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HISTOIRE

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Premier épisode

Agriculteur | Saison 24 | Identité

2 | Une corbeille – Le récit de Julien.

En sortant du Bar à Thym, nous avons rejoint ma voiture d'un pas alerte sans dire un mot, dans les frimas du soir. Cédric me guide ensuite jusqu'au parking d'une résidence où je la stationne.

- "C'est là, au quatrième."

Quand les portes de la cabine d'ascenseur se referment sur nous, je m'interroge sur ce qui m'a conduit si rapidement ici, cet emballement, en compagnie de ce garçon peu locace dont la proposition m'a cueilli à l'improviste, avec qui, finalement, j'ai très peu échangé, sans même parler d'amorcer un geste de tendresse, pas le moindre contact physique et dont, encore incertain de la suite de l'aventure, j'attends un signe, un encouragement, une initiative quelconque qui achève de me convaincre. Mais il casse sèchement sa nuque, laissant tomber vers l'avant sa tête qu'il secoue d'un côté à l'autre en soupirant puis il la relève vers moi. Il sourit.

- " Quand tu es arrivé, je suis resté en retrait parce que, d'habitude, cette s... de Romain me grille, chaque fois, comme si, à tout moment, interdire à l'autre, quel qu'il soit, lui importait plus que de réussir lui-même."

Sa voix est bien posée dans le grave mais ses pommettes ont rougi quand le s... a sifflé entre ses dents, machoires serrées, oeil dur.

- " Il aime briller, séduire, assurément pour se rassurer car, le plus souvent, il fait tourner en bourrique les mecs sur qui il a auparavant jeté son dévolu ; il s'en détourne d'un coup et les délaisse négligemment, sans conclure, sans leur accorder ce qu'il leur a fait miroiter, encore et encore."

Les yeux qui reviennent alors sur moi ont retrouvé leur couleur caramel fondant ; je m'en félicite car c'est ce garçon-là qui m'a invité à l'accompagner et je m'en régale d'avance.

Cependant, je ne suis pas mécontent de l'avoir vu ainsi se rebeller, j'aime les hommes qui se tiennent debout.

À l'instant même où je décide d'amorcer un mouvement vers lui, voilà que la sonnerie tinte, les portes s'ouvrent sur une vaste perspective éclairée qui nous expose, dans la cabine avec effet vitrine. Je le suis dans le couloir jusqu'à une porte. Il introduit posément la clé, la tourne, la retire, ouvre la porte, allume le plafonnier, me sourit et m'invite poliment du geste à entrer, referme précautionneusement derrière nous ...

Je ne l'ai pas vu se couler dans mes bras et voilà qu'il s'y trouve déjà, blotti, niché, ce pourtant solide garçon ! Tout comme sa langue est naturellement venue se nouer à la mienne pour un long, très long baiser, un coulissement soyeux comme on noue une cravatte, au ralenti, infiniment doux, l'étonnante surprise de l'onctuosité sucrée des gros caramels carrés enveloppés de cellophane qu'enfants, ma mère nous achetait à la boulangerie et qui nous soudaient les dents.

Quand il se détache de moi, ses mains chassant souplement ma parka de mes épaules pour la suspendre au portant voisin, avec la sienne, je ne lis dans la spontanéité de cette aimable attention, dans toute son attitude corporelle, dans ses yeux pétillants, sur sa figure ouverte, qu'une cohérence qui, toute entière, appelle aux attentions, à la gentillesse ; son sourire affiche indéniablement ses intentions canailles, ce qui me réjouit, mais j'entends qu'il m' interpelle d'un éloquent froissement de ses sourcils touffus qui soulève son front.

S'il est bien le siège de notre reconnaissance mutuelle entre pairs, s'il traduit fidèlement l'expression de ses ressentis, son visage me presse et m'invite à éteindre pour ce moment cette vigilance permanente qui nous est commune, à abaisser toutes nos gardes habituelles, à les déclarer, pour une fois, superflues. Pour nous retrouver dans une tendresse bienveillante.

Comment ne pas accéder à sa silencieuse mais instante demande d'un moment vraiment apaisé ? Comment ne pas sacrifier, cette fois, à cette tentation de la confiance réciproque au profit d'effusions sans calcul sinon celui de prodiguer au partenaire toute la volupté dont on est capable, de l'ensevelir de câlineries sans autre arrière-pensée que de parvenir à le suffoquer, jusqu'à l'éblouissement ... et l'accompagner encore ?

