J’aime bien tous les ans aller plusieurs fois à la foire du Trône, pas pour les manèges… mais pour les lascars qui y viennent!! Toutes les races sont représentées, blacks, blancs, beurs et asiats… c’est un plaisir de traîner dans les allées et autour des manèges… tu as l’impression de faire tes courses et de choisir le meilleur…
Mais ce n’est pas toujours facile, des pédés y’en a, mais quand ils sont avec leurs potes hétéros, ils ne se manifestent pas et ne cherchent pas d’ailleurs… donc c’est pas si facile… sauf si tu es une belle petite salope comme moi… j’ai un visage fin, châtain, les yeux vicieux qui attirent la bite… je m’habille sexy, que si tu me croises t’es obligé de me remarquer…
Ce jour là, j’étais aller traîner du côté des autos tamponneuses… il y avait un monde fou… mais j’ai réussi à trouver une place pour poser mon petit cul et observer les lascars présents… Je regardais bien autour, j’avais repéré un petit beur, que je croyais seul, en fait il était avec toute une bande de machos qui emmerdaient les meufs aux alentours….
Mon regard s’est posé sur un black, qui se trouvait comme moi appuyé sur la rambarde, de l’autre côté de la piste.. un petit black dans mes âges, mignon comme tout, en survêt et je pouvais voir une belle bosse le déformer à l’entre jambe… je sentais mon cul s’humidifier… mais il ne me regardait pas… il matait les meufs pas loin… j’allais donc vers lui en passant sur le côté et j’arrivais près de lui… j’ai senti son regard se poser sur moi, je l’ai fixé et j’ai souri… il ne m’a pas répondu, mais j’ai vu sa main dans la poche de son survêt caresser sa queue…. il m’excitait grave ce black… Je me posais à côté de lui..
- ça va ?
- oui et toi ? tu fais pas un tour d’autos ?
Je le fixe en disant :
- J’irais bien faire un tour ailleurs et mes yeux descendent vers son entre jambe.
- tu veux aller où ?
- je sais pas, tu habites dans le coin ?
- non, mais j’ai mon cousin qui a un appart pas loin…
- on va pas le déranger..
- t’es passif ? t’aimes la queue ?
- oui à toutes les questions dis je en riant!
- alors bouge pas, je vais chercher les clés et on va chez lui ok ?
- Ok
Je le vois partir dans l’allée et rejoindre plus loin un groupe de beurs et blacks plus âgés, il parle avec un grand black, c’est assez animé comme discussion, puis le mec lui tend quelque chose et il revient vers moi..
- il a bien voulu me laisser les clés et m’a donné une heure! on y va ?
Nous sommes partis rapidement, sortis de l’enceinte de la Foire et c’est vrai que son cousin avait un appartement pas très loin… un appartement pas mal d’ailleurs… Durant le trajet, il m’a dit qu’il s’appelait Moussa et moi Sébastien… Quand on a pris l’ascenseur, il a posé sa grande main sur mes fesses et les a caressé gentiment, il était doux dans ses gestes… j’adorais ça! moi je lui ai touché sa queue à travers le survêt, un grand bâton, bien gros, bien grand…
Dès l’arrivée dans l’appart, il m’a entraîné dans une chambre, nous nous sommes mis à poils en un temps record, face à face, lui bien noir et moi bien blanc, le contraste était assez marrant… nos queues se faisaient face et se touchaient, nos corps se sont rapprochés, se sont touchés, frottés, nos bouches se sont jointes et j’ai senti ses belles lèvres envelopper les miennes et sa langue envahir ma bouche… j’avais l’impression qu’il me pénétrait complètement de la bouche…
J’ai descendu mes lèvres sur sa peau lisse et chaude de son torse, lécher son téton, le mordiller doucement, l’entendre gémir, mordiller plus fort… descendre sur son nombril , le lécher, descendre sur ses poils pubiens, frisés, prendre ses belles grosses couilles en mains, les malaxer doucement, poser mes lèvres sur son gland bien décalotté, envelopper ce gland chaud et engloutir le plus possible cette tige, cette grosse tige, sentir ses mains m’attraper les oreilles , les tenir fermement et il se met à me baiser la bouche, il tient bien ma tête et m’enfonce toute sa queue dans la bouche, je crache, j’ai les yeux qui pleurent, mais il continue de plus en plus fort, je ne sais pas jusqu’où sa queue ait pu pénétrer dans ma gorge, mais d’un seul coup j’ai reçu directement dans le fond de la gorge de nombreuses giclées de sperme chaud et épais que, si je ne voulais pas mourir asphyxié.. j’ai du tout avalé… j’ai cru que cela ne finirait jamais…
- putain elle est bonne ta bouche… personne ne m’avait fait jouir comme ça si vite…
Une grosse voix vient de l’entrée de la chambre :
- eh bien on va voir ça!
Son cousin est dans l’entrée, un balaise torse nu…
- Moussa tu te casses, tu me laisses ton pote! c’est le prix à payer pour la location de la chambre! Moussa ne dit rien, me regarde dépité, prend ses affaires et sort de la chambre!
- et bien petit blanc! on va faire connaissance! j’espère que t’es endurant!
- mais monsieur… je ne veux rien faire… on étais bien avec Moussa.. J’ai pas le temps de continuer, je reçois une belle baffe sur la joue, il me prend par la gorge, me relève à hauteur de ses yeux..
