Chapitre-1
Je suis représentant pour une grande boîte de la région en matériel agricole. J'ai un patron charmant et il n'y a pas si longtemps j'ai réussi un bon coup avec un fermier du coin qui a commandé pour plusieurs centaines de milliers d'euros en matériel agricole. Cela va vite mais c'est un fermier qui a les reins solides et le contrat s'est effectué.
Pour arroser cela il nous a même invité un dimanche midi, mon patron, sa femme et moi pour déjeuner.
La table était mise, sans aucun chichi dans la grande salle avec le feu de cheminée qui crépitait au fond de la pièce répandant une douce chaleur. Machinalement je comptais les assiettes quand nous nous sommes assis pour voir qu'il y en avait une en plus.
J'avais bien sympathisé avec le fermier, on se tutoyait comme il en faisait autant avec mon patron. Les femmes avaient l'air de bien s'entendre et le repas débute sans attendre le retardataire.
On avait bu l'apéro et mangé l'entrée quand un jeune mec fait son arrivée et j'en reste baba devant la beauté de ce mec. Un beau mec brun ténébreux, les yeux perdus dans le vague, s'approche de la table en disant :
-bonjour messieurs dames je m'excuse pour mon retard.
-je vous présente mon fils Sébastien qui n'a jamais su être à l'heure! Il a toujours quelque chose à faire.
Il s'assoit à la place restante, c'est à dire à côté de moi en bout de table, si bien que je peux le mater de profile. Et je ne me gêne pas... Une vraie beauté ce mec et je sens que coquette commence à faire des siennes dans mon boxer. Des cheveux noirs qui frisottent tombent sur ses oreilles, des sourcils bien dessinés, de longs cils entourent des yeux marrons clairs perçants, un nez fin sur des lèvres bien dessinées, ourlées comme si elles étaient enflées de désir, tout ça sur un visage arrondi, légèrement joufflu.
Il n'est pas timide le garçon qui doit avoir dans les 25 ans et il entretient la conversation avec moi, laissant les grands adultes parler entre eux. Sa voix est envoûtante, douce et je m'imagine qu'il me dit des mots d'amour! Ca ne va pas calmer coquette.
Plus je le regarde, plus je pense que j'ai déjà vu ce mec, mais où ? quand ? J'ai beau chercher dans ma mémoire rien ne vient.
Il me raconte qu'il est dans une école d'agriculture et qu'il finit cette année, j'aime son regard franc, sa façon de me fixer et son sourire mi coquin mi moqueur, comme si il avait deviné que je cherchais où l'on s'était vu!
Vers la fin du repas, sa mère se lève et vient derrière son fils l'entourer de ses bras, lui faire un bisou :
-j'aime quand tu parles avec tout le monde et que tu n'as pas le nez sur ton portable dans tes messageries mon fils!
Il rougit le garçon en me regardant.
-oui dit la mère, il est tout le temps le nez dans son portable! et vous aussi Fabrice?
-cela m'a passé maintenant que je vieillis dis je en rigolant.
-et vous avez quel âge ? me demande sa mère tout sourire.
-32 ans madame.
-eh bien mon grand dadais en a 25 et c'est un vrai gamin!
Sébastien était toujours rouge et baissait les yeux.
D'un seul coup j'ai eu comme un éclair, j'étais à peu près sûr où j'avais vu ce beau mec, sur l'application de drague homo du coin! Mais le beau mec si mes souvenirs étaient bons ne m'avait jamais répondu! Il fallait que j'en ai le cœur net.
On a continué la conversation, essayant de savoir sur quelles messageries il allait et de me citer les plus courantes sans aucune connotation sexuelle.
Je demande à aller aux toilettes et je vais fouiner sur l'application. Je retrouve vite la photo du beau mec qui se prénomme Valentin sur le réseau, il y a bel et bien la tête de Sébastien et purée son cul magnifique à la raie poilue à souhaits. Je comprends maintenant pourquoi je l'avais sollicité.
