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Premier épisode | Épisode précédent

La danse de Cyrillo | 12


Cyrillo :

J’avoue que 48 heures sans les Frères Teubés m’ont reposé.

Il font partis de cette loftstory chic et dépravée, je suis quand même content de revoir leurs tronches de tueurs et leur allure de motards bien gaulés.
La libération de garde à vue a couté une petite fortune à Margaux. Son ami de l’intérieur a assurément assez de devises pour un citybreak de Luxe à New-York !
Elle s’en tape, elle était juste ravie que son banquier lui fasse livrer de quoi remplir à nouveau son Kelly rose.

Je trouve les frères Harley Davidson un peu ingrat, c’est no-regret et voilà qu’ils font mine de s’être bien éclatés au commissariat, limite, ils vont regretter que Margaux et ses dollars aient abrégé leur séjour jouissif en taule.
Je leur fais remarquer :
– Hey les mecs, faites-nous grâce de vos péripéties en taules, ce n’est pas drôle cette affaire.
Margaux s’exclame :
– Oh mais si, c’est drôle, enfin des aventures en terres inconnues ! Alors ? vous avez violé des policiers ?
– Non t’es ouf Margaux ! Mais le SDF par contre…
– Un SDF !!!! Oh là là j’adore l’idée, comme j’aimerais aussi un bain de sexe avec des SDF…

Je pense que cette femme est folle… Il n’en fallait pas plus pour que Raoul & Fred nous racontent et se battent presque pour avoir la parole. Raoul commence.

– Ouais donc… on s’est retrouvé dans une taule, y avait que nous au début. Top excitant, les barreaux, l’odeur, les graffitis de merde aux murs, bonne ambiance de baise trash, du coup on s’est fait taillé une petite pipe avec Fred !
– Mort de rire, même que Raoul faisait des bruits de grosse pute qui pompe pour attirer les flics !
– Pas d’bol, ils z'en avaient rien à battre.
– Et puis, ils nous ont mis un SDF avec nous.
– Genre le mec il a pas vu une tondeuse depuis un bail
– et il va pas sauna tous les jours, hein pouffiasse, pas comme toi !?!

Je me dis que ça va être dégueu, mais je vois Margaux et Bobby très intéressés et excités, ils écoutent en se trémoussant le cul sur le divan.

