Lorsque j'étais en région parisienne il m'arrivait assez souvent de rentrer tard du boulot et les magasins étaient fermés. Heureusement il y avait la fabrique à Pizzas et autres d'ouverte jusqu'à 22 heures, qui faisait la livraison et fabriquait les pizzas sur place. Très bonnes pizzas faites par le chef Georgio.
Georgio est un mec d'une trentaine d'années, une petite trentaine, toujours habillé avec son grand tablier et son jean dessinant un beau petit cul qui paraissait ferme. Je l'ai toujours vu avec un foulard de différentes couleurs selon les jours, sur la tête, lui recouvrant entièrement les cheveux les rendant inaccessibles. Un visage fin, mince, légèrement allongé, un nez bien dessiné, une petit moustache discrète sur la lèvre supérieure, toujours bien rasé, bronzé et des yeux noirs qui riaient tout le temps, même quand il gueulait après les livreurs. Avec un sourire et un accent italien inimitable qui me plaisait énormément.
Combien de fois je me suis fait "engueuler" car j'arrivais au dernier moment!
Jusqu'au soir où, en arrivant je croise les derniers livreurs qui partent, tous de jeunes arabes qui rigolent en me voyant et l'un me dit :
-on dirait que t'aimes ça te faire engueuler par le chef! tu vas pas être déçu ce soir il est en forme.
Ils riaient en me croisant.
Lorsque je suis arrivé, les lumières étaient tamisées et Georgio était en train de nettoyer. Lorsqu'il m'a vu entrer, il a levé les yeux au plafond :
-bah il ne manquait plus que toi! j'aurais dû penser qu'avec une journée pareille tu viendrais encore une fois à la fermeture..
-désolé Georgio, mais si tout est éteint, ben t'en fais pas, j'ai des boîtes à la maison!
Il rigole et me fait signe d'entrer.
Il me toise comme jamais il ne l'avait fait et je me demande ce que j'ai pour qu'il me regarde ainsi.
-t'aimes les pâtes ? me demande t-il.
-ben oui.
-moi non plus je n'ai pas mangé, alors je me fais des carbonara si tu veux tu manges avec moi, je t'invite!
-je suis gêné Georgio que tu m'invites, ça serait plutôt à moi de le faire non?
-eh bien ça sera la prochaine fois, car à l'allure où tu vas ça m'étonnerait que ce soit la dernière fois que tu arrives en retard.
Il se met à rigoler.
-ferme les portes et tire les rideaux qu'on soit tranquille.
J'ai obéi et je l'ai regardé préparer notre repas, qui fût rapidement prêt.
On s'est installé dans l'arrière boutique et j'ai dégusté les meilleures pâtes carbonara que j'avais mangé. Il parlait de tout et de rien, ses yeux ne me quittaient pas, moi je n'osais pas trop le mâter le beau mec, j'avais coquette qui commençait à bouger dans le caleçon.
Après avoir mangé une glace, il recule sa chaise et enlève son foulard en secouant la tête, laissant tomber sa chevelure sur ses épaules. Des cheveux longs, frisés noirs magnifiques. J'en reste la bouche ouverte et je trouve que son visage est embelli d'un seul coup, des envies de le prendre dans mes bras, de le caresser me traverse l'esprit, je trouve ses lèvres encore plus désirables et d'un seul coup je trouve qu'il fait plus maghrébin qu'italien en fait.
Je vois qu'il sourit.
-et t'as perdu ta langue Fabrice ?
-putain mec, mais t'es magnifique avec ta chevelure, c'est dommage que tu la caches tout le temps, et quand on la découvre...
Je m'arrête car je sens que je vais dire une connerie et c'est vrai que j'allais dire que ça me faisait bander!
Il rigole, tend son bras et sa main vient se poser sur la mienne, il avance son buste au dessus de la table :
-alors je te trouble beau blond ?
J'ai dû rougir car la chaleur m'envahissait, sa main serrait la mienne. Je ne pouvais plus rien dire.
-est ce que mon client blond préféré aimerait les beaux italiens comme moi? me demande t-il tout bas.
Avant que je réponde il se lève me tirant par la main et vient se mettre en face moi, sa main passe sur mes reins et il m'attire à lui, ses yeux sont encore plus rieurs, plus coquins que d'habitude.
-moi j'aime les blonds comme toi, en général ce sont des bons coups au lit!
C'est comme si je me réveillais d'un rêve, ma main est venue caresser sa joue, toucher sa peau lisse, chaude de ma main.
-et toi Georgio tu n'es pas qu'italien je me trompe ?
