Eh bien pour pleuvoir, il a plu. Maintenant le soleil a fait son apparition en ce mois de juin et la chaleur avec. En allant au marché de ma ville j'ai entendu dire que les girolles étaient déjà poussées et qu'il y en avait pas mal.
J'adore aller fureter dans les bois le matin quand il fait frais, que le soleil peine à pénétrer la forêt. Donc le lendemain matin, un dimanche j'étais prêt pour l'aventure!
J'ai mon coin, enfin le même que celui de mon père…
Ce dimanche matin il ne fait pas si chaud que ça et je me demande si vraiment les girolles sont poussées. Mais rien que l'idée de traîner en forêt cela me fait plaisir, surtout qu'en plus j'ai déjà fait de belles rencontres!
Il n'y avait pas de voiture quand je suis arrivé. Le silence était là, les craquements dans la forêts, les chants d'oiseaux tout cela m'enchante.
J'avance tranquillement vers mon coin où j'en trouve quelques unes mais pas autant que je l'aurais voulu et l'on voit bien que je suis le premier. Même les animaux ne sont pas venus retourner la terre. Enfin j'avais de quoi faire une bonne cuisine, une omelette aux girolles… humm vous ne sentez pas l'odeur ?
Je m'avance dans la forêt pour regarder un peu plus loin. L'envie de pisser me prend et bien sûr que je fais respirer l'air pur de la Sologne à mon monstre encore endormi.
Je pisse mon panier à la main et je regarde machinalement aux alentours. Le silence s'est fait, les oiseaux se sont tus. Tout semble se figer, c'est quand même pas parce que je pisse!
Et, à travers les arbres il me semble voir une personne avec un gros parka bleu ciel qui marche à travers les arbres, ne venant pas spécialement dans ma direction.
C'est un chevelu aux longs cheveux noirs qui frisent, une barbe longue touffue , une casquette sur la tête baissée, vêtu d'un parka bleu ciel, enfin qui a été bleu ciel, un pantalon de velours côtelé marron, sale, des grosses godasses. Il avance en fixant le sol et son bâton triture le sol.
Je l'observe derrière mon arbre. Il s'arrête, regarde autour de lui, ses yeux sont dans ma direction, mais apparemment il ne me voit pas.
Il ouvre sa parka, montrant une chemise canadienne, qu'il ouvre également, en fait se déshabille torse nu. Un torse poilu comme jamais je n'en ai vu, les poils du torse remontent sous sa barbe! Des bras comme mes cuisses, velus également jusqu'aux mains. Il se tourne et je vois son dos avec autant de poils!
-un ours j'ai pensé en souriant.
Il fait quelques mouvements du torse, des bras, même si je ne vois pas la peau, on se rend compte que le mec est baraqué, costaud. Il se caresse le torse, les bras, il ferme les yeux et vient se pincer les tétons, les prenant à travers les poils pour se les pincer en tournant doucement.
Il s'appuie sur un arbre mais dans ma direction. Je ne bouge pas et je me pose mille questions.
Il continue de se martyriser les tétons, il gémit de plus en plus fort les yeux toujours fermés, je vois sa langue sortir de ses lèvres et maintenant il couine.
Une main descend sur son entrejambe, se touche, je ne vois pas la forme qu'il y a mais il défait le bouton du pantalon qui glisse le long de ses jambes dévoilant le reste du corps aussi poilu.
J'en reviens pas de voir cet ours de la forêt! Mais c'est qui ce mec ? m'a t-il vu et fait il ça pour moi ? Il est gonflé quand même le mec.
Je ne saurais lui donner un âge, il peut aussi bien avoir 30 ans que 60. Sûr qu'il fait vieux avec sa barbe, mais est ce le cas ?
Sa main revient sur l'entrejambe et il se caresse la queue, semblant faire exprès de montrer la forme qu'elle a .
Il a toujours les yeux fermés, mais des deux mains il baisse son caleçon libérant la queue de l'ours.
Je ne sais pas comment sont montés les ours, les vrais, mais le mien, le solognot ben il est bien armé le lascar.
Une main revient sur son téton et l'autre caresse ses couilles perdues dans la toison noire. Une queue recourbée vers l'avant au gland bien décalotté se laisse observer.
Il serre ses couilles, tirant pour que je vois bien sa queue et même à une dizaine de mètres je vois bien qu'elle coule cette belle queue. Putain mais elle fait bien 20 cm j'ai pensé, plus longue que la mienne et plus grosses, enfin plus épaisse la sienne.