Raoul et Fred continuent chacun leur tour :
– Mais beau !
– Putain ouais !
– Quand il a levé la tête, il a montré des putains de yeux verts transperçant
– Grave, mortel comme il regardait le gueux !
– Du coup on a commencé à se rapprocher pour voir, bonne odeur de pisse mais v’là le canon !
– On en a vu d’autres, ça nous a pas arrêtés...
– J’me massais l’paquet pour voir comment il réagissait
– Surtout qu’on bandait encore, on avait pas craché d’la soirée nous !
– Mais le mioche de gouttière nous a dit tout de suite qu’il était pas pd.
– « Qu’est-ce qu’on en a foutre » que j’ai demandé à Raoul !
– Bah ouais ! on s’en fou d’sa Life, alors j’ai sorti ma teube et me suis branlé.
– le cum, quand il a vu la bite de Raoul, il a été choqué…
– ah ouai, j’bandais grave, le monstre bien huilé en mode xxl, tu connais !
– J’ai fait pareil, j’allais pas laisser mon pote s’branler tout seul.
– Là l’mino, il a commencé à se lécher les babines, mais il a redit qu’il était pas pd.
– Le con ! Mort de rire…
– Grave, j’lui ai dit « Vas-y, fais pas ta pute ! viens nous pomper le dard »
– Comme il disait plus rien j’lui ai dit « on sait que t’es pas une tarlouze, mais tu peux rendre service non ? »
– je lui ai dit « 10 euros les deux pipes, et t’avales ! »
– La honte, il a dit « OK, c’est pas pareil, mais t’as pas plus quand même ? et j’avale pas. »
– Ca m’excitait grave, j’ai arrêté de me branler sinon j’allais tout cracher sur mes pompes
– Grave excitant. Bref j’lui ai dit « Allez arrête, t’auras rien, tu crois quoi, qu’ils m’ont laissé mon carnet d’chèques ? »
– C’était l’hallu !
– Je lui ai dit « Allez fais pas ta pute, viens pomper, t’en as jamais eu deux bonnes grosses comme ça »
– Et propres !
– Il était au bord de craquer, mais faisait le digne, alors je lui ai dit qu’on était pas pd, c’est juste pour rendre service et personne en saura quedal.
– J’avais un bifton de 5 balles resté coincé dans la petite poche de mon jean's, je lui ai montré.
– Le type il est venu ... à genoux ! Trop Fort le Fred !
– Carrément ! On s’est levé et on l’a bifflé
– Mort! de rire, il avait la gueule pleine de mouille, on l’a lavé !
– Carwash de jus d’bite !
– Il a pas compris, y s’est retrouvé avec nos teubes bien au fond de la gorge, ça moussait grave !
– C’était bien chaud, il bavait comme une pute, genre « non non » mais toujours la gueule bien ouverte.
– J’l’aurais bien enculé pendant qu’il pompait Fred, mais pas sûr qu’il soit clean, lol...
– y suçait grave bien, et j’peux vous dire que c’était une sacré salope, j’étais à cran !
– J’ai ha-llu-ciné, quand Fred a dit qu’il allait cracher, direct, le mec il a laché ma bite pour tirer la langue à la bite de Fred !
– Genre j’avale pas, mort de rire !!! J’ai bien visé pour lui remplir sa p'tite gueule d'affamé.
– Putain la dose !!! ça m’a fait partir direct, j’ai craché sur la bite de Fred pendant l’autre finissait de l’astiquer.
– Il a eu sa dose de purée pour la s’maine !
– On n’est pas ingrats, on lui a laissé nos bites à lécher pour qu’il se finisse à la main.
– Il nous en a collé plein les godasses, le con !

Je sens Margaux un peu déçu, c’est une femme sensuelle, l’histoire manque de détails au niveau du gout, du toucher, des odeurs.
Quant à Bobby, il est trempé, une grosse auréole tache son short.

Toi tu me regardes, du grand Romain Mystérieux, le regard fixe contre moi, je devine que tu gamberges.
Alexandre arrive dans la pièces avec un plateau de cupcakes faits-maison et du champagne.
La famille est à nouveau réunie, ça mérite bien des bulles, des gâteries et du Mozart.
Je me doute qu’il est surtout réjoui pour son cul. Raoul les gros bras is back !

Je me mets aussi à gamberger… De Culvas… Quoi donner comme une explication, à fois tangible, sans insulter ton intelligence, et que tu ne fuis pas... Dois-je déjà condamner à mort notre histoire si nouvelle, si surprenante, pour un secret.


Romain :

Je soupire. Toute la famille est réunie dans le salon d’Alexandre pour sabrer le champagne. Raoul et Fred sont de retour et nous racontent avec moult détails comment ils ont transformé un jeune SDF en bidet… dans un commissariat de police. En narrant leurs exploits, les deux marlous rigolards échangent des clins d’yeux complices et se claquent réciproquement la paume des mains. Leur auditoire est tout ouïe : Alexandre prend un air détaché, Margaux croise les jambes très haut et très serrées, tu fronces les sourcils et Bobby mouille son caleçon consciencieusement.

