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HISTOIRE

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Premier épisodeÉpisode précédent

Agriculteur | Saison 25 | Le retour

14 | Un visiteur – Le récit de Julien

- "Mais si tu me racontais un peu Romain ..."

Je me suis déjà retranché dans mes pensées qui vagabondent.

Adrien a été, avec la bénédiction de son père, l'enfant que je n'ai pas eu puisque j'ai choisi de vivre ma vie de gay et de rester auprès de Lecourt dont j'étais tombé amoureux.

En fait, je crois que je me serais méprisé d'abuser de la confiance d'une femme simplement pour en obtenir une famille, car je me suis toujours senti irrépressiblement attiré par les hommes et, en toute sincérité, uniquement par eux.

A la naissance d'Adrien, j'ai vingt-et-un ans, son père, vingt de plus. Je suis bien dans mon corps, délié. Attention, c'est le fruit d'un travail sur moi : sportif, nageur, cavalier, bosseur.

Je suis également heureux, un amant comblé ... Est-ce pour celà qu'il m'a confié Adrien pour tous les apprentissages corporels ? J'ai aimé transmettre ; c'est moi qui lui apprends à nager, qui le mets en selle tant sur son vélo qu'à cheval, c'est avec moi qu'il fait ses brouillons, en corrige les erreurs dont il tire les enseignements avant d'aller les présenter aux yeux moins compréhensifs, plus exigeants de ses parents ; je suis son papa bis, celui des confidences et des inquiétudes, celui des premières tentatives parfois ratées, celui des encouragements et de la ténacité aussi.

Avec l'adolescence vient l'éloignement : il devient plus autonome et moi, je chéris avec fierté ce beau jeune homme que je vois grandir, qui peut se montrer si charmant, dont je connais les états d'âme, ceux qu'il a évoqués avec toi. Je comprends d'autant mieux son choix de l'exil que je n'avais pas agi différemment en partant loin de ma famille pourtant aimante pour l'internat du lycée agricole, ce qui allait décider de mon avenir : si la place que notre environnement nous réserve ne nous convient pas, il n'y a pas d'alternative à la séparation, construire solidement un modèle différent de celui qui nous est assigné demande beaucoup de volonté, de constance, de force de caractère. On accumule les difficultés et les embuches jusqu'à l'insurmontable si on reste dans un milieu qui nous presse de nous conformer à l'avenir qu'il nous destinait.

Pendant cette période, ma relation à Adrien est à éclipses, il peut se montrer aimable comme ombrageux, semblant me garder rancune pour je ne sais ... Enfin, si ! Je sais pourquoi et n'y pouvais rien, qu'attendre de le voir revenir à de meilleures dispositions. Pesant et mortifère.

Aussi, l'attitude de Romain, son ami de lycée, constante et joyeuse, - il se montre sous son meilleur jour quand il vient aux Chênaies, m'offre comme une pause, un soulagement. Avec Adrien, il partage la haute taille, l'âge et l'origine: héritier d'un beau domaine agricole mais alors que le premier est mince, sombre de poil aux yeux noisette, lui affiche une crinière chatain très clair, des yeux bleus, une carrure plus athlétique et un teint toujours hâlé. Seul garçon, le cadet entre deux filles, il ne s'écarte pas du destin qui lui est réservé et reprendra le domaine familial quand Adrien, lui, s'en éloigne et s'engage dans des études supérieures.

Il ne manque jamais de me rendre une visite "technique" quand il vient passer le week-end avec Adrien. Aussi, j'accepte avec empressement de l'accueillir en stage pour préparer un BTS que je connais bien.

C'est la période de la fenaison. Romain est rompu à la pratique pourtant exigeante et bosse comme un professionnel confirmé. Dés le premier jour, le travail avance vite et bien. Je l'en félicite. Les journées sont donc gratifiantes et nous laisse fiers du devoir accompli. Cependant, si la mécanisation a considérablement allégé les efforts physiques que requiert l'exercice, il reste soutenu et il nous éreinte. Romain rejoint sa chambre de stagiaire avant d'aller dîner avec les Lecourt et moi, je range le matériel, me douche longuement, mange un morceau sur le pouce et m'effondre sur mon lit, sans demander à plus.

Quelque chose me réveille en sursaut et je me redresse inquiet sur le lit, dans l'obscurité. Un frôlement, une présence.

- "C'est moi, Julien !"

Une ombre se déplace et se glisse sur le lit à mon côté.