Quand d'un seul coup il prend sa queue en main, je sursaute en me mordant la lèvre comme s'il avait touché la mienne qui commence à manquer de place.
J'fais quoi ? j'ai pensé en matant le mec se branler lentement, se décalottant bien à fond, revenant cacher son gros gland, faire couler la mouille et recommencer en se pinçant un téton et gémissant de plus en plus fort.
Il se tourne et j'ai vu sur le dos et le cul tout poilu, j'ai souri en pensant : s'il se fait enculer faut un GPS! Mais il n'est pas resté longtemps, s'est retourné et j'ai vu ses petits yeux ouverts, me fixer, un doigt vers moi et il a dit simplement :
-toi! viens là!
Et son doigt montrait le court chemin que je devais suivre.
Comme hypnotisé j'ai obéi et en m'approchant j'ai bien vu qu'il n'était pas si vieux que ça. Ses yeux gris souriaient et il avait l'air content de lui.
-ça te plait ce que tu matais ?
-j'peux pas dire le contraire, j'ai répondu en le fixant.
-eh bien approche, j'mords pas mec!
J'ai fait encore deux pas et sa main est venue se poser directement sur mon sexe qui n'attendait que ça.
-ah mais oui ce jeune solognot bande, alors comme ça t'aimes les ours ?
-j'en ai jamais vu de si près j'ai répondu en souriant.
-donc t'en a jamais touché ?
-ben non!
-alors qu'est ce que tu attends. Il prend une main et la pose sur son sexe.
Sa main furetait déjà dans mon pantalon de survêt pour sortir mon monstre qu'il empoigne en sifflant!
-pas mal jeune solognot!
Il me branle sèchement, me décalottant en se rapprochant encore plus de moi.
J'ai sa grosse queue en main qui me donne sa chaleur, c'est raide, c'est dur, je la caresse en la branlant doucement.
Il enlève mes vêtements pour que je sois torse nu également et il part d'un grand éclat de rire en fixant mon torse.
-tu mérites que je te fasse un don mec! Ils sont où tes poils ?
-ben j'en ai jamais eu.
Il semblait subjugué par mon torse imberbe, lisse, doux et chaud. Ses mains rugueuses passent partout, tout en douceur et ses yeux fixent mes tétons qui pointent. Ses yeux remontent sur les miens quand il prend en mains mes tétons, les gratouiller, les faire durcir encore plus, les pincer doucement puis plus fortement.
Ma queue frotte la sienne et mes mains viennent lui rendre la politesse.
Je me sens comme électrisé de toucher cette forêt de poils, de chercher les tétons et de les prendre entre mes pouces et index. Il ferme les yeux en disant juste :
-plus fort tes doigts.
Je ne sais pas combien de temps on s'est trituré les tétons comme ça, mais j'en avais mal à la queue qui était coincée sous la sienne. Je sentais sa mouille couler dessus.
Ses mains m'ont lâché et m'ont entouré pour me coller à lui. Sa barbe m'a caressé la joue et ses lèvres ont cherché les miennes.
J'étais surpris, je ne m'attendais pas à ce moment de tendresse avec l'homme des bois!
Ses mains descendent sur mes fesses, baissent mon survêt et les caresses recommencent. Il retire sa langue et me regarde encore étonné :
-même ton cul n'a pas de poils !
Je rigole en disant ben oui!
-tu permets que je regarde ça de plus près, j'ai envie de te le bouffer ce petit cul!
J'ai jamais été contre les initiatives, je me suis laissé retourner, j'ai posé une épaule sur le tronc de ce brave chêne qui nous soutenait.
Il n'a pas observé longtemps, j'ai senti sa barbe et sa moustache passer dans ma raie et la bonne langue qu'il venait de me faire goûter était devenue dure et me forait l'anus en l'inondant.
Je me suis offert, je l'ai laissé me bouffer le cul comme jamais on me l'avait bouffé.
Tout avec la langue, ses mains écartaient au maximum mes fesses, et sa langue n'arrêtait pas.
Il m'a remis dans l'autre sens, toujours à genoux devant moi il s'est occupé de ma queue, passant sa main dans ma toison de blond, avant de l'avaler entièrement, il faisait son gourmand l'homme des bois, mais je voyais bien que ses yeux pleuraient. Il m'a sucé comme un chef le mec, ses lèvres épousaient bien ma queue en la serrant et sa langue l'enveloppait à merveille.
