Une histoire que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaitre…. C’était dans les dernières années de l’existence du Service Militaire… j’ai eu la chance d’y participer… comme je ne faisais pas grand chose à l’école.. mon père a décidé de m’envoyer faire mon Service dès mes 18 ans… habitant le centre de la France, je me suis retrouvé du jour au lendemain, un premier octobre dans une caserne à Fréjus.. pour faire mes classes, comme ils disaient…
J’étais donc un jeune provincial, certes un peu déluré, mais je n’avais encore jamais réussi à me choper une nana… des bisous, pelotages.. mais elles ne voulaient pas aller plus loin… alors la branlette.. ça me connaissait!!!
Je me retrouvais donc au milieu de mecs, tous de mon âge, à peu près… il y en avait de toutes sortes… des grands, des petits, des gros, des maigres, des blancs, des noirs, des crâneurs qui connaissaient tout… un petit monde.. on a été reçu par un mec d’un certain âge.. un adjudant chef… qu’est ce qu’il pouvait être con le pauvre… certes je n’étais pas une lumière… mais il dépassait tout.. On a reçu nos paquetages, on nous a distribué dans les dortoirs… 20 par chambres… tu parles d’une intimité… et on nous a demandé de nous habiller en soldat et rendez vous dans la cour…
Nous étions bien une centaine, alignés comme on pouvait.. quand un nouveau mec est arrivé.. grand, baraqué, black mais café au lait… il avait un regard dur et fixait tout le monde dans les yeux… sans un mot il a fait le tour de tous les mecs pour les regarder de près… comme un fauve qui cherche sa proie…puis il a pris la parole..
- je suis le Capitaine de la Compagnie… nous allons passer un mois ensemble pour certains, d’autres resteront un an ici. Si vous obéissez tout se passera bien.. l’adjudant chef va vous donner toutes les instructions nécessaires…
Et la vie en caserne a commencé… pas dure, mais chiante un peu… du bourrage de crâne.. et tous les matins rendez vous dans la cour avec un discours du Capitaine, qui faisait toujours le tour de ses proies…
Cela faisait 10 jours de ce petit manège, lorsque un matin, il s’est arrêté devant moi…
- soldat je vous attends dans mon bureau à 13 heures
Et il est parti vers son bureau.. il n’y avait pas de discussion possible…
A l’heure dite, j’étais là, au garde à vous
- Soldat mon aide de camp a fini son service, j’ai décidé que tu allais le remplacer
- j’ai jamais fait ça mon Capitaine
- tu vas apprendre soldat et sache que je n’admet aucun refus. Suis moi.
Nous sommes passés derrière son bureau pour aller dans ses appartements… c’était mieux que notre dortoir… il m’a emmené dans une chambre où se trouvait un lit et une armoire..
- tu vas chercher tes affaires et dorénavant tu habites là, toujours à ma disposition! reçu ?
- bien mon Capitaine… que voulez vous répondre d’autres…
J’ai donc emménagé dans la pièce… j’allais être seul, j’étais plutôt content.. le capitaine est revenu dans l’après midi
- tu vas faire le ménage dans ma piaule, ça n’a pas été fait depuis une semaine! je ne veux aucune trace…
Je me suis mis au travail, je me suis mis à l’aise, en marcel, et j’ai commencé à nettoyé partout.. quelques temps plus tard, j’ai senti comme une présence dans la pièce, j’étais en train de nettoyer derrière un meuble, j’ai tourné la tête et j’ai vu le capitaine qui me regardait… ses yeux étaient fixes, durs… il ne souriait pas… il s’est approché derrière moi et j’ai senti sa main se poser sur mes fesses et les caresser…
J’étais tétanisé, je n’osais plus faire un geste… devais je me retirer ou rester… je n’ai pas eu le temps de me poser plus de questions.. sa main pétrissait allègrement mon cul.. il s’est approché derrière moi et a collé son bassin contre mes fesses en me redressant le torse et collant mon dos sur son torse.. a pris mon menton dans sa main en tournant mon visage vers le sien… ses yeux me scrutaient..