Lorsque je suis revenu des toilettes, j'avais eu du mal à ranger coquette qui avait crû bon de prendre ses aises! J'espérais que cela ne se voyait pas trop que je bandais.
Sébastien m'attendait pour boire le café et m'offrir un digestif.
-tu connais la ferme je pense ?
-oui ton père me l'a fait visiter pour me montrer ce qu'il avait besoin comme matériel.
-oui il est ravi de ses achats, un vrai gamin qui reçoit ses cadeaux à Noël dit Sébastien en riant.
-pourquoi il y a des coins que ton père ne m'aurait pas fait visiter ?
-je sais pas, mais si tu veux je peux te faire le tour de la propriété en tracteur!
-bah j'ai le temps c'est dimanche et en plus il fait beau, même s'il fait froid.
-alors on y va ? Je te prête des bottes!
Il a sorti le gros tracteur en fin de vie et nous nous sommes installés dans la cabine chauffée, enfin qui allait l'être... et nous voilà partis pour la visite que je connaissais déjà.
Je ne sais pas si vous vous êtes déjà baladés en tracteur dans la campagne par beau temps, mais c'est très agréable surtout avec un beau mec qui parlait tout le temps.
On s'est arrêté près d'une grande mare pour aller mater l'armée de canards sauvages qui nageaient nous narguant, comme s'ils avaient vu qu'on n'avait pas de fusil.
-j'aime venir là dit Sébastien, le calme, avec juste les bruits des canards, des grenouilles, voir les poissons car on a mis des carpes, sauter dans l'eau. Je peux rester des heures à regarder et écouter. Et tous les oiseaux qui viennent également. Une fois j'ai vu un geai, c'est magnifique un geai quand tu as le temps de l'observer...
Et il était parti à me raconter tout ce qu'il avait vu.
Il m'excitait de plus en plus le garçon!
On était debout côte à côte. J'ai mis ma main sur son épaule doucement en disant :
-mais c'est un grand romantique Valentin!
Il a sursauté sur place, m'a regardé en rougissant encore comme tout à l'heure à table. Il m'a fixé et ses beaux yeux se sont remplis de larmes.
-désolé Sébastien, je ne voulais pas te faire pleurer dis je doucement, mais depuis que je t'ai vu entrer chez tes parents, je me suis demandé où je t'avais vu et je me suis souvenu de l'application, surtout quand ta mère y a fait allusion!
On était face à face, ma main sur son épaule est venue sur sa nuque, je l'ai senti frémir, il a fermé les yeux et quand il les a rouvert, m'a fixé :
-tu sais je n'ai jamais répondu à personne sur l'application. Je lis les demandes des mecs qui veulent tous me sauter en me traitant de salope et de pédé!
-ben t'as un beau petit cul! dis je en souriant.
-et toi aussi tu voulais me baiser ?
-si je te dis non, tu ne me croiras pas, mais ça m'étonnerait que je t'ai dit ça au premier message, je suis plutôt classique, je dis bonjour et je demande comment tu vas avant de parler cul!
Il sourit en me regardant.
-je suis timide tu sais et tu ne vas pas te moquer de moi si je te dis que j'ai pas fait grand chose avec un mec.
-bah non pourquoi tu veux que je me moque! Chacun fait ce qu'il a envie à la vitesse qu'il veut.
Il sourit plus franchement, ma main serre sa nuque, comme on est à peu près de la même grandeur, nos têtes se rapprochent.
-t'es vraiment un beau mec Sébastien, et je suis content d'avoir fait ta connaissance aujourd'hui.
-moi aussi mais tu ne me demandes pas ce que j'ai déjà fait avec un mec ?
-si tu as envie de le dire, tu me le raconteras Sébastien!
J'ai bien vu qu'il était étonné.
-moi j'ai envie de t'embrasser, goûter tes belles lèvres qui paraissent si douces et chaudes... si tu veux bien sûr!
Il n'a pas répondu et c'est lui qui a avancé sa tête, posant ses lèvres sur les miennes en même temps que ses bras m'entouraient. Heureusement qu'on peut respirer par le nez! Sa langue est arrivée en même temps, comme si elle était pressée et est venue batailler avec la mienne. Je serrais ce corps contre le mien, un corps souple et dur, il bandait le coquin, sa queue frottait contre la mienne et les gémissements ont commencé mêlés aux bruits des canards.