Je me lève pour m’accouder au dossier de ton fauteuil. Tu renverses la tête pour me regarder. Je plonge mon regard dans tes yeux grands ouverts. J’y retrouve encore une fois cette petite lueur d’incertitude. Je ne te souris pas pour te rassurer, mais je glisse ma main le long de ton cou pour la plonger dans le col de ta chemise. Je pince très fort ton mamelon gauche en le tordant. Tu résistes la douleur, mais tu cilles légèrement. Peut-être comprends-tu qu’il s’agit d’un avertissement ? Monsieur Cyrillo… Culvas…

Mais il ne faut pas sous-estimer ta maîtrise parce que pendant que je torture ton téton, tu braques un regard laser sur le gentil Bobby qui continue d’humecter son caleçon en badant devant les deux voyous hilares.

- Ma parole, Bobby, tu es le roi des glandeurs !!! Qu’est-ce que tu attends pour aller faire la chambre ??? Et n’oublie pas de changer les draps !!! Et vas changer de calcif… Gros dégueulasse !!! Allez zou, plus vite que ça !!! Aboies-tu.

Le beau gosse déguerpit et moi je te tapote la joue avant de sortir sur le balcon. Sur le balcon, j’ai disposé mes appareils de gym. En avril, ne te découvre pas d’un fil. Pourtant, je me mets torse nu avant de saisir mes haltères et de me coucher sur le banc de musculation. J’ai mon public.

Dans les immeubles d’en face, certains voisins m’observent à travers leurs rideaux avec des jumelles, d’autres font semblant d’arroser leurs géraniums, mais mon préféré est un mec canon qui me regarde carrément. L’autre jour il y avait du soleil et je n’étais vêtu que d’un petit boxer noir. Pour faire plaisir à mon admirateur, je me suis placé debout face à lui pour faire des exercices d’épaules et de bras. Après avoir ouvert sa fenêtre en grand, le mec s’est reculé dans la pièce pour se foutre à poil et se branler. J’ai alors déployé toute ma musculature en creusant le ventre pour accentuer le volume de ma cage thoracique. J’ai presque entendu ses râles quand il a joui. Il m’a remercié en levant son pouce avant de me faire un petit signe de la main. Quand je me suis retourné, j’ai découvert Bobby derrière les vitres de la porte-fenêtre. Le bel esclave de Cyrillo avait abandonné un instant son repassage pour s’astiquer la colonne. Son jean en tire-bouchon sur les pieds laissait apparaître des jambes longues et musclées, légèrement arquées comme celles de certains athlètes de la Renaissance italienne. J’ai eu le désir obscur d’écarter ces jambes… au maximum… jusqu’à la douleur.

Après une heure d’exercices, les muscles gorgés de sang, je décide d’aller prendre une douche. En me retournant, je me retrouve nez à nez avec le Bobby qui se masturbe frénétiquement en me matant. Décidément, j’aime ses longues jambes et ses genoux osseux. Il est pieds nus et je constate que j’aime aussi ses grands pieds bien dessinés. Je le saisis par le menton en prenant un ton grondeur :

- C’est pas beau de mater les gens comme ça, petit polisson. Si Cyrillo te chopait, j’ai comme l’impression que ce serait ta fête.

- M’en fous ! De toute façon il n’a pas besoin de prétexte pour me martyriser. Sourit le minou.

- Dans ce cas, pourquoi te laisses-tu faire ? Que je questionne.

- Parce que j’aime ça. J’aimerais bien t’avoir aussi pour Maître, Romain. Je suis sûr que tu saurais me faire souffrir comme il faut. Qu’est-ce que tu aimerais me faire ? Dis-moi ! Me provoque Bobby en me plantant son regard bleu dans les yeux.

- Je sais pas moi… tu as une idée ? Que je m’informe en haussant les épaules.

- Ça te plairait de me fister ? M’interroge le jeune gaillard d’une voix rauque, en continuant de se branler.

- Probablement… mais je n’ai encore jamais fister personne. Faut s’y connaître un peu dans ce genre de plan. Que je rigole en sentant ma queue durcir.

- Pas grave, on peut demander à Raoul de t’apprendre. C’est un très bon fisteur, je l’ai vu faire une fois. Le mec est même tombé dans les pommes. Ce gros salaud te montrera comment faire, tu n’auras qu’à prendre le relais. Pas plus compliqué que ça.