- t’es pédé soldat ?
- non mon Capitaine
- alors pourquoi tu exhibes ton petit cul comme ça devant moi.. tu veux m’exciter ?
je ne savais plus quoi dire.. je sentais son bassin onduler contre mes fesses et une grosse barre se frotter au milieu de mes fesses…
- ton travail va consister à me faire plaisir… tu vas m’obéir et faire tout ce que je veux.. à partir de ce moment tu es à moi!
je n’en croyais pas mes oreilles…
- tous les petits morveux de soldats sont tous des petits pédés… je vais t’apprendre à faire plaisir à un vrai mâle.. petite tapette… dorénavant lorsque nous serons que tous les deux… tu m’appelleras “Maître’ et tu seras à poils dans l’appart… compris ?
Je baissais la tête, sans répondre. Il me retourne face à lui, son poing sous le menton, me relève la tête, nos nez se touchent, ses lèvres bougent et touchent légèrement les miennes… je ne sais pas ce qui se passe à cet instant, mais je sens ma queue qui grossit dans mon slip… il continue à parler durement mais je ne comprends rien , je pense à ma queue qui s’allonge maintenant..
- fous toi à poils que je vois la marchandise
Je n’ai qu’à obéir, mais j’ai honte… honte de savoir qu’il va voir que je bande maintenant, qu’en fait ses paroles m’excitent gravement…je suis nu devant lui et je mets mes mains devant mon sexe.. je prends une baffe dans la figure, par réflexe ma main vient sur ma joue, laissant s’échapper ma queue… je l’entends rire.. un rire sarcastique…
- ah ah je savais que t’étais pédé… toi tu vas être une belle salope soldat… je vais t’apprendre tout ce qu’un soldat doit savoir pour servir son capitaine.. déshabille moi!
Au fur et à mesure de ses paroles, la honte s’en allait de moi… et c’est sans aucune pudeur que je lâchais ma queue bandée et commençais à lui retirer ses vêtements… pour découvrir un corps de rêve, sculpté, musclé, une poitrine bien dessinée et des pectoraux qu’on avait envie de toucher…et ce noir café au lait magnifique… son odeur de mâle, de transpiration… une odeur forte mais enivrante… je défais son pantalon, je me mets à genoux pour retirer ses rangers, ses chaussettes qui daubent.. ses grands pieds noirs apparaissent, j’enlève son pantalon, et j’hésite sur le slip où une grande barre part sur le côté gauche…
- allez soldat fais vite
Je baisse son slip et une monstrueuse bite me saute au nez…de grosses couilles pendent en dessous.. putain quel morceau!! Il me relève..
- c’est l’heure de la douche.. tu vas me nettoyer entièrement soldat
Et il me prend par un bras et m’entraîne dans la douche, une grande douche où l’on pourrait tenir à 4 facilement… il m’indique les ustensiles, fait couler l’eau, se met dessous.. et attend…
C’est maintenant que je prends plaisir à vous raconter ça.. car la première fois je n’ai pas vraiment pris un réel plaisir à toucher ce beau corps, à caresser, laver cette musculature, nettoyer ses fesses, passer ma main entre ses fesses pour lui nettoyer l’anus, laver ses couilles, sa queue bien raide, ses pectoraux, ses seins avec ses tétons qui pointaient sous mes caresses… ses jambes musclées comme mes deux cuisses, et ses pieds, ses grands pieds, que je devais bien nettoyer entre les orteils…
- c’est bien, tu as les mains douces c’est bien agréable dit-il, mais sans sourire
A ce moment là, je lui tournais le dos nettoyant le gant… il s’est collé à mon cul, sa queue était juste au dessus de mes fesses, il me dépassait d’une tête, sa main saisit le gel douche, il en met dans sa main qui plonge entre mes fesses et je sens ses doigts pénétrer mon anus rapidement..
