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HISTOIRE

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Premier épisode

Agriculteur | Saison 25 | Le retour

2 | Il sent bon ! – Le récit de Julien

- "Occupe-toi de mon p'tit cul, il est affamé."

Ça, Thomas, pas la peine de me le dire deux fois ! Mes deux mains lui font faire une volte, j'extrais son buste de ses vêtements par dessus ses épaules, mes paumes glissent le long de son dos pour abaisser le reste jusqu'à ses chevilles tandis que je m'accroupis face à sa jolie lune dévoilée. J'en embrasse les deux hémisphères, d'abord chastement, confronte leur duvet à mes joues qui, à cette heure, sont devenues piquantes, les baptise de pointes de salive, les hume ; mes mains les ouvrent et il se cambre complaisamment, m'offrant une perspective sur cette crevasse plus foncée aux rives défendues par une ligne de poils sombres en broussaille. J'y enfonce mon nez et me délecte de cette bonne odeur moite de cul propre. Ma langue pointée vient trouver sans peine le doux cratère où elle frétille, impatiente comme lorsqu'on tire une sonnette, le soir sous la pluie battante, pressé que s'ouvre l'huis pour pouvoir rejoindre l'abri.

Entre ses cuisses dont elle force l'entrebaillement, ma main vient cueillir ses deux prunes oblongues qu'elle fait rouler fermement, pour qu'il se recule encore, s'ouvre, s'offrant au plat de ma langue qui se déploie, grasse, humide et vorace. Il geint un "oui" vaincu, implorant et je souris intérieurement.

Papa a plus d'un tour dans son sac pour faire fondre le tendron.

En attendant, je déguste sa pastille au goût musqué, son précieux froncé et souple qui palpite, en réaction à mes coups de langue, lestes ou insistants, qui le détrempent avant que mes doigts ne le percent, ne le forent, ne l'assouplissent encore, revenant régulièrement l'oindre de salive tandis que je malaxe plus rudement ses couilles. Il gémit, il réclame, il suffoque tour à tour. Le pouce de ma main droite s'enfonce en lui tandis que les autres doigts en griffes retiennent ses boules, étirant ses bourses vers l'arrière dans une sèche tension.

Mon bras gauche encercle son torse pour le redresser en le serrant en butée contre le mien, mes doigts trouvent un téton percé et il s'asphyxie. Je mordille et léchouille son oreille, le bombardant de questions entre deux apnées.

- "Dis-moi, Thomas ... de quoi as-tu envie ? ... VRAIMENT envie, hmm ? ... Tu aimes les produits du terroir ? ... Tu sais combien les paysans sont dévoués, ils aiment à faire plaisir ... Qu'est-ce qui te ferait plaisir, là, maintenant? ... Pour un vrai cadeau, juste avant Noël ?"

- "Baise-moi."

Il a avalé à demi les deux mots, un prétexte qui autorise mon insistance.

- "J'ai pas compris Thomas."

Et mes doigts s'activent, l'un alésant son conduit et les autres comprimant sans égards ses précieuses boules avec une certaine jubilation, le partageant entre volupté et contrainte, délicieux dilemne. Ce garçon m'avait ignoré et voilà qu'il réclame ; demain, assurément, lui aussi, sans doute aussi ingrat que Cédric, m'évitera à nouveau, comme il a congédié sans façon l'autre mec au bar.

Alors je veux qu'il gagne mes attentions, qu'il les mérite, qu'il me donne des gages, qu'il fasse un effort de générosité et de dévouement.

- "Mets-moi ta queue, dans mon p'tit cul, profond, il a faim, s'il te plaît ..."

Mais c'est qu'il devient intarissable sous l'effet de la frustration et de l'impatience. Sa fébrilité en devient touchante. Ses mains à tâtons vers l'arrière cherchent à cerner mes arguments, mon pieu durci dans mon blénard que je presse contre sa fesse. Je ricane.

- "Je suis déçu ! Tu voudrais pas me sucer un peu auparavant ? Ça se fait, non ?"

Comme pris en faute, il acquiesce précipitamment et je le libère. Bien qu'entravé par son futal aux chevilles, il se prosterne, cassé vers l'avant tandis qu'une main qui l'étire suffit à déboutonner ma braguette puis libèrer le ressort qu'elle abrite. Il jaillit pour bondir pile dans sa bouche béante qui se met aussitôt à pomper, goulûment. Un tourbillon de manège m'emporte immédiatement.

C'est fou ce qu'on obtient quand on se montre un tant soit peu exigeant au lieu de tout concéder sans réclamer de contrepartie. Je fouraille dans ma poche, en tire deux étuis. Je réserve la capote et perce le gel pour lui en noyer la raie, sa raie poilue, son étoile palpitante, son puits de satin ... Sous la flèche, il redresse la tête, le cou en extension, dans un soupir de soulagement repu.

- "Tss ! Si tu arrêtes, moi aussi alors..."

Aussitôt, il reprend avec entrain, me masse et me branle tout à la fois, me suce, me pompe, me lèche, me brosse de sa moustache, m'époussette de sa barbe dans un savant cocktail entrecoupé de hoquets, de sursauts quand je lui dispense en retour un toucher qui l'électrise.

Je lui tends le carré magique contenant l'étui de latex.