- quand Babacar dit quelque chose on obéit !!
Il me lâche et je tombe assis sur le lit..
- tu te mets à quatre pattes que je vois bien ton petit cul… J’obéis…
Pendant ce temps il se met à poil et là je manque de tomber dans les pommes quand je vois sa queue, si l’on peut appeler encore ça une queue, elle est au repos et pend le long de sa jambe, arrivant presque aux genoux.. et elle est encore plus grosse et épaisse que celle de Moussa… Il enlève ses skets, ses chaussettes, me les jette à la figure…
- sniffe! ça va te donner du courage pour la suite petit blanc. Il s’assoit dans le fauteuil et tend ses jambes, mettant ses pieds juste devant mon nez… J’ai respiré ses chaussettes… elles n’étaient pas du jour, j’avais plutôt des hauts le coeur… mais j’ai continué..
- Maintenant que tu possèdes bien l’odeur.. lèche bien mes pieds, chaque orteil, et entre les orteils surtout.. je suis sûr que tu vas faire ça bien!!! tu es une vraie petit chienne petit blanc! Et il ne souriait pas! et je repensais à la baffe reçue… alors j’ai obéis encore, j’ai fait tout ce qu’il m’avait demandé, il devait chausser du 46 au moins.. alors il y avait de la surface à nettoyer… ses orteils étaient assez conséquents, j’avais l’impression de sucer des petites bites.. cela a duré un moment.. mais j’ai fait du mieux que j’ai pu.. il n’avait pas l’air mécontent… Il s’est relevé, sa queue commençait à se redresser, et se trouvait juste à ma hauteur, vu que j’étais toujours à quatre pattes devant lui…
- allez pompe moi bien petit blanc!! montre ce que tu sais faire! J’ai obéi, j’ai sucé, léché, caressé ses grosses couilles pendantes, mais malgré mes efforts je n’ai pas pu avaler complètement sa queue, il avait beau m’appuyer sur la tête, je pleurais, crachais et je sentais bien le gland qui touchait le fond de ma gorge… et sa queue grossissait toujours et devenait de plus en plus dure…. un vrai bloc de bois, d’ébène, sa grosse queue avait bon goût.. j’aimais son odeur.. j’étais enivré de sa bite! Il me retira sa queue de la bouche, j’avais l’impression que ma mâchoire était brisée, des deux mains il me retourna, toujours à quatre pattes, mais mon petit cul faisait face à sa bite, je serrais déjà des dents….
Ses mains écartent mes fesses,
- mmm beau petit trou petit blanc, Boubacar va être heureux la dedans..
Je sens sa langue lécher, sa barbe m’irrite les fesses, mais sa langue élargit bien mon trou et le pénètre, c’est bon, c’est doux, sa langue va loin et mouille bien… il sait y faire Boubacar… puis je sens un doigt, puis deux m’enculer, ses deux doigts forent bien mon trou… puis un troisième vient à la rescousse.. j’écarte bien les jambes pour l’aider et facilité la pénétration..
- c’est bien petit blanc, tu as compris ce qu’il faut faire… car maintenant c’est le bangala de Boubacar que tu vas recevoir.. je sens la salive couler sur mon trou, son gland se poser dessus, les mains de Boubacar me prendre aux hanches et sa queue commence à entrer, le gland force, ouvre le petit trou, je serre des dents, des poings, il s’arrête, je respire fort et un coup de reins plus fort fait avancer fortement sa queue dans mon cul.. je suis littéralement transpercé… je ne peux m’empêcher d’hurler… mais il s’en fout, il serre mes hanches, se recule doucement et force encore plus, sa queue s’enfonce de plus en plus, et il recommence, pour aller de plus en plus loin, je suis vraiment écartelé… je ne sais plus si je hurle, crie, pleure mais je sens sa queue épouser complètement mon conduit, je la sens bien ramoner l’intérieur, je la sens bien coulisser et miracle la douleur s’estompe… mes cris deviennent des gémissements, je mors les draps, je me penche le plus possible en avant donnant ainsi mon cul le plus ouvert possible… je sais que j’aime ça, et Boubacar le sent… alors il commence à me marteler le cul , de vrais coups de pilon, ses grosses couilles viennent frapper les miennes… en fin de compte je suis heureux, je suis bien rempli, malgré les enfoncements bien profonds, Boubacar est doux, il me caresse le dos, les hanches, il ne bouge plus, c’est moi qui avance et recule, qui m’enfonce sa queue en bougeant bien mon petit cul…
Puis il reprend les choses en main, ses coups de butoirs deviennent de plus en plus rapide, sa queue durcit et les robinets sont lâchés… il n’a pas du jouir depuis plusieurs jours… je suis rempli, comblé.. je sens son jus couler le long de mes jambes, ma queue tressaute et sans me toucher je jouis de longs jets de sperme sur les draps… Il se retire de mon cul s’allonge à côté de moi, me colle contre lui, sa bouche se colle à la mienne et sa langue pénètre ma bouche en un baiser passionné et humide…
- maintenant tu vas bien nettoyer la bite de Boubacar…
Je me suis fait un plaisir de lécher cette belle queue et de la rendre à son propriétaire comme neuve…
Il m’a mis une claque (amicale) sur les fesses…
- t’es vraiment une des plus belle salope que je connaisse! tu reviens quand tu veux!
J’adore les compliments!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :