Chapitre 1
J'y suis enfin arrivé, être embauché dans l'équipe de jardiniers du jardin du Sénat.. je ne sais pas pourquoi j'avais envie d'aller travailler à cet endroit, peut être le fait que le jardin était magnifique et bien entretenu.. j'avais postulé, et après plusieurs entretiens professionnels, j'ai été retenu et mis à l'essai pour trois mois..
Un coup de chance j'avais trouvé un petit appartement sympa dans la rue de la Garancière, vraiment à deux pas du Sénat.. impressionnant..
J'ai emménagé rapidement, j'avais pas grand chose.. et au bout de trois semaines, je commençais à souffler.. mon appartement commençait à prendre forme, j'avais fait quelques achats pour le rendre plus accueillant.. mais depuis trois semaines j'avais la queue qui commençait à se plaindre.. j'avais beau jouer de la branlette, je bandais comme jamais.. comme un ado qui regarde pour la première fois un film porno..
Et, pourtant je ne suis plus un ado, je me présente, moi, c'est Fabrice, 26 ans, jardinier paysagiste, pédé jusqu'au bout des ongles.. bien fait de ma personne, une belle queue qui bande facilement toujours à la recherche d'une bouche ou d'un petit cul accueillant..
Mais là, depuis trois semaines, rien.. il faut dire que j'ai pas cherché, entre le nouveau travail, où il fallait quand même que je m'habitue, tant aux chefs qu'aux collègues.. la recherche pour agrémenter mon appart.. ne m'ont pas laissé beaucoup de temps pour la drague.. et je ne connaissais pas grand chose à Paris..
Il faisait un temps magnifique depuis mon arrivée, et dans ce jardin du Sénat, il y avait pas mal de monde qui se promenait du matin au soir.. oh pas tellement de quoi draguer.. et, personne ne faisait bien attention aux jardiniers..
Mais, depuis quelques jours j'avais repéré un jeune mec, de mon âge environ, un grand gaillard aux épaules larges, en costume cravate, son portable à la main, n'arrêtant pas de le regarder, qui déambulait dans les allées.. on peut pas dire qu'il était fier.. il ne regardait personne, seul son téléphone portable semblait l'intéresser.. lorsqu'il venait face à moi, je voyais son entre jambe qui laissait présager une belle queue vu le renflement qu'il y avait.. et quand il passait près de moi et que je pouvais le voir de dos, c'était pour voir son petit cul bien serré dans le pantalon.. et là je triquais comme un malade..
Je le trouvais beau, attirant.. mais attifé comme un Sénateur.. oh il ne devait pas l'être, il était bien jeune.. j'avais envie de l'accoster, mais je ne savais pas trop comment m'y prendre.. et il fallait que je pense à mon travail.. si c'était un mec d'importance et qu'il se sentait importuné.. qu'allait il faire ?
Mais vous savez bien qu'il y a un Dieu pour les pédés..
Il a jeté son dévolu sur nous au bout de trois ou quatre jours.. j'attendais le rituel comme une prière.. et, ce jour là lorsqu'il est arrivé.. j'ai remarqué que j'avais oublié un râteau dans l'allée .. j'ai juste eu le temps de sauter dans l'allée pour me mettre devant lui et l'empêcher de s'empêtrer les pieds dedans..
-excusez moi monsieur dis-je assez fort
-désolé répond le beau mec, je n'avais pas vu..
Naturellement, si t'avais pas ton nez dans ton téléphone pensais je en souriant..
-non c'est moi..
Et, là j'ai eu le loisir de le voir de plus près, de beaux yeux noisettes me fixaient, me semble-t-il avec intérêt, son visage fin, bien rasé, ses cheveux noirs bien rangés.. j'étais juste à côté de lui et je pouvais respirer son odeur que je n'arrivais pas à identifier vraiment.. mais il sentait bon le mâle.. et ce mâle me plaisait..
Il a été poli, m'a souri, a semblé s'intéresser à ce que je faisais et il a passé ainsi quelques minutes avec moi.. j'ai trouvé qu'il me regardait avec attention.. mais comme je me fais souvent des idées.. si notre rencontre avait eu lieu dans un coin de drague, il y a longtemps que je l'aurais pris dans mes bras.. mais là, dans le jardin du Sénat.. je ne crois pas que cela se fasse souvent..