- Ça ne te fait pas peur ? Tu t’es déjà fait fister, Bobby ? Dis-je… la queue maintenant raide.

- Ouais… une fois seulement. J’ai morflé lourd, mais j’ai quand même joui deux fois. Me rétorque l’innocent jeune homme.

En entendant cela, j’ai les oreilles qui bourdonnent un peu et les couilles qui commencent à chauffer. Les yeux à demi cachés sous sa grosse touffe blonde et son sourire diabolique qui lui fend le visage d’une oreille à l’autre, la belle salope me défie on se cambrant sur ses jarrets. Putain ! il n’a pas froid aux yeux le mignon de Cyril ! Ça me fait chier de marcher sur les plates-bandes de Cyrillo, mais la tentation est vraiment trop grande. Je décide de composer :

- Pour moi, c’est OK. Mais je te laisse le soin d’organiser tout ça. Je ne suis pas très en phase avec Raoul, mais si tu dis qu’il peut nous donner un coup de main… je te laisse faire. Que j’accepte.

- Ça marche comme ça ! Quand j’aurai ton poing dans le cul, je serai à toi, Romain. Tu pourras faire de moi tout ce que tu voudras ! Me répond l’athlète longiligne en m’expédiant une grosse rasade de foutre sur les jambes. L’affaire est conclue.

En ressortant, tout neuf, de la salle de bain d’Alexandre, j’entends la sérénade « Eine kleine nachtmusik » de Mozart. J’aime trop cet air de musique, alors je rentre dans le salon d’Alexandre. Il est seul, assis dans un canapé, les jambes étendues. Il ne semble pas surpris de me voir et m’invite d’un geste de la main à m’asseoir à côté de lui.

- Tu vas bien, Romain ? M’interroge-t-il d’une voix douce.

- Oui et non. Dans ma tête c’est un peu le pataquès… je me demande qui est Cyril… Que je grommelle.

- Ah, nous y voilà… Murmure Alexandre.

- Nous y voilà quoi ?

- Tu veux savoir pourquoi Cyrillo porte aussi le nom de Culvas ?

- Éventuellement, ouais, ça pourrait éclairer un peu ma lanterne. Que je rétorque.

- Oh, tu sais, Romain, c’est une histoire à la fois simple et compliquée. Depuis des années le Marquis de Culvas s’est entiché de Cyril. Au début, Cyril a pris ça à la légère. Il était jeune et ça l’amusait de se faire pomper par le marquis qui est un pompeur extraordinaire, surtout quand il retire son dentier…

Mais malgré sa réputation de sybarite, mon filleul a de solides valeurs morales. Il ne voulait pas devenir un gigolo malgré les cadeaux somptueux que lui faisait Culvas. Mais le marquis n’a jamais voulu lui lâcher la grappe. À tel point qu’à une époque, il n’a pas hésité à envoyer des hommes de main capturer Cyril pour le ramener chez lui. Ça frisait le glauque.

- Qu’est-ce qu’a fait Cyril, il s’est laissé faire ??? Que j’interroge, maintenant très, très intéressé.

- Que non ! Il a résisté, mais le marquis l’a supplié à genoux. Ils ont alors convenu d’un accord : Cyrillo irait chaque mois dans l’hôtel particulier Culvas pour se faire traire à sec par le marquis. En contrepartie, mon neveu et moi pouvions disposer des appartements que nous occupons actuellement. Cyril a accepté ce marché en grande partie à cause de moi. Depuis la mort de ma femme, je suis complètement paumé et il n’a pas voulu me laisser tomber… malgré notre passé… quelque peu ténébreux…

- Mais c’est très romantique tout ça ! Que j’ose ricaner.