-oh mais monsieur le client a le coup d'œil, non je ne suis pas qu'italien, mon père est tunisien et ma mère italienne, et mon vrai nom c'est Aziz.
Je sentais son souffle passer sur mon visage quand il parlait et nos bas-ventres étaient soudés. Je sentais, comme il devait sentir qu'on bandait tous les deux.
Nos nez se touchaient presque, j'ai fait en sorte qu'ils le fassent et nos têtes se sont penchées lentement sans se quitter des yeux pour que nos lèvres se touchent, se frôlent, se caressent nous faisant gémir tous les deux, avant qu'elles ne s'écrasent brusquement et que les langues sortent de leur cachette et entament une danse endiablée. Les yeux se ferment et on se déguste en se serrant plus que très fort l'un contre l'autre.
Les corps ondulent, les bassins se frottent, on gémit encore ensemble et les mains découvrent les dos en passant sous les vêtements et les retirent.
Il m'éloigne de lui pour me regarder, me fait lever les bras et vient renifler mes aisselles humides, il a un sourire radieux!
-j'adore les odeurs de blond ça me fait bander encore plus dur.
J'observe son torse, des tétons bien dessinés qui pointent déjà, je passe une main dessus, touche son ventre, c'est dur et ça roule dessous. C'est doux, c'est chaud et les caresses reprennent, les torses font connaissance en se frottant l'un à l'autre.
Je touche son entre-jambe plusieurs fois, mazette y'a un beau trésor là-dedans!
Il m'en fait autant en insistant encore plus que moi et son sourire s'éclaire.
-t'es pas rasé en bas ?
-non non rassure toi Georgio.
-j'ai envie de toi, j'ai envie de te voir nu Fabrice, j'ai envie de pleins de choses...
-ici ?
Il baisse les yeux sans me répondre.
-tu sais que je dois habiter dans le coin, si tu veux je t'invite chez moi !
-c'est vrai ? parce que moi j'habite dans l'autre banlieue.
Il me tend mes vêtements et se rhabille rapidement .
-je rangerais demain, on y va ?
Il a été surpris de voir que j'habitais juste la tour d'à côté, au 15ème étage et il s'est ému de la vue qu'il y avait sur la Seine, mais je l'ai entraîné directement dans la chambre et il n'a pas fait le difficile pour se mettre nu rapidement, me laissant admirer le corps de ce bel italo-tunisien. Et il était magnifique mon pizzaiolo à poil!
Quand j'ai été nu également, c'est lui qui avait les yeux exorbités en regardant ma toison de blond. Il s'est agenouillé devant moi, m'a pris par les fesses et s'est mis à renifler ma toison, passant son nez, sa bouche dedans. Sa joue caressait ma belle queue pas encore toute décalottée.
Quand il a eu fini de s'énivrer de mon odeur, il a pris ma queue en main, mes couilles de l'autre pour caresser le tout tendrement. Il a décalotté ma queue dégageant bien mon beau gland qui commence à suinter, il s'amuse avec le prépuce, fait sortir une goutte de mouille et donne un coup de langue me faisant sursauter.
Mais quand il a avalé ma queue faisant glisser ses lèvres chaudes et humides dessus j'ai bien cru que j'allais jouir de suite, mais sentir sa langue jouer avec le gland, l'aspirer, le sucer et ravaler toute ma queue jusqu'à ce que ses lèvres soient dans ma toison.
J'ai passé mes doigts dans la belle chevelure, j'ai un faible pour les mecs à cheveux longs et là, frisés en plus, c'est le pied!
Quand il sentait que j'allais jouir, il laissait ma queue à l'air libre, reprenait sa respiration caressait mes couilles tendrement et revenait à l'assaut me pipant comme un malade et ce qui devait arriver est arrivé. Il l'a senti également et ses mains se sont posées sur mes fesses les bloquant, sa bouche serrait le gland et sa langue jouait dessus quand j'ai joui comme un fou en poussant de petits cris, me raccrochant à ses cheveux que j'ai tiré un peu dans tous les sens.
Toutes les giclées il les a avalé, n'en perdant pas une goutte et m'a léché partout pour m'attirer à genoux devant lui, me prendre dans ses bras et m'embrasser tendrement.
Sa belle queue était raide coincée contre mon ventre.
-ça fait une éternité que j'avais pas sucé de blond Fabrice et j'ai un truc à te demander...
-c'est quoi ?
-j'veux que tu me niques, je veux avoir ta queue et ton jus dans mon cul de tunisien et maintenant je veux que tu m'appelles Aziz.
-eh bien Aziz donc, tu sais qu'on est dans une chambre et qu'il y a un lit ?