Et, nous avions notre petite rencontre, comme ça tous les jours.. il parlait, je m'habituais à son sourire, ses beaux yeux noisettes qui me fixaient.. mais nos discussions étaient banales.. je n'osais pas en faire plus et je pense que lui non plus.. pourtant j'avais remarqué que son pantalon était plus rempli à son départ qu'à son arrivée.. je lui avais pourtant montré que je n'étais pas insensible.. ma queue jouait dans mon bleu de travail..
Je me souviendrais toujours de ce lundi soir.. j'allais pour rentrer chez moi, et j'ai décidé de faire un tour dans le quartier.. et de boire un verre dans un petit café de la rue de Médicis.. je me suis installé au fond du bar, au comptoir sur un grand tabouret.. je sirotais tranquillement ma bière.. quand mon coeur s'est arrêté.. MON SENATEUR entrait.. toujours dans son costume cravate, élégant, bandant.. il regarde dans la salle comme s'il cherchait quelqu'un.. et ses yeux viennent au bar.. nos yeux se croisent.. je crois que nos coeurs se sont arrêtés en même temps.. il a hésité, un sourire est venu sur ses lèvres et il s'est approché de moi..
-mais je connais ce visage dit-il en approchant.. même avec le changement de tenue je vous ai reconnu..
-vous, c'est plus facile.. mais vous êtes toujours habillé comme ça ?
-non non dit-il en riant, laissant voir une belle dentition blanche, ses lèvres que j'avais envie de saisir.. seulement dans le travail.. après je me lâche ..
-ah ah je voudrais bien voir comment un sénateur se lâche dis-je
-eh je suis pas sénateur dit-il
-cela vous irait bien..
-non je suis juste assistant parlementaire
-oh et ça consiste en quoi dis-je de mon air le plus intéressé possible..
Et il s'est mis à me parler de son boulot, de ce qu'il faisait.. il en devenait intarissable.. son laïus fut interrompu par le serveur du bar.. il a pris une bière, comme moi, s'est perché sur le grand tabouret, juste à l'angle du comptoir, ce qui fait qu'on était presque l'un en face de l'autre et nos genoux n'arrêtaient pas de se toucher.. j'avais reculé le mien, puis remis, il avait reculé le sien puis remis, puis les genoux ne se sont plus quittés.. et, il parlait en me regardant dans les yeux.. je buvais ses paroles mais je suis incapable de vous dire ce qu'il m'a raconté..
On s'est raconté nos courtes vies.. on a remis une tournée.. on a parlé encore et encore..
-je connais un petit restaurant pas loin dit-il on y va ?
Bien sûr que j'ai accepté.. j'étais bien, j'avais juste envie de l'embrasser..
Il m'a emmené dans un petit restaurant près de St Michel.. on a passé une excellente soirée.. il parlait énormément, moi aussi d'ailleurs.. nos mains se sont touchées, le silence s'est fait, on se regardait.. qu'est ce que j'avais envie de lui..
On est sorti du restaurant.. il m'a dit qu'il devait prendre le métro pour aller chez lui en banlieue.. je lui ai proposé un dernier verre de bière chez moi.. une bière alsacienne une Fischer..
-t'as trouvé ça où ?
-ben dans un magasin.. dis-je en riant pourquoi ?
-je viens d'Alsace me dit-il alors je suis partant..
En arrivant dans mon immeuble, un code, un tout petit ascenseur.. vous savez l'ascenseur où on peine à tenir à deux.. alors forcément deux gabarits comme nous.. on se tenait face à face.. je le regardais, on se touchait presque, je le regardais, ses yeux vers le haut.. alors j'ai osé.. je l'ai pris dans mes bras et j'ai posé mes mains sur ses fesses.. une main une fesse et je l'ai attiré à moi.. il est plus grand que moi, surpris, il n'a pas cherché à s'échapper, a baissé la tête, m'a regardé, j'ai posé mes lèvres sur les siennes..