- "J'arrivais pas à dormir ..."

Un souffle précipité sur mon visage, avec un léger relent d'alcool.

- "Romain, tu ..."

Mais une bouche me baillonne et une main s'empare de ma queue. Un baiser brouillon, précipité, comme une démonstration. Je voudrais protester. Évidemment !

- "Hmmm, tu bandes !"

Ma queue m'a trahi et sa bouche l'engloutit, m'arrachant un hoquet tandis qu'une irrépressible onde de plaisir cambre mon rein. Au prix d'un effort surhumain, mes mains encadrent la tête du vampire, la relève. Je ... je m'efforce de demeurer raisonnable, de revenir à ...

- "J'en ai rêvé toute la journée et je désespérais de te voir le comprendre enfin."

J'en reste coi. Ses lèvres sont revenues aux miennes et sa langue m'envahit pour ce qui relève cette fois d'un vrai baiser, profond, sensuel. Expert, en un mot. Sa main a retrouvé ma bite qu'elle branle énergiquement jusqu'au niveau de turgescence escompté, puis elle remonte sur mon torse, pesant pour me faire allonger sur le dos.

- "J'ai bien bossé, assez pour mériter que cette bonne queue visite mon cul gourmand ..."

Puis sur un ton satisfait qui m'effraie tant il souligne ma crédulité crasse, il m'avertit :

- "J'aime me faire enculer longtemps."

À nouveau, il a glissé vers le bas pour reprendre sa pipe magistrale, son entrain montrant, là encore, qu'il n'en est probablement pas à son coup d'essai. Mieux, sa main vient chercher la mienne et la guide jusqu'à son cul ferme et lisse que j'hésite encore à cajoler, bloqué par une culpabilité de l'adulte responsable ayant ascendant.

Mais le gredin s'est renversé, il a coulé étroitement contre moi, frétillant comme une anguille, me couvrant de petits calins, d'agaceries aussi diverses qu'irritantes.

- "Tout le monde sait que tu es gay, Julien, et on te prête même un bon coup de rein d'après certains observateurs. Tu veux pas me montrer?"

Cette fois, il s'est posté à califourchon sur moi, m'embrasse goulument et recule pour que ma traitresse de queue bandée vienne se redresser entre ses fesses où il s'emploie à la faire coulisser tandis qu'il écrase la sienne sur mon ventre.

J'ai cédé et, aussitôt, je redouble d'ardeur pour répondre à son baiser. Je le suffoque. Il se redresse pour reprendre son souffle.

- "Putain, Julien, je sens que ça va être un super stage."

Il se retourne, toujours à califourchon, m'offrant sa jolie croupe tandis qu'il se régale de mon membre et de mes couilles avec une mesure et une retenue qui me paraîssent toute tactiques.

Mes mains se sont emparées de ses rondeurs qu'elles écartèlent pour me permettre de déguster sa pastille lisse qui ne tarde pas à palpiter. Elle se fait souple et accueillante mais, encore circonspect, je suis à l'écoute du moindre de ses encouragements, de ses murmures, ses gestes, ses ordres parfois et je les laisse sagement me guider.

- "Prends-moi, maintenant."

J'ai tendu le bras pour saisir une capote dans le chevet et je la lui donne pour qu'il me l'enfile tandis que je lui travaille l'anus avec le lubrifiant, découvrant ses bonnes dispositions qui m'indiquent indéniablement que le filou n'en est pas à son coup d'essai. Il gémit discrètement et je l'encourage.

- "Chante donc ! Ici, personne ne t'entendra."

Il se dérobe soudain et se place, prêt pour la prière, dos cambré, bras tendus sur ses poings serrés enfoncés dans le matelas. Je m'assure :

- "C'est comme ça que tu veux ?"

Il opine énergiquement du chef, ajoutant un petit geignement quand je le profile à deux doigts tout en le baillonnant d'une langue grasse. Puis je romps, écarte ses pieds pour m'agenouiller entre eux, derrière lui. Je soulève son bassin à hauteur d'une main, pointe ma flèche de l'autre et niche mon gland dans son oeillet confortable d'un simple frétillement.

- "À toi !"

Je soutiens la rectitude de mon mandrin et, de l'autre main sur son flanc, je prévois de contrôler sa reculade. Mais immédiatement, à sa maîtrise, à ses ondulations, à la somptuosité de son conduit dont les frémissements soyeux m'éblouissent, je réalise qu'il n'est vraiment pas un débutant et je décide de cesser de le ménager pour le considérer en partenaire expérimenté.