Il rigole en se relevant et me soulevant en même temps. Je l'entraîne sur le lit.
Une vraie pieuvre Aziz le pizzaiolo et un bavard!!
Il m'a raconté sa vie sexuelle à savoir qu'il préférait baiser une meuf mais se faire baiser par un mec, qu'il préférait se faire sucer par un mec et son grand péché était de faire des pipes pour avaler le jus!
-alors je n'aurais pas droit à me faire baiser moi par Aziz ?
-toi le blond, je ferais tout ce que tu veux, je suis à tes ordres le blond, fais de moi ce que tu veux, mais sache que j'aime aussi les meufs et que j'en ai besoin souvent!
-embrasse moi mon beau tunisien, j'ai adoré ta pipe!
-tu jutes beaucoup et j'ai aimé ton jus!
-je vais goûter au tien alors et t'en donner un peu pour que tu compares!
Il rigole.
-t'en fais pas je connais le mien!
Il avait bien eu raison d'annoncer le programme, car j'avais ma petite idée pour la suite. J'aime faire plaisir en me faisant plaisir!
Putain de beau zob qu'il avait, les meufs devaient couiner!
Je me suis appliqué pour caresser, sucer, lécher ce gros machin dur et brûlant qui durcissait encore plus dans ma bouche, noyé dans ma salive qui coulait partout. Je n'arrivais pas à tout avaler, je ne saurais dire quelle longueur il y avait, j'ai jamais été doué pour estimer mais je n'avalais pas tout.
Il n'a pas mis longtemps à jouir de longues giclées crémeuses qui coulaient en moi, j'en ai gardé un peu en bouche pour aller lui donner. Il riait en me voyant arriver, mais a tendu sa langue pour que je dépose mon obole.
Il allait me serrer dans ses bras, mais je suis revenu sur sa queue, passer mes bras sous ses jambes et les remonter sur son torse. Un beau petit cul à la raie sombre, pleine de poils noirs frisés encore. C'est lui qui bloque ses jambes aux genoux et je fonce dans la raie, langue tendue pour chercher l'anus.
Je lèche, je mouille et l'anus apparait, un anus sombre, marron foncé, plissé, mais quand ma langue le touche, Aziz gémit!
Je durcis la langue et force l'entrée en déposant la salive, il gémit et le petit trou commence à s'ouvrir.
Mon doigt se précipite et entre vraiment facilement au plus profond qu'il peut, caressant la muqueuse chaude et humide. Il pousse de petits cris en gémissant de plus en plus fort.
Je le doigte avec deux doigts, le son augmente. Je vais au plus profond que je peux, j'ai mal à la queue tellement elle est dure et je sens qu'elle coule.
Je doigte, je vrille et l'anus reste ouvert. Il est temps d'investir les lieux.
D'une main je m'appuie sur une cuisse et de l'autre main je pose mon gland dur sur l'entrée et force lentement en m'appuyant sur les cuisses.
Je le fixe, il sourit la bouche entrouverte, sa langue presque sortie.
Je force, je sens le sphincter entourer mon gland, son sourire s'efface, mais ses yeux sont heureux.
Un petit coup de reins et le gland est presque entré. Il geint doucement ne me quittant pas des yeux.
Quand le gland passe il pousse un cri mais il a le sourire.
-nique moi maintenant le blond! nique moi comme un rebeu!
Faut pas me faire des défis comme ça!
Mais qu'est ce que j'ai aimé baiser ce mec, sentir son conduit chaud et serré, ma queue voyager en lui. Il aime ça la bite le tunisien pizzaiolo!
Et je me suis fait plaise comme dit un rebeu de ma connaissance.
Niquer un rebeu bien à fond qui te regarde, les yeux reconnaissants me fait juter encore plus et ce premier soir qu'est ce que je l'ai rempli l'italo-tunisien!
L'entendre gémir, pousser de petits cris et jouir presqu'en même temps que moi entre nos corps.
J'ai su ensuite qu'il avait apprécié que je le lèche en partageant son jus tous les deux.
Le pizzaiolo Aziz Georgio, est un bisounours, un câlineur de première.
J'adore ce mec pour la baise et j'ai réussi à avoir son zob dans mon petit cul, eh bien les mecs on le sent passer!
Mais il est tellement adorable quand il offre son cul, que l'on fait des 69 endiablés, rire, parler avec lui, se caresser, se faire des bisous, se sourire en se regardant yeux dans les yeux.
On se voit régulièrement car il fait des stages également avec une ou plusieurs meufs, mais à chaque fois qu'il revient c'est la fête du slip!
Les nuits sont chaudes avec un tunisien!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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