Une grand frisson nous a parcouru.. les bouches se mangeaient, les lèvres se frottaient, et les langues ont fait connaissances.. à part le bruit de l'ascenseur qui montait toujours lentement, on soupirait comme des malades, ses bras me serraient contre lui.. je caressais ses fesses pour constater qu'il ne portait pas de sous vêtements.. les fesses étaient dures, fermes bien agréable à caresser..
Lorsque l'ascenseur s'est arrêté, on a eu du mal à se décoller.. on est sorti de l'ascenseur toujours les lèvres soudées, j'ai ouvert ma porte.. et, telle une furie il m'a serré dans ses bras.. langue au fond de ma bouche que je léchais et suçais pour avoir toute la salive.. j'ai commencé à le déshabiller, enlever sa veste, le caresser sur sa chemise, dénouer la cravate pour qu'il respire.. enlever sa chemise.. lui, avait passé ses mains sous mon tee-shirt.. ses mains douces et chaudes me caressaient le dos, le ventre, touchaient mes tétons sensibles.. il a retiré mon tee-shirt et nos torses se sont collés, j'ai tout de suite apprécier la douceur de sa peau, la dureté de ses muscles.. sa main est venue me caresser ma queue bandée, prisonnière de mon jean.. il l'a dégrafé, il est tombé à mes chevilles et sa main a de suite glissé dans le boxer, ses doigts s'en sont emparés.. j'ai défait son pantalon qui a glissé à ses pieds et j'ai pu mettre mes mains sur ses fesses nues.. il portait un string le cochon.. je jouais avec la ficelle, tirant dessus pour qu'elle lui rentre encore plus dans la raie.. il gémit toujours en m'embrassant.. je lâchais ses lèvres..
-toi t'aime la bite dis-je en le regardant.. tu portes toujours un string ? prêt à te faire mettre rapidement ?
-faut jamais louper une occasion dit-il en reprenant mes lèvres.. et me caressant toujours ma queue..
On a fini de se déshabiller et j'ai pu l'admirer, enfin, nu.. quelle belle bête, musclé, une poitrine d'enfer avec des tétons qui pointaient.. je l'ai pu m'empêcher de les sucer, de les mordiller, de les lécher.. et sa queue! que dire de sa queue.. un engin bien raide, bien dure, tournant légèrement vers la droite.. une belle paire de couilles pendaient.. c'est lui qui s'est mis à genoux devant moi, prenant ma queue dans sa bouche, l'avalant au plus profond.. sa bouche est chaude, humide et sa langue somptueuse, léchant, caressant et ses lèvres faisaient des vas et viens dessus, sa main me tenait les couilles, les faisant rouler dans sa main.. sa langue a suivie toute la longueur de ma queue pour arriver aux couilles, les lécher et les gober entièrement, ses mains me caressaient les fesses tendrement.. et il pipait avec entrain..
Je l'ai fait relever.. se retourner, se pencher en avant.. je voulais voir de plus prêt ce beau petit cul toujours prêt à l'emploi.. je caressais ses fesses en les écartant.. la raie est apparue, très peu de poils.. un anus qui s'ouvrait facilement.. au premier coup de langue, il a gémi, comme pour m'encourager.. alors j'ai bouffé ce beau cul, me délectant de son odeur.. de cul bien sûr mais il y avait son odeur, à lui ce beau mec.. et c'est une odeur agréable.. ma langue léchait, forait, emplissait de salive et le petit trou s'ouvre.. je pouvais mettre deux doigts directs.. et je m'en suis pas privé.. il fallait l'entendre gémir quand mes doigts s'enfonçaient et tournaient dans son cul, le forant au plus profond .. il tendait bien son cul, s'offrait..
-tu veux ma bite monsieur le Sénateur ?
-oui dit-il dans un souffle
-alors demande là poliment ..
-encule moi s'il te plait! baise moi fort..
J'ai craché sur mon gland bien décalotté, retiré mes doigts les remplaçant de suite par ma queue, la déposant juste devant l'entrée, le gland a demi entré..
-viens la chercher maintenant.. encule toi dessus ma belle salope!
Et j'ai vu son cul reculer doucement, "avalant" ma queue qui disparaissait doucement dans ce beau petit cul ferme.. et mes poils sont venus caresser ses belles fesses..