Il avait dû faire de l'apnée le garçon, j'ai bien cru qu'il n'allait jamais me lâcher.
Sentir son corps onduler, nos bites se frotter, j'avais passé mes mains sur le dos nu, musclé et dur, il n'arrêtait pas de gémir et quand il a cessé de m'embrasser, m'a regardé, son sourire éclairait tout son visage, ses yeux brillaient de mille feux.
Sa main caresse mon visage.
-t'es très beau Fabrice et je ne regrette pas que tu aies percé mon mystère, mais j'ai quelque chose à te demander.
-quoi donc beau brun ?
Il baisse les yeux.
-tu vis tout seul ?
-oui dis je en le serrant contre moi, serais ce une demande d'invitation ?
Il pose sa tête sur mon épaule.
-j'aimerais bien faire ça pour la première fois avec toi mais dans un lit, pas dans un champ même si c'est ma mare préférée.
On rigole tous les deux.
-tu veux venir quand ? j'ai demandé doucement.
-maintenant car je repars demain matin de bonne heure dans mon école.
-mais tes parents, ils vont dire quoi ?
-ben on va faire ça discrètement dit il en riant, j'ai l'habitude d'aller en ville boire un verre dans un bar, donc ils ne seront pas étonnés que je parte et si tu me donnes ton adresse...
-tu ne vas pas au bistrot! dis je en riant.
On rigole tous les deux en recommençant de s'embrasser, se serrer, se caresser en gémissant tous les deux.
Tout s'est bien déroulé. Mon patron et sa femme étaient déjà partis, donc personne n'a trouvé drôle que je parte également.
Il est arrivé chez moi dix minutes après moi!
Ma porte d'entrée donne dans la cuisine, il m'a laissé le temps de refermer la porte et s'est jeté sur moi tel un vorace et j'ai retrouvé le goût de ses lèvres, de sa salive, sa langue qui visitait encore plus profondément ma bouche. Il poussait de petits gémissements en frottant son corps au mien.
J'ai commencé à le déshabiller, à chaque vêtement enlevé il revenait sur mes lèvres. Quand j'ai eu sous les yeux le beau mec je n'en revenais pas de ma chance, ce beau brun était poilu, oh pas comme un ours, un doux duvet enveloppait son torse que je caressais, faisait ressortir les tétons qui ne demandaient qu'à être agressés.
Je l'ai entraîné dans le salon. Il m'a enlevé le haut en disant :
-faut être à égalité!
Il avait les yeux qui brillaient de plus en plus et son sourire était vraiment vicieux.
On s'est observé les torses en se caressant et je me suis penché sur un téton pour le lécher, le sucer, l'aspirer le prendre entre mes dents et le mordiller jusqu'à ce qu'il crie plus fort et me relève la tête entre ses mains :
-ma mère avait pourtant fait à manger Fabrice!
Il riait et c'est lui qui a remis ma tête sur son téton.
Mes mains ne sont pas restées inactives et j'ai défait son jean pour le faire descendre à ses chevilles et d'une main j'ai caressé sa belle queue bien raide prisonnière d'un boxer blanc qui devenait très humide.
Je me suis mis à genoux devant lui, venant passer ma joue sur la belle tige, puis lui faire des bisous, la suivant avec mes lèvres pour venir aspirer le gland.
J'ai baissé vivement le boxer libérant la prisonnière, l'odeur du mec m'est arrivée dessus, une bonne odeur de mâle, de bite qui bande et c'était une belle bite entourée d'une forêt de poils noirs qui frisotaient, de grosses couilles dessous restaient attacher à la hampe, une de chaque côté.
Je l'ai regardé, il avait fermé les yeux, il respirait par ses narines gonflées.