Il a dû sentir que j'allais jouir, s'est relevé, s'est retourné me bousculant pour prendre ma place, se met l'épaule sur le chêne :
-maintenant baise moi, encule moi comme tu veux, pas besoin de me bouffer le cul, j'suis toujours prêt mec! Mais si tu veux avoir des poils plein la bouche ne te gêne pas!
J'avais tellement envie de jouir que j'ai mis ma queue dans la raie poilue descendant mon gland. Il ouvrait bien ses fesses, de belles fesses bien rebondies qui semblaient fermes et malgré l'ouverture… je ne voyais rien!
C'est à tâtons avec mon gland que j'ai trouvé l'anus chaud, cette peau douce et humide. Je n'avais qu'à pousser pour sentir le conduit s'ouvrir facilement et avaler ma belle queue.
Mes mains parcouraient ses fesses, son dos, du poil, du poil et encore du poil! Mais c'était doux, on devait être bien à dormir avec un mec pareil, mais en hiver!
Mon gland a été avalé, il a grogné en disant.
-vas-y maintenant baise moi le solognot!
J'ai donné plusieurs petits coups de reins pour faire entrer et visiter le conduit à ma queue, mes mains sont passées sous ses bras, cherchant les tétons. Fallait voir comme il écartait les bras pour me laisser faire et quand j'ai saisi ses tétons, les pinçant fortement de suite, il a crié et c'est lui qui se baisait sur ma queue, faisant des va-et-vient. Il criait, gémissait, ça résonnait sous les bois mais je crois qu'on s'en foutait si on était vus!
J'ai lâché un téton pour mettre une claque sur une fesse, le faisant stopper.
-laisse moi faire maintenant! T'es solognot toi aussi ?
Comme si c'était le moment de faire les présentations.
-non je suis breton, de passage dans la région et tes forêts sont très accueillantes.
Un routard j'ai pensé et pourtant le mec ne sentait pas le fauve comme j'aurais pensé, il sentait le bois, la mousse, l'odeur ou plutôt les odeurs de la forêt!
Je l'ai baisé en sortant tout mon savoir et ma queue a voyagé comme chez elle.
Ma première fois avec un ours… breton!
J'ai joui en lui comme un fou en pinçant son téton le faisant hurler dans la forêt.
Il a voulu se retirer de ma queue, mais je l'ai maintenu, le faisant se redresser, ma queue toujours raide bien au fond de son cul!
Comme il était de ma taille, nos têtes étaient l'une près de l'autre.
-j'savais pas qu'un cul de breton était si bon!
Il rigole.
-j'ai un cul, il aime les bites de toutes les régions.
-tu veux jouir de ma main, comme ça ou autrement ?
-ta main et bite dans mon cul me vont très bien.
J'ai repris en main cette belle bite toute raide, humide, chaude et je l'ai branlé, doucement pour sentir ses fesses se resserrer sur ma queue prisonnière, puis plus rapidement et de plus en plus vite. Ma queue me faisait mal tellement il l'a écrasée quand il a joui. J'ai vu les longues giclées que le tronc du chêne a reçu pour récompense.
Il est redevenu tout mou dans mes bras, sa tête s'est tournée vers moi, réclamant un baiser que je lui ai accordé.
Et je l'ai remis en position pour la deuxième tournée! J'suis chaud le matin.
Il a reçu ma deuxième dose, mais il s'est retiré et est venu me lécher la queue pour ensuite me prendre dans ses bras en me disant merci.
On a papoté un peu, j'ai voulu en savoir plus de ce mec, mais en bon breton il n'était pas bavard et quand je lui ai proposé de venir déjeuner chez moi le midi, il m'a caressé la joue, ses yeux gris souriaient.
-je te remercie mec, mais je suis un routard et un routard ça ne s'attache pas, surtout toi t'es trop tentant, j'ai peur de ne plus pouvoir repartir!
J'aurais bien aimé pourtant pouvoir passer au moins une nuit avec ce mec dans mon lit, mais le breton est têtu dit-on, et je n'ai pu le faire changer d'avis.
Je l'ai regardé partir dans les bois, il n'avait voulu me dire que son prénom Ronan et son âge 32 ans, comme moi!
Quel dommage…
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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