- "Passe lui sa combinaison de plongée."

Il achève de lisser à deux mains la pellicule extensible et je lui crochète le menton d'un doigt, essuyant d'un doigt compréhensif un filet de bave scintillant barrant sa jolie barbe.

- "Répète distinctement ce que tu attends de moi maintenant, pour que je sois certain de t'avoir bien compris, je ne voudrais pas abuser de toi."

Ses yeux fiévreux s'accrochent aux miens tandis qu'il articule à voix basse.

- "Je veux que tu m'encules."

Ma main glisse sous son aisselle pour le redresser, le retourner face au mur. Il pointe son cul que je caresse, que j'ébouriffe, que je flatte, ma main dérapant dans sa crevasse pour entretenir sa disponibilité à deux doigts tandis que je tapote sa fesse de mon barreau brûlant en avertissement.

Je le vois qui s'agite, trépigne, se tend ; c'est la cible qui danse et se place pour accueillir la flèche directement en zone 10+, au coeur, au sensible. Foin des hésitations, des approximations.

Je fais sauter l'ardillon de ma ceinture, écarte les pans de mon pantalon, abaisse l'élastique de mon slip sous mes bourses, fais mousser ma touffe et pointe en étrave mon braquemard maintenant totalement libéré, fléchissant sur mes cuisses pour aligner le tir. Mais c'est lui qui recule, quand mes deux mains le retiennent en retroussant la peau de ses fesses. Il coulisse et me dévore, lentement ; je m'enfonce, ébloui, dans ce conduit soyeux qui m'aspire dans une succion avide et déterminée. C'est affolant de vertige obtus, je voudrais plonger sans fin en lui, l'enfiler de tout mon manche impérial. Alors j'écrase lourdement mon pubis sur son coccyx, le collant au mur, cherchant à nous imbriquer plus étroitement encore. Il halète, ronfle, peste, ondule.

- "Putain, mets-moi tout ! Éclate-moi le cul !"

Son vocabulaire ordurier me semble tout devoir à un porno facile et rustaud. Des deux mains, de la joue et de l'épaule droite, il a pris appui au mur, décollant son bassin pour faire valser son somptueux boule en tous sens, assiégeant inlassablement mon barreau inflexible. Mes doigts en pince étirent ses mamelons percés, de temps à autre, je le baillonne d'une langue impérieuse qui l'asphyxie puis il reprend sa litanie d'obcénités, les yeux révulsés, enfermé dans sa quête un peu maladroite de jouissance dont je suis l'instrument et le spectateur averti. Quel joli gourmand !

Il a crié.

Des soubresauts soulèvent sporadiquement ses épaules, il vagit, s'effondre en chiffe molle mais demeure toujours empalé. Mes mains le soutiennent sous ses aisselles moites. Il sent bon ! Le chaud, le sexe, le cul. Putain, j'ai une trique du diable.

- "Salaud !"

Je ris.

Je fléchis sur mes cuisses, me retire, le fais rouler sur mon épaule comme un sac, me redresse en remontant d'une main mon flazard sur mes fesses, ma bite, légèrement démotivée, est restée lourde, elle se balance en proue.

- "Salaud ? Moi ? Indique-moi plutôt où est ta chambre."

Je repousse la porte d'un mouvement d'épaule, arrache la couette que j'envoie voler, cède sur une cuisse pour le faire rouler sur le matelas. Mon pantalon s'effondre à mes genoux mais c'est lui que je veux achever de libérer de ses frusques. Les baskets s'envolent, les chaussettes sans tige les suivent, le jean skiny résiste mais finit par céder dans un froissement.

Son pied est sec et nerveux et j'y débusque la peau fine où ma langue dessine des traits de frissons, l'arête du cou-de-pied où mon doigt retrousse une ligne de poils drus, des tendons que mes dents mordillent, des chairs sur quoi elles se referment pour les pincer. À peine, juste pour sentir qu'elles résistent. Puis je les embrasse, comme pour les guérir de je ne sais quelle disette. Il gigote, dans des simulacres de saccades atténuées, comme pour marquer qu'il pourrait chercher à se libérer. Mais il veille à ne pas m'échapper.

Lorsqu'après un ultime bisou, j'abandonne son peton, il se recroqueville en foetus, nu et pâle. Je m'allonge contre lui, en cuiller, il recule contre moi, se pelotonne, chaud, rond, creusant sa place comme un chat. J'arrache ma capote qui pendouille, inutile pendeloque qui étrangle encore mon gland et, instantanément, quand elle revient au contact de sa fesse, ma bite retrouve son essor alors que je referme mes bras en coquille autour de lui.

Moment de calme, de silence ; douceur de nid douillet, chaleur des corps encastrés.

Son bras se soulève discrètement, recule en glissant, franchit subrepticement son flanc pour tomber entre nous et s'insinuer. Ses doigts légers furètent, à tâtons, touchent et s'immobilisent. Puis ils reprennent leur exploration, obstinés comme des fourmis, frétillants et je glousse.

Il se retourne d'un bloc, toujours enroulé sur lui-même, mais sa main s'empare ma queue, l'entoure fermement et elle s'enflamme comme de l'amadou. Il relève dans les miens ses yeux maintenant noirs et graves, ils me transpercent. Je le veux !

Je