J'ai pris sa hampe en main pour dégager le gland et l'avaler de suite récupérant la mouille fermière et je me suis mis à le piper comme un malade. Elle avait bon goût sa queue et j'en redemandais. Il n'arrêtait pas de gémir, sa main s'était posée sur ma tête et l'autre au dossier du fauteuil et sa belle queue durcissait de plus en plus.
Comme elle n'était pas très longue j'arrivais à l'avaler entièrement en lui caressant les couilles et assez rapidement, j'ai vu les muscles de ses cuisses se bloquer, sa main me tenir la tête et il a hurlé "je vais juter".
Et pour me donner du jus, il m'en a donné.
Il est tombé à genoux devant moi, j'ai pu le prendre dans mes bras en caressant les belles petites fesses dures, remonter sur le dos pendant que sa langue revenait s'amuser avec la mienne.
Il a posé sa tête sur mon épaule :
-désolé d'avoir joui si vite et toi tu veux juter comment ?
-on peut aller dans ma chambre, on sera mieux sur le lit tu ne penses pas Sébastien ?
Il s'est redressé, je l'ai aidé à enlevé son jean, boxer, chaussures, chaussettes et m'a regardé l'air intéressé pendant que j'en faisais de même me laissant m'admirer avec un beau sourire.
Je l'ai pris par la main et je l'ai emmené dans la chambre
Allongés l'un contre l'autre il est venu me caresser la queue avec sa main chaude et douce.
-tu veux jouir comment Fabrice ?
J'ai caressé sa joue en passant ma main dans ses cheveux.
-tout à l'heure à la mare tu m'as dit que tu aimerais faire ça pour la première fois dans un lit, c'est quoi ce "la première fois" Sébastien ? dis je de ma voix la plus douce et salope.
-tu t'en doutes bien dit il en rougissant et se blottissant contre moi.
-oui je m'en doute Sébastien dis je en passant ma main sur ses fesses, mais tu as touché ma queue...
-oui mais j'ai envie avec toi, tu sais si aucune bite n'est entrée dans mon cul, mes doigts si et j'ai même un gode également et je peux te dire qu'il sert!
Il avait parlé vite, encore plus rouge et restait blotti contre moi.
Je rigolais doucement en caressant le corps magnifique de ce garçon.
-alors je vais m'appliquer Sébastien pour que tu te souviennes de ta première bite!
-je sais que t'es un garçon doux, ça se voit sur ton visage, ton allure et t'as bien vue ma mère quand elle est venue me dire qu'elle était contente de me voir parler, car même si je m'entends bien avec mes parents, on ne parle pas beaucoup et avec toi, je ne sais pas ce qui s'est passé mais tout était simple. On n'a pas parlé cul jusqu'à la mare, mais j'ai aimé te raconter ma vie, te dire ce que je pensais et je voyais bien que tu m'écoutais, tu m'as donné ton avis mais tu n'as pas jugé. Quand je rencontre un mec, y'a pas de discussions vraiment, les mains deviennent baladeuses et ils veulent tous mon cul en me disant que je dois être une bonne salope au pieu!
Il a parlé pendant un long moment de ses rencontres avortées avec les mecs qui devaient croire qu'il était un pro des rencontres fortuites. Alors que ce petit mec avait besoin de parler, mais j'étais également sûr que ce devait être une bonne salope au lit comme lui disaient bon nombre de mecs!
Quand il a repris sa respiration, me faisant des bisous sur le torse, j'ai relevé sa tête en le prenant par le menton pour l'approcher de moi :
-Sébastien, je vais te déguster, te découvrir partout, tu es beau mec, t'as un corps sublime, doux, chaud, j'adore ta toison mais j'ai envie de te découvrir... partout!
Il m'a fait un grand sourire, me fixant :
-c'est exactement ce que j'attends de toi Fabrice et ce à quoi j'ai rêvé en me branlant, d'être dans un lit avec un beau mec doux!
Je l'ai fait rouler sur le lit pour me retrouver sur lui, bite contre bite et je l'ai embrassé tendrement, de longs baisers d'amoureux, mêlant nos salives, jouant avec nos langues!
Mais il était temps de découvrir ce beau mec...
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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