vers moi avec un air de bienheureux comme pour quêter une approbation.

- « Ça va, Cyrille ? »

Il opine du chef, l’air extatique.

- « Alors, maintenant, je veux te voir trouver ton plaisir. »

Je me suis à nouveau retiré sans me désengager totalement et je le guide pour qu’il m’accueille, soulevant sa cuisse, inclinant mon bassin à l’angle idoine. Je l’encourage à jouer de ses abdominaux pour bien sentir ma queue qui le fourre et, les yeux fermés, il ventile pour trouver ce point qui le fait jouir du cul. Mes doigts pincent ses tétons et il grimace parfois mais, après une inspiration profonde, il retrouve cet air apaisé et concentré sur son plaisir.

Cependant, je n’en peux mais ! Mes reins se mettent en mouvement mécaniquement et, pour refréner l’envie qui me consume de le fourrer au jus, je dois l’écraser de tout mon poids pour me brider.

- « Alors Cyrille, est-ce que tu regrettes? Humm ? Ou est-ce que tu voudrais sentir combien j’ai envie de toi, maintenant ?

Il ouvre de grands yeux, déglutit et, toujours aphone, cligne deux fois des paupières sur ses yeux de mendiant. Papa prend les commandes.

Je me retire d’un coup, le laissant sidéré par le vide soudain, puis je le retourne sur le dos comme un sac, je lubrifie abondamment son cul et ma bite avec laquelle je le pointe à nouveau en relevant ses cuisses puis je le remplis progressivement de ma grosse queue devenue brûlante à force de ronger son frein, en guettant ce sourire de satisfaction joyeuse qui s’épanouit sur ses lèvres lorsqu’il découvre qu’il n’y a plus trace de douleur.

Je l’invite alors à se branler, accordant le rythme de mes aller-retour sur celui de son poignet, en plantant mes yeux dans les siens qui soutiennent mon regard. Je vois le plaisir monter en lui, ses yeux chavirer et, quand il explose, je me plante au plus profond, secoué à mon tour par la jouissance.

Je l’entoure de mes bras et je pique tout ce qui est accessible de petits bisous.

Il s’est roulé en boule et blotti contre moi qui le berce doucement. Je me réjouis intérieurement en songeant que je viens de faire jouir en le baisant proprement et à sa demande, le plus protégé des fils du plus sectaire des habitants du lieu, et à sa barbe encore ... quand, soudain, je réalise.

Protégé par sa position quasi fœtale, le minou joue d’une main avec mon téton et de l’autre avec ma bite à quoi il dispense de légères caresses. Je le secoue, il relève ses yeux vers moi.

De grands yeux candides, parmi ceux à qui l’on donnerait le fameux « bon dieu » sans même de confession, tant il est ÉVIDENT qu’il est pur et sans tache. Je ris ! Il ne me la fera pas, à moi !

Il rit aussi, se reconnaissant démasqué. Puis il s’essaie à reprendre l’air suppliant, la paupière tombante, la bouche tremblante.

- « Encore ! »

Amical72

amical072@gmail.com

* Le gorille. Georges Brassens en compose l'air en 1943 à Basdorf, en Allemagne, où l'a envoyé le service du travail obligatoire (STO). De retour à Paris, il pose sur la mélodie du STO les paroles du Gorille : le grand singe, libéré de sa cage par des commères fascinées par son anatomie va perdre son pucelage en sodomisant un jeune juge, vengeant ainsi celui qu’il avait condamné à mort le jour même. Mais le jeune auteur, farouche ennemi de la peine de mort, était allé plus loin dans une première version dont voici la chute :

"Nous terminerons cette histoire / par un conseil aux chats fourrés / redoutant l'attaque notoire / qu'un d'eux subit dans les fourrés / quand un singe fauteur d'opprob' / hante les rues de leur quartier, / ils n'ont qu'à retirer leur robe / ou mieux, à changer de métier."

Les "chats fourrés" est le nom argotique donné aux dignitaires comme les juges qui portent fourrure sur leurs habits de cérémonie. Osé ! Surtout si on dégage la charge politique sous l’apparente bonhommie. Mais considérant que sa chanson ne survivrait pas à ce dernier couplet, Brassens le retire avant de la présenter à Patachou … qui lui demande de la chanter lui-même. Et ce sera les débuts de Georges sur scène. Même ainsi amputé, « le gorille » sera censuré par le Comité de Censure Radiophonique et ne sera diffusé qu’en 1955 sur une radio périphérique.

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