- j’ai mal dis-je
- tu es à moi maintenant, je vais faire de toi ma femme
Et il me soulève d’un bras entourant ma taille, je sens sa queue passer entre mes fesses, se positionner toute seule sur mon anus..
- écarte bien les jambes..
j’ai les jambes écartées, sur la pointe des pieds et je sens sa queue qui rentre inexorablement dans mon cul… j’ai mal.. je crie.. sa main vient sur ma bouche et il donne un coup de reins.. son gland rentre d’un coup.. je gueule…il arrête mais je suis toujours pris, bien pris.. il appuie sur mes épaules, et c’est moi qui descend sur sa queue et qui m’encule tout seul… il me penche en avant, prend mes hanches et commence son va et viens.. lentement.. je sens sa grosse queue de black ramoner mon intérieur lentement, coulissant le long de la paroi.. en fait il devient doux maintenant qu’il est bien entré en moi… j’ai l’impression que cette sodomie lente dure une éternité et qu’elle me donne de plus en plus de plaisir.. j’ai la queue collée sur mon ventre qui coule toute seul… puis ses vas et viens deviennent plus rudes, son pubis vient claquer sur mes fesses, il me claque les fesses de ses grandes mains.. et il arrête d’un seul coup, se bloquant bien au fond de moi et je sens plusieurs giclées bien chaudes m’envahir… qui déclenchent mes giclées, je joui comme jamais je n’avais joui..
- t’as un bon cul soldat
Il avait débandé un peu mais restait dans mon cul, mon dos était contre son torse chaud et dur, il me pinçait les tétons, les tordait entre ses doigts, la douleur me faisait me tortiller… et j’ai senti sa queue reprendre sa grosseur initiale, en me tenant toujours les tétons qu’il martyrisait, il m’a sodomisé bien à fond en poussant des “han” à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi… ses deuxième giclées n’ont pas été longues à venir… il s’est retiré de moi.. m’a retourné, appuyé sur les épaules..
- nettoie la bien.. elle est à toi maintenant, il faudra en prendre soin…
C’est ainsi que je suis resté 10 mois à son service… j’ai tout appris avec lui.. l’obéissance surtout, et exécuter tout ce qu’il demandait… le matin je devais le réveiller une heure avant le lever de tout le monde, je devais le sucer jusqu’à éjaculation, que j’avalais bien sûr…le midi lorsqu’il rentrait, une deuxième pipe et une enculade vite fait… mais le soir j’avais droit au lit.. il me baisait tendrement mais fermement, il m’a attaché de toutes sortes, mis dans toutes les positions, toujours pour son plaisir… c’est pas souvent qu’il me branlait… il ne m’a jamais sucé et je ne pouvais toucher son cul que sous la douche pour le nettoyage.. là il me donnait son cul.. seulement à un doigt!! Je n’ai jamais participé à la vie de la caserne, j’étais à son service tout le temps… j’avais quand même droit à des permissions bien sûr… mais c’était comme un déchirement de le quitter… mais au bout de 10 mois il a bien fallu se séparer.. je lui avais demandé de rester avec lui, d’habiter en ville, qu’il pourrait venir me voir quand il voulait, je l’ai supplié… mais il ‘a rien voulu savoir..
Il m’a juste dit
- trouve un bon mec! et rends le heureux..
Il ne m’a jamais embrassé.
Le jour de mon départ, il m’a demandé de rester une semaine de plus… il voulait que je vois mon remplaçant et que je lui dise ce que j’en pensais…
C’est ainsi que j’ai croisé mon remplaçant en sortant des appartements du Capitaine, je l’ai regardé, beau mec quand même.. je me suis penché sur lui
- t’es pédé mec ? on dirait pas!
- ça va pas.. non bien sûr!!
Et je suis parti en riant….
Je ne l’ai jamais revu..
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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