Chapitre 1
Je me nomme Baqir, je suis un réfugié afghan, je suis en France à Paris depuis plus d'un an maintenant, j'ai vécu dans des tentes, sous les métros aériens, au gré des déménagements forcés..
J'ai maintenant 21 ans, je me suis enfui d'Afghanistan lorsque les talibans ont commencé à tuer des familles afghanes aux alentours des grandes villes.. j'étais berger avec des amis dans la montagne près d'un village appelé Bangi. Lorsque les talibans sont arrivés dans notre village, ils ont tué tout le monde, avec mes amis Nour et Jahan nous avons entendu le bruit des détonations, des bombes lancées.. on a eu peur.. on est resté caché jusqu'à ce qu'ils partent.. lorsqu'on est revenu dans notre village, il n'y avait aucun survivant.. nous n'étions plus que trois..
On a fouillé partout.. aucun survivant! on a ramassé tout ce qui pouvait avoir encore de la valeur, on a trouvé de l'argent, pas mal d'argent, une veille voiture dans une grotte, que Nour a fait démarrer, on l'a chargé de nos trésors et on est parti en direction du Pakistan.. on a jamais compris pourquoi ils nous ont laissé entrer.. on a traversé leur pays pour arriver en Inde où la vieille voiture a rendu l'âme..
On s'est mis dans la tête d'aller en Europe..
On était bien tous les trois, bergers, dans notre pays.. on vivait tranquillement au fil des jours.. on rêvait de voyages, de belles filles qu'on pourrait rencontrer, se marier, avoir des enfants.. mais on parlait surtout de sexe entre jeunes.. la sève montait rapidement et Jahan était toujours le premier à sortir son sexe pour se masturber devant nous.. cela le faisait rire et l'excitait beaucoup disait il.. alors on en faisait autant et on riait comme toute jeunesse insouciante de n'importe quel pays..
Mais un mois après être parti de notre pays, il nous manquait déjà, on ne pensait plus aux filles, aux masturbations.. on ne pensait qu'à survivre.. L'Inde est un beau pays, mais comme dans tous les beaux pays il y a des salauds qui profitent des gens.. pour se loger et pour se nourrir , on nous a demandé de nous prostituer.. et pas avec des femmes! De vieux Hindous plein de fric.. c'est ainsi que j'ai été sodomisé brutalement un soir.. J'avais honte, j'ai pleuré commençant à regretter d'être parti.. mais les nouvelles que l'on avait d'Afghanistan nous montraient qu'on avait bien fait de partir..
On a été obligé, mes amis et moi, de coucher ensemble, faire des spectacles aux vieux hindous.. nous l'avons fait!
Et nous sommes revenus au Pakistan à Karachi.. où c'était guère mieux.. On avait pris le train pour Karachi, où en arrivant c'est un vieux pakistanais qui nous a pris en charge..il disait qu'il faisait parti d'une ONG.. en fait s'il faisait bien parti d'une ONG c'était notre cul qui l'intéressait.. et il s'en est servi le vieux brigand ..
On est resté un mois environ à Karachi, renfermé, à poils dans un taudis où l'on recevait les mecs qui venaient nous baiser.. on était traité comme des esclaves, des putes, des salopes..
Jamais je ne parlais comme ça auparavant, je connaissais à peine ces mots.. mais j'ai appris et vite!
Mon cul avait été rôdé par les hindous.. les vieux bandaient peut être mou.. mais ils étaient bien monté et mon petit cul de jeune mec qui n'avait même pas vu un doigt le toucher.. a été bien ouvert.. alors lorsqu'on est arrivé chez les pakistanais.. heureusement qu'on était passé en Inde.. car le sexe des pakistanais, enfin ceux que j'ai pu voir, étaient énormes et bandaient très dur..