- Oui, peut-être as-tu raison de rire. Mais tu sais Romain, parfois dans la vie, se produisent des événements étranges. Il ne faut pas croire que toutes les vies sont pépères. Le Destin ne se préoccupe pas des convenances sociales. Tu en sais quelque chose, non ?

- Oui, c’est vrai. Parfois, quoique que l’on fasse, le contrôle nous échappe totalement. C’est emmerdant, mais quelquefois c’est drôle. Tu as raison Alexandre. Moi, par exemple, je n’aurais jamais pu imaginer que je puisse tomber amoureux d’un tordu comme Cyrillo. Que je grince.

- Cyrillo n’est pas un tordu comme tu pourrais le croire. Je crois qu’il t’aime sincèrement, mais comme toi, il ne sait pas pourquoi. Vous êtes comme deux rivières qui se sont rencontrées pour ne former qu’un fleuve. Vous ne savez plus où sont vos eaux et celles de l’autre. Vous êtes deux orgueilleux dominateurs et maintenant vous devez faire avec. De toute façon… pour faire une allégorie hasardeuse, je dirais que tous les fleuves finissent dans l’océan. Me répond rêveusement Alexandre en lissant la soie de sa robe de chambre.

- Le Marquis de Culvas n’a plus d’héritier depuis bien longtemps. Il est seul et sans famille, mais son instinct de reptile lui a dit que Cyrillo ne le laisserait jamais tomber et qu’ainsi il ne mourrait pas seul. Alors, il l’a épousé au début de l’année. Continue de me dire Alexandre en s’allumant un cigarillo.

Je reste coi, sans pouvoir penser. Je regarde, sans le voir un grand tableau cubiste accroché au mur en face de moi. Loin de moi l’idée d’épouser Cyrillo, mais je ne sais pas pourquoi, l’idée de le savoir marié à un autre homme me fout la rage.

- L’enculé !!! Non seulement je suis son numéro 3773, mais en plus il me la joue les amoureux depuis un mois !!! Je m’en fous qu’il soit marié, mais je ne peux pas supporter qu’il me fasse des cachotteries pareilles. S’il n’a pas confiance en moi, alors je n’ai plus confiance en lui !!! Qu’il aille se faire foutre !!! Que je trompette en bondissant hors du canapé.

Alexandre, toujours très calme, tapote le coussin près de lui pour m’inviter à me rasseoir. Après avoir craché un nuage de fumée colérique par les naseaux, je repose mes fesses sur le divan. D’un geste irréfléchi, je déboucle ma ceinture, j’ouvre mon jean et je relève haut mon T-shirt. J’ai la queue molle, mais je sais que Tonton saura la réactiver pour lui faire cracher des centilitres de foutre.

- Sers-toi Alexandre ! Puisque je ne suis qu’un produit de consommation pour Cyrillo, alors autant que tu en profites ! Que je l’invite.

Sans discuter, le général à la retraite se penche au-dessus de mes hanches et me saisit les couilles de ses longs doigts osseux. Il crache sur mon gland décalotté avant de le mordiller. En 30 secondes, je trique comme un cerf ! J’ai bien l’intention de lui donner toute ma cargaison et je laisse retomber ma tête sur le dossier du divan. Je débloque les freins et me livre tout entier au vieux vampire. À Dieu vat !

Au fond de la vaste salle de séjour, il y a une grande bergère à dossier haut, tournée vers les baffles. La bergère émet un raclement de gorge.

Depuis mon arrivée, Cyril était assis dans le grand fauteuil capitonné. Il a tout entendu. Il se lève et me regarde, le visage figé tandis que Tonton continue de me dévorer goulûment.

Sans un mot, raide et digne, tu passes devant moi pour te diriger vers la porte. Je crois voir des larmes couler le long de tes joues.


Suite de l'histoire


Cyrillo & Romain

cyrillo@cyrillo.biz | alain.romain@orange.fr

TOP AUTEUR 2020 ROMAIN

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