Une pause, un hâvre.

Ma main se referme et arrête sèchement son mouvement et quand, surpris, il s'immobilise, mon index remonte à son menton pour le soulever, très lentement, mes lèvres viennent raser les siennes, puis elles reviennent les effleurer encore, puis la pointe de ma langue les souligne, puis ...

Un large sourire l'illumine alors, un instant, très bref.

Car sa bouche se jette sur la mienne dans un murmure de contentement, ses bras entourent mon cou en écharpe et nos langues se retrouvent pour un pas de deux lent et voluptueux pendant que nos mains entament leurs explorations puis s'enhardissent devant l'absence d'objection.

Ses doigts agiles font sauter l'ardillon de ma ceinture suivi par le premier bouton de mon jean dont ils écartent les pans. Il s'écroule. Cédric le suit et, accroupi, délace mes chaussures, les retire, suivies par mes chaussettes, il libère mes chevilles du pantalon. Il se redresse lentement, entraînant ses mains, droit devant lui, chacune d'elles épousant très exactement l'extérieur d'un de mes mollets. Elles parcourent mes cuisses, encadrent mon bassin, mes flancs dans la remontée, le flux d'une vague qui réveille ma peau, me fouette le sang, hérisse mes poils, me hausse sur mes orteils. Elles poursuivent et se glissent sous mon polo qu'elles soulèvent ; ses doigts batifolent dans mes prairies, mille insectes qui farfouillent débusquent mes tétons, tandis que ses lèvres reviennent se souder aux miennes, que sa langue envahit ma bouche et, comme une sucrerie espérée, vient encore enchanter ma bouche.

C'est un sucre d'orge insaisissable qui roule et navigue souplement entre ma langue, mes joues et mon palais. Il fond et son jus parfumé qui coule dans ma gorge est un parfum d'enfance, un de ces bonheurs sans nuage dont je jouissais alors sans partage.

À mon tour.

Cette fois, quand l'extrémité de mes doigts réunis presse son thorax pour l'écarter, il ne manifeste aucune surprise. Il sourit, même, intringué par ce qui va suivre. Croisant les bras, mes deux mains saisissent le bas de mon polo que j'arrache d'un seul élan par dessus tête puis lance au loin, je bombe le torse dans une extériorisation appuyée de ma libération. Il ne reste guère que l'entrave de mon slip qui me contraigne encore. Or, à mesure qu'il le comprime, il ne me rend que plus présent le désir qui se tapit en moi, qui monte calmement, résolu, opiniatre.

Cédric m'observe, envisageant mon buste avec le sourire gourmand du félin embusqué qui voit soudain sa proie s'aventurer à découvert mais mes deux mains viennent alors encadrer son visage qu'elles orientent vers moi.

C'est pour déposer délicatement un bisou sur chacune de ses paupières, puis de même sur ses lèvres. Pour les sceller. Qu'il se mette à ma disposition.

Il a incliné sa tête, décontracté ses épaules d'un frémissement, insensiblement écarté les bras de son corps, manifestement disponible à mes fantaisies. A deux mains, je saisis fermement le bas de ses vêtements, je l'en extirpe d'un seul mouvement par dessus sa tête et les envoie au diable. Il tombe immédiatement dans mes bras, peau contre peau. Je le redresse et le découvre, le torse replet et totalement glabre, le visage fermé et les paupières hermétiquement closes. J'imagine qu'il s'interroge sur l'image que me renvoie sa plastique plutôt confortable mais, moi, je ne pense qu'à ses baisers sucrés auxquels j'ai pris goût et dont je redemande.

Aussi, de la pointe de mes doigts recourbés, je dessine de rapides arabesques en tous sens sur son thorax ; la douceur de sa peau fine m'étonne, me retient, me séduit. Pour mieux souligner le galbe de ses appétissantes courbes, de ses pectoraux d'une rondeur de pâtisserie couronnés d'une aréole soyeuse au téton pointé en guise du fruit confit habituel, de son bidou qui déborde sa ceinture, de son nombril enfoui dans un puits sombre, j'écrase ma griffe dans une caresse fluide de toute ma paume avec de petits murmures de satisfaction. Je le pelote, avec gourmandise, ce rondouillard sans poil qui, maintenant, en vient à frissonner nettement sous mes câlins. Je ne l'en malaxe qu'avec plus de conviction, le piquant ça et là de bisous cannibales. Il glousse ; ai-je dissipé son appréhension ? Est-il bien rassuré ?