Quand ses fesses s'écrasent sur mes cuisses repliées, j'ouvre lentement leur ciseau et nous soulève, ramenant d'un bras ses épaules à mon torse tandis que ses deux mains en pinces viennent coiffer les muscles moteurs comme pour s'imprégner de leur puissance. Un sec petit coup de rein pour achever de me pousser en ses tréfonds lui tire un geignement de mourant et achève de le convaincre de mon endurance de cavalier.

- "As-tu obtenu ce que tu cherchais, joli garçon?"

- "Je suis une grosse salope ..."

- "Tsss ! Quels vilains mots ! Tu es un garçon qui a découvert certains plaisirs que d'autres, les imbéciles, se refusent par idéologie obtuse, alors que c'est si bon, non?"

Il a soufflé un "oui" qu'une autre détente a transformé en cri aigu. Je ris.

- "Je ne fais l'amour qu'avec des garçons qui savent en tirer du plaisir, et UNIQUEMENT du plaisir, chez qui le cul fait s'épanouir un bel appétit de vivre et me le font entendre, compris ?"

Cédant soudainement sur mes cuisses, je me suis dérobé, un soupçon, et il a lourdement chu, à peine, mais assez pour s'empaler de tout son poids sur mon pieu dressé, chassant tout l'air de ses poumons, asphyxié. Ma langue part fouiller son oreille, mes doigts pincent cruellement ses tétons. Il sursaute avec des détentes sèches de cabri.

- "Baise-moi !"

Je ris. Il est juste mûr à point, le gamin. Enfin, "le gamin" ... Je gage que cette désignation serait loin de lui convenir ; il est au même âge que celui que j'avais quand j'ai croisé Lecourt et, ce me semble, loin de me regarder alors comme un "gamin" c'est bien moi qui était alors parti à l'inititative, tout comme "l'innocent" Romain qui m'a proprement "sauté aux prunes" aujourd'hui.

Aussi, d'une grosse main lourde, je tourne sa tête de biais vers moi pour lui rouler un palot baveux et de l'autre, je fixe sa taille en amorçant un mouvement de balancier et quand il détache ses lèvres des miennes pour exhaler un profond soupir en papillonnant des paupières, je sais qu'il est chaud du cul, que la machine est lancée et que ma bonne queue le fait monter au ciel où il va m'emporter dans son sillage.

C'est pour moi le signal et j'augmente progressivement la puissance et l'amplitude. Il tombe à quatre pattes, le dos rond pour envoyer son joli valseur vers l'arrière, à la rencontre de mon bélier qu'il s'efforce d'avaler puis de retenir en freinant son retrait. Je le regarde dodeliner de la tête, il râle, il réclame quand je m'efforce de rester froid et maître de nos ébats, il s'agite, se précipite, rythme ses élans de petits cris de souris prise au piège ; quand je change imperceptiblement d'angle de tir, il casse son rein pour s'appliquer à en tirer les étourdissements les plus vertigineux, je le pince, le tapote, le presse de questions : "dis-moi si c'est bon / et là? / réponds : tu aimes ? / tu n'aimes pas ! / demande, sinon j'arrête / ou alors ... tu veux plus fort ?"

Lui, il bégaie, aspire sa salive, se rattrape d'un bras pour ne pas s'effondrer sous mes coups de butoir, enroule son dos, la tête dans ses bras, les coudes enfoncés dans le matelas, ouvert, profond, vagissant puis d'un coup, tétanisé, crispé, redressé sur ses bras tendus, secoué de soubresauts, soudain aphone et le fion serré. Je sais que mon tour est proche.

En quelques aller-retour vigoureux et appliqués, je m'achève pour le rejoindre dans une gerbe d'étincelles qui me vrille les reins. Le temps que le ciel revienne au noir et, d'une pichenette, je nous fais rouler sur le flanc. Puis je tombe sur le dos, crucifié, anéanti. A peine le temps de réaliser que c'est bien son foutre qui poisse ma main, de le sentir arracher le préservatif et engloutir ma queue pour un dernier frisson qui me glace l'échine et je sombre dans un sommeil sans fond.

"seul comme un idiot, je me suis vu dans la glace / n'insistez pas href=" https://www.youtube.com/watch?v=I9bnuh4k_Fk Stanislas "

Amical72

amical072@gmail.com

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