-beau cul gourmand! ah tu dois en prendre de la queue mon salaud pour l'avaler comme ça..
-pas assez à mon goût dit-il
Il m'excitait l'alsacien.. alors je l'ai pris au hanches, je me suis bien calé, j'ai retiré ma queue doucement, et, au moment où elle allait sortir de son antre, je me suis renfoncé d'un seul coup, le faisant gueuler.. j'avais le sourire aux lèvres.. et j'ai commencé mes vas et viens, toujours lentement au sortir pour revenir en force et frapper, claquer sur ses fesses.. je lui donnais quelques claques sur les fesses qu'il semblait apprécier.. et je l'ai baisé, enculé comme la salope que je découvrais.. il s'ouvrait, s'offrait et en demandait toujours plus.. mais le plaisir arrivait, j'ai ralenti, voulant que cela dure.. mais j'avais pas eu un cul comme ça depuis un moment.. je l'ai fait se redresser pour lui caresser la poitrine, martyriser ses tétons en l'enculant par petits coups.. il gémissait toujours, j'ai touché sa queue qui bandait, qui suintait.. j'ai voulu le branler en cadence mais mon plaisir est arrivé d'un coup.. une longue giclée s'est engouffrée dans son conduit l'inondant au plus profond, son sphincter s'est refermé sur ma queue, l'emprisonnant complètement.. et les autres rasades sont arrivées.. je me suis vidé complètement.. j'ai attrapé sa queue et je l'ai branlé.. j'ai senti son sphincter se resserrer encore sur ma queue qui n'avait pas débandé.. et ma main a été inondé de bon jus que je lui ai donné à lécher.. ma queue encore raide est sortie de son petit trou.. il s'est retourné, m'a embrassé, ses lèvres sont descendues sur mon torse pour venir avaler ma queue, la lécher, la sucer.. j'en avais les jambes qui tremblaient.. il accélérait.. sa langue chaude, ses lèvres enveloppant ma tige, m'excitaient au plus haut point.. et, dans un râle je me suis déversé dans sa bouche.. il a tout avalé en léchant copieusement la queue offerte..
Je l'ai entraîné sur le lit, on s'est allongé, s'enlaçant immédiatement, les jambes se mêlaient, les bites faisaient connaissance, et ses lèvres sont venues se reposer sur les miennes, sa main caressait ma joue tendrement..
-t'es un bon toi dit-il
-on fait ce qu'on peut dis-je en riant.. mais j'aime autant le cul que toi la bite.. j'ai l'impression
-ah ah alors on devrait bien s'entendre dit-il
-quand tu veux.. je serais toujours prêt!
-mais là il faut que je rentre..
-tu peux rester si tu veux.. le lit est assez grand.. dis-je en faisant ma salope dans ses bras..
-j'aimerais bien mais je n'ai pas mes affaires de rechange
-ah oui bien sûr.. eh bien je te propose un truc.. si tu veux bien sûr.. demain ou un autre jour tu amènes des affaires de rechange comme ça tu peux rester et.. t'en prendre plein le cul.. car j'aimerais bien le visiter encore et encore.. tu me fais bander ma belle salope.. je crois que tu dois être un bon vicieux.. et j'adore les vicieux surtout s'ils sont bâtis comme toi..
Il m'a fait taire en m'embrassant et me caressant..
-je vais y réfléchir dit-il sérieusement.. mais tu as oublié quelque chose ..
-quoi dis-je étonné
-je mérite pas une Fischer ?
On a rigolé.. on s'est relevé, et nus, on a siroté la bonne bière.. il était tout sourire..
Il s'est rhabillé, je l'ai aidé à resserrer sa cravate, profitant de me frotter à lui encore nu..
-tu me plais avec ta belle cravate.. ça me donne des idées..
-quoi comme idée ?
-tu verras si tu reviens.. dis-je sérieux comme un pape..
-ça c'est du chantage..
-peut être dis-je en l'embrassant tendrement, au fait moi c'est Fabrice
-et moi Cyril..
-eh bien Cyril passe une bonne nuit et à demain alors!
-bonne nuit à toi également Fabrice
Je le pousse vers la sortie ne pouvant m'empêcher de lui caresser ses belles fesses.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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