Ma main droite glisse sur sa hanche, s'infiltre sous la ceinture de ses vêtements sur laquelle elle se referme en pince, ma main gauche s'applique sur sa braguette puis la défait calmement et, par l'ouverture, palpe rapidement, estimant contenu et position au travers du fin jersey. Ma main droite étire alors franchement les élastiques et la gauche plonge à l'intérieur pour recueillir ses précieux attributs tandis que la gauche rabat prestement ses frusques à mi-cuisses. Je me suis incliné en surplomb de ce trésor, noyé dans une toison hirsute et claire ; deux couilles roulent dans ma paume et sa queue se dresse, arrogante et luisante, comme un défi.

Un rapide coup de langue le fait sursauter dans une subite inspiration rauque ; moi, il me permet d'appréhender à la fois ses odeurs intimes, ses moiteurs et ses fluides visqueux – tous les indices recueillis me rassurent ; ils me libèrent, je peux jouer sans réserve avec cette jolie bite décalottée qui sent bon – Mes lèvres viennent coiffer son gland pointu et, en même temps que je tombe à genoux, je l'engloutis d'un coup.

Il s'est cambré, dressé sur ses orteils, ses deux mains se crispent dans mes cheveux comme en prévention d'une offensive si machiavélique qu'il redoute de ne pouvoir lui résister. Mais je me garde bien de trop me découvrir en déployant d'entrée tous mes talents, me cantonnant à quelques sommaires mais efficaces sucettes apéritives, l'enjeu étant moins de le faire prématurément succomber que d'achever de le révéler.

J'achève de le dévoiler. Chaussures, chaussettes s'envolent, je décroche ses vêtements retenus par le galbe prononcé de ses mollets ronds. Ils tombent à ses chevilles, que je dégage, et les envoie valser plus loin.

Mes mains aux doigts en étoile, hérissées de mille capteurs sensibles, remontent ses solides cuisses lisses en s'y imprimant puis pivotent sur ses hanches pour englober ses fesses. Charnues, épanouies, souples ... une corbeille garnie de promesses de félicité qu'elles palpent et pressent tandis qu'à l'avant, mon visage s'enfouit dans son aine, le nez dans sa fine broussaille échevelée, sa bite barrant ma joue, la marquant d'une touche visqueuse ; mes lèvres aspirent au jugé et capturent une couille qu'elles suçotent à loisir. Sa respiration se précipite.

Ma main droite vient rabattre sa queue que j'entreprends posément de lécher sur toute sa longueur, passant d'abord dessus, ensuite dessous, puis de l'enrubanner de ma langue, avant de l'emboucher lentement. Malgré moi, ma main gauche dérape alors imperceptiblement sur sa fesse ; aussitôt la sienne fond sur elle, vient la replacer d'autorité puis l'accompagne dans sa caresse.

Compris.

J'entrecoupe ma pipe de quelques succions que j'espère des plus renversantes sans négliger de poursuivre d'autres investigations : des deux mains, tantôt je pétris son somptueux fessier pour le modeler, tantôt je l'enveloppe et le lisse, tel un astre dont je voudrais arpenter le relief pour m'en imprégner, l'étirer pour dessiner sa géographie. Mes doigts en souples pinceaux le marquent de légères couleurs d'aquarelle quand lui oscille entre balancement et sidération, long feulement et cri qui, à peine né, s'étouffe dans sa gorge.

Quand je me redresse, l'un de ses bras vient entourer mes épaules mais l'autre se replie et maintient une de mes mains dans ses reins qui se creusent. La simple gravité l'entraîne sur ce tremplin, elle dérape dans cette courbe puis celle de mes doigts s'inverse pour mouler le galbe de ses fesses et mon majeur sombre dans la crevasse qui les sépare. Nos lèvres se rejoignent, nos langues échangent leur salive, nos viscosités et nos goûts. Son bel appétit de gourmand sans prévention me rassure et me plaît. Je n'aime pas les princesses qui rechignent devant leurs propres excrétions en pinçant du bec.

Il s'écarte, un sourire au coin des lèvres. Il vient frotter le bout de son nez au mien, ses pupilles se font veloutées. Cet homme transpire le plaisir et j'en suis enchanté.

- "Viens !" me dit-il.

The man I love … Pour découvrir d’autres versions de ce tube des frères Gershwin

Amical72

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