Les langues d'Afghanistan et du Pakistan se ressemblent un peu.. et j'arrivais à comprendre ce qui se disait.. le premier pakistanais à venir fût un rebelle des montagnes, il puait, était sale.. quand il a enlevé son grand vêtement, l'odeur s'est répandu, une odeur de rance, ça sentait le renfermé, ça puait.. et quand j'ai vu son sexe sortir de son pantalon en toile.. je suis resté ébahi.. j'en avais jamais vu de si gros et de si long.. un sexe circoncis comme dans tout le pays.. une paire de couilles plus grosses que celles de mon bélier que j'avais dans ma montagne.. et le pakistanais puait autant! sans un mot il m'a appuyé sur la tête pour que je le suce.. lorsque j'ai ouvert la bouche, le gland peinait à entrer.. sa bite sentait mauvais, la mouille qui coulait avait une drôle d'odeur, j'ai eu plusieurs fois des hauts le coeur.. mais il s'en foutait complètement de ce que je pouvais ressentir.. son gros sexe s'est enfoncé dans ma gorge.. j'ai pleuré, toussé, craché.. mais ce putain de gros sexe enflait encore, ma tête était maintenue sur le sgeg.. et il s'est mis à me baiser la bouche.. vous savez comme quand on baise un cul.. j'avais oublié l'odeur et je me concentrais sur la grosse queue qui me remplissait bien la bouche.. je savais qu'il allait me juter au fond de la gorge.. et quand ses giclées sont arrivées.. sa main tenait ma tête et les giclées coulaient dans ma gorge.. son sperme était mauvais, acre.. comme une marchandise périmée..
Quand il a sorti sa queue de ma bouche, il était encore tout raide.. le jus coulait encore de sa queue.. il m'a retourné comme une crêpe , sur le dos, les pattes en l'air.. m'appuyant sur les jambes d'un bras.. et je l'ai vu mouiller son pouce pour venir me l'enfoncer dans l'anus.. qui en avait vu d'autres depuis un mois.. mais là, il s'est enfoncé en moi directement.. m'écartant le trou.. pour y mettre plusieurs doigts et me les enfoncer au plus profond.. la sueur m'a recouvert.. j'avais mal.. mais quand je l'ai vu se mettre au dessus de moi, que j'ai senti son gros gland se poser sur mon petit trou.. il n'est pas resté longtemps ainsi.. il s'est penché au dessus de moi, tenant mes jambes avec ses bras et sa queue, son gros sgeg s'est enfoncé d'une seule poussée en moi.. vous dire que j'ai eu mal.. j'ai gueulé comme un forcené, j'ai cherché à me sauver.. mais ce vieux bonhomme était plus lourd que moi et m'écrasait.. alors j'ai subi cette baise, ce viol.. il s'en foutait de m'entendre gueuler.. je pleurais toutes les larmes de mon corps.. et sa queue s'est enfoncée au plus profond.. et quand il s'est mis à me baiser.. j'ai honte de dire maintenant que j'ai aimé sa grosse queue en moi.. comment vous dire.. il me faisait toujours mal quand il bougeait en moi.. mais de sentir sa queue me caresser l'intérieur me mettait en chaleur et je me suis surpris à gémir.. cela l'a fait rire.. et il a continué à me baiser, à sa cadence.. pas trop vite. mais juste pour que je sente bien son sexe me remplir, me ramoner, frotter en moi.. ses grosses couilles frappaient sur mes fesses..
Sans sortir son sexe de mon cul, il m'a fait mettre à quatre pattes.. et le va et viens était encore plus profond, m'arrachant encore plus de gémissement.. j'avais hâte qu'il jouisse en moi pour sentir son jus chaud qui puait me remplir.. mais il a pris son temps le vieux.. pour la deuxième décharge.. il ressortait complètement son sexe de mon cul qui restait ouvert attendant d'être comblé car il laissait un grand vide..
Il s'est allongé sur le dos, m'a fait asseoir sur sa queue, je lui tournais le dos, il tenait mes fesses dans ses mains calleuses et les faisait monter et descendre bien à fond sur sa queue.. il a encore changé de position, on était allongé sur le côté, il me soulevait une jambe et sa queue coulissait bien dans mon cul.. quand il m'a fait tourner à plat ventre, il était sur moi, toujours en moi.. je jouais avec mes fesses à serrer sa queue.. il gémissait quand je lui faisais cela.. mais là, sur moi il s'est mis à me baiser avec violences, je sentais ma queue s'écraser sur le tapis.. et ses coups de reins sont devenus déments.. de plus en plus vite, de plus en plus forts.. jusqu'à ce qu'il pousse un hurlement en s'écrasant sur moi.. et que je sente son jus venir m'inonder la galerie.. du jus en super puissance, chaud qui ne cessait de couler pendant qu'il rugissait et quand il a cessé de rugir j'ai senti ses dents se planter dans ma nuque et me mordre avec force.. comme s'il voulait m'arracher un morceau.. et sa queue continuait de couler pendant que je gueulais..
Il est resté sur moi un moment, sa queue peinait à débander.. je la sentais encore bouger en moi, nager dans son sperme.. puis il s'est dégagé, s'est relevé et s'est barré sans un mot..
En un mois il est revenu plusieurs fois.. et c'était toujours pareil.. la baise était très hard!
Pendant ce mois on en a vu défiler des bites.. je dormais avec mes compatriotes Nour et Jahan.. on ne finissait pas de raconter nos histoires.. on bandait, on se branlait ensemble.. j'étais plus proche de Nour, qui était plus tendre que Jahan.. Souvent lorsqu'on s'endormait il venait dans mes bras, me caresser, on se frottait l'un contre l'autre, on se faisait bander encore et pendant que Jahan dormait.. Nour me suçait comme moi je lui faisais et j'aimais sucer sa bite.. il avait une belle queue bien raide, bien dure et j'aimais la voir juter, j'aimais voir sortir son jus du petit trou qui jaillissait dans les airs pour retomber sur lui.. et , quand la première fois il a posé ses lèvres sur les miennes, que je l'ai vu fermer les yeux en faisant cela, j'ai eu des frissons partout, nos corps se sont soudés.. et sa langue est entrée dans ma bouche.. j'ai d'abord eu un mouvement de recul mais sa langue a touché la mienne.. comment dire ce que j'ai ressenti à ce moment là.. comme un courant électrique me passer dans le corps, sa langue entrant dans ma bouche, ses bras me serrant le corps contre le sien.. il m'a fait rouler pour venir sur moi.. j'étais bien , tout était oublié..
C'était un rituel le soir, rien que tous les deux quand Jahan dormait.. c'était notre moment de bonheur..
Le vieux pakistanais qui nous avait accueilli à notre arrivée à Karachi, faisait bien parti d'une ONG, on avait gagné notre passage en Egypte, en bateau.. avec notre cul.. on a donc embarqué sur un bateau, pour passer par la mer d'Arabie, longeant les côtes d'Oman et du Yémen pour arriver à la mer Rouge, et remonter le canal de Suez et arriver au Caire.. où nous avons été pris en mains par une autre ONG.. on était logé dans le désert à la limite du Caire.. c'est là que nous avons perdu Jahan, parti avec un jeune égyptien, il n'est jamais revenu avant notre départ.. on a survécu quelques temps puis l'ONG nous a emmené en car jusqu'à la frontière de la Libye et conduit à Tripoli, où nous avons été logé dans des tentes sur la plage, en attendant d'avoir une place dans une embarcation qui nous conduirait en Italie..
Après mille péripéties nous sommes arrivés en Italie et frauduleusement par le train nous sommes arrivés tous les deux à Paris.. on a vite retrouvé des compatriotes et être déçus de leur comportement.. tout n'est que fric, vols et agressions.. j'avais honte et Nour également.. on s'est rapproché d'une ONG, on leur a raconté notre histoire, notre périple, notre vie de jeune berger, de putes dans différents pays.. et notre désir de rester en France, d'apprendre le français et de faire tout ce qu'il fallait pour vivre dans la légalité.. des dossiers ont été faits, la charmante dame qui s'occupait de nous, car on ne voulait pas être séparés.. nous a inscrit à des cours de français pour étrangers.. qu'on a suivi avec assiduité.. et, comme on est pas trop bête, on a vite fait des progrès tous les deux.. mais on a vécu longtemps dans une tente.. jusqu'au jour où j'ai réussi à avoir un studio et nous avons emménagé Nour et moi immédiatement..
On se retrouvait à se serrer, le soir dans le petit lit, l'un contre l'autre.. et nous avons pu faire l'amour tendrement pour la première fois ensemble.. quel plaisir on prenait tous les deux.. on ne se disait pas je t'aime.. mais ça se sentait.. on se connaissait depuis tellement longtemps.. qu'on savait ce que l'autre ressentait..
On continuait à prendre des cours de français.. mais on était pas dans la même classe.. j'avais comme professeur un vieux monsieur, français, qui avait l'air très gentil.. qui prenait le temps avec chacun de ses élèves pour les explications.. et c'est peut être pourquoi j'ai fait tant de progrès..
Un soir à la sortie du cours, le vieux monsieur, enfin je dis vieux il avait une cinquantaine d'années.. est venu me voir..
-tu sais Baqir je suis content des progrès que tu fais, mais tu pourrais en faire plus si tu prenais de leçons particulières tu sais..
-peut être monsieur mais je vais les payer comment ces heures ? je n'ai aucun argent..
-si c'est avec moi il ne sera pas question d'argent entre nous.. je sens que tu as beaucoup de potentiel tu sais
-de potentiel ?
-oui tu apprends très vite.. et là on fait vraiment la base.. il faudrait que tu en apprennes plus..
-qu'est ce que je dois faire monsieur
-tu es libre quand ?
-oh tous les jours monsieur
-bon je vais voir quels jours je peux te donner ces cours et je t'en reparle dans les jours qui viennent..
Lorsque je suis rentré à l'appartement, j'ai raconté cela à Nour, qui était très content pour moi.. mais il semblait un peu contrarié que cela ne lui arrive pas.. alors pour le consoler..
-eh bien quand je rentrerais des cours particuliers c'est moi qui ferais le prof avec toi.. comme ça tu en sauras autant que moi..
On a fêté ça tous les deux; à notre façon.. à poils tous les deux sur notre petit lit.. on s'était perfectionné tous les deux ensemble pour se donner un max de plaisir.. et je peux vous dire que les giclées étaient abondantes.. et bonnes à avaler!
Il aimait mon petit cul comme moi j'aimais le sien.. il n'y avait pas un soir où l'on ne baisait pas tous les deux.. et on était sage, on est jamais allé chercher ailleurs..
Quelques jours plus tard, je commençais mes cours particuliers chez monsieur Victor.. tout se déroulait à merveille et c'est vrai que j'en apprenais de plus en plus.. c'était compliqué, mais il m'a prêté des livres et j'avais des devoirs.. lorsque je rentrais j'expliquais tout à Nour.. et nous avons fait d'énormes progrès..
Monsieur Victor était très gentil, mais au fil de nos rencontres je le trouvais collant.. il venait s'asseoir à côté de moi et de suite sa jambe se collait à la mienne.. souvent il passait sa main dans mon dos, sur mon cou.. me caressant la nuque.. cela me donnait des frissons.. et il arrivait qu'il mette sa main sur ma cuisse en la serrant, la caressant tendrement.. puis il en est venu à parler de mon pays, de fille, de sexe.. que j'étais un jeune garçon et que j'avais des besoins..
Le jour où il a tellement insisté pour que je lui raconte si j'avais eu des expériences sexuelles.. on était assis côte à côte dans son grand canapé.. il me posait des questions et sa main caressait mon genou.. ses questions étaient très indiscrètes.. et quand je relevais la tête pour le regarder, j'ai reconnu son regard.. le regard de l'homme excité, de l'homme qui a envie de baiser le jeune mec qu'il avait devant lui comme les regards des mecs que j'avais connu à travers les pays rencontrés.. là je sentais que c'était différent.. mais qu'il voulait du sexe.. que les cours de français il s'en foutait.. et sa main m'enveloppait la jambe, remontant vers mon sexe.. qui s'est mis à grossir le salaud, me trahissant!
En même temps que la main remontait sur ma jambe, son visage s'approchait du mien.. c'était bien le même regard pervers du mec qui VEUX ce qu'il a en face de lui..
-vous êtes pédé monsieur Victor ?
La question ne l'a pas arrêté..
-j'aime la jeunesse.. les garçons comme toi.. qui viennent d'un autre pays.. où je n'irais jamais.. j'ai envie de les connaitre mieux.. alors c'est en faisant l'amour qu'on connait le mieux les personnes..
J'avais un peu de doute sur cette réflexion et sa main est venue toucher mon sexe, bandé et serré dans mon jean.. et il s'est rendu compte que je bandais..
-toi aussi t'es excité ? dit-il en me faisant un bisou sur la joue
-non non mais quand on me touche.. ben ça me fait de l'effet
-et on te touche souvent ? t'as déjà fait ça avec un garçon ?
J'ai baissé la tête sans répondre.
-j'ai envie de toi Baqir
Il me prend la main et la pose sur son sexe.. il bandait le salaud!
Lorsque j'ai relevé la tête, pour lui dire que je voulais partir.. son visage près du mien s'est approché et ses lèvres se sont posées sur les miennes, s'appuyant me faisant tomber à la renverse sur le dossier du divan.. et sa langue est entrée de force dans ma bouche, s'enroulant de suite à la mienne.. et là je ne sais plus ce qui m'a pris.. mais sa salive était bonne, son baiser doux et je me suis abandonné à ses caresses.. et il sentait bon monsieur Victor.. il était tout sourire quand il m'a enlevé le haut, dégageant mon torse.. se penchant sur mes tétons qu'il caressait et qui durcissaient vite.. il les a embrassé, sucé, léché.. à chaque coup de langue j'avais des frissons qui me parcouraient tout le corps.. jamais on s'était sucé les tétons avec Nour.. j'appréciais grandement cette caresse qui me faisait bander très dur.. d'ailleurs ma queue était à l'étroit.. et sa main est venue la caresser à travers le jean, m'arrachant des gémissements.. il a défait mon jean, l'ouvrant le plus possible et sa main a glissé dans mon caleçon trouvant de suite ma queue bien raide, sa paume chaude et douce l'enveloppait, j'avais fermé les yeux et appréciait cette caresse.. ses doigts touchaient mes couilles fermes.. sa bouche est descendue sur mon ventre.. me léchant partout.. il s'est mis à genoux entre mes jambes.. a tiré sur mon jean, j'ai soulevé mes petites fesses pour le laisser passer.. il a sorti ma queue du caleçon..
Je ne vous ai pas dit encore, mais j'ai une belle queue circoncise, bien droite, bien raide, d'une bonne longueur, marron claire, au gland bien dessiné comme un champignon au bout de son pied, d'une assez bonne grosseur.. les doigts de Nour en font juste le tour.. et de belles couilles collées de chaque côté de la tige..
Monsieur Victor l'a redressé, la tenant entre deux doigts.. l'observant, sa langue mouillait ses lèvres.. il l'a fixait amoureusement.. il l'a caressé tendrement, l'entourant de ses doigts, la tenant au creux de sa main, pour voir que le gland dépassait.. que la mouille coulait du petit trou.. c'est ce jour là que j'ai appris que c'était le méat.. sa main était chaude et me faisait bien bander.. il a approché sa bouche, collant ses lèvres sur le bout du gland.. sa langue est sortie pour lécher la mouille, me faisant sursauter et gémir.. et quand ses lèvres ont entouré mon gland, que j'ai senti sa langue l'envelopper.. j'ai serré le tissu du canapé avec mes mains.. et ma longue queue a disparu lentement dans sa bouche, se noyant dans sa salive chaude, sa main a pris mes couilles, les caressant gentiment.. il m'a bien écarté les jambes, me caressant l'intérieur des cuisses et en même temps sa tête montait et descendait sur ma queue.. ses lèvres à chaque fois touchaient mes poils et je sentais mon gland emprisonné dans le fond de sa gorge.. et le plaisir est monté.. il a accéléré ses vas et viens, faisant des bruits de sucions, ma queue était trempée, elle s'est raidie, j'ai osé mettre une main sur sa tête quand la première giclée est arrivée.. il s'est laissé faire et je me suis déversé en lui.. il déglutissait à chaque fois et a tout avalé.. j'ai cru que je n'arrêterais pas de jouir.. ses mains chaudes sur mes cuisses m'excitaient au plus haut point..
Il a relevé la tête, m'a regardé en souriant..
-ah c'est beau la jeunesse!
Sa tête s'est approchée de la mienne, j'ai fait la moitié du chemin pour lui offrir mes lèvres et le serrer contre moi..
-Merci je lui ai dit
Il m'a caressé la joue en se relevant.. j'ai bien vu que l'entre jambe de son pantalon avait pris de l'ampleur.. alors j'ai tendu la main pour le caresser.. mais il a détourné ma main, s'est remis à genoux en face de moi..
-une autre fois on en fera plus.. je veux prendre mon temps avec toi.. tu es beau.. j'ai envie de toi.. mais tu sais c'est comme les cours de français.. une leçon à chaque fois..
-mais vous allez rester comme ça monsieur Victor ? dis je en montrant son entre jambe
-t'en fais pas Baqir, tu reviens demain soir ?
-mais la prochaine leçon c'est dans deux jours..
-je vais accélérer les cours dit-il en me souriant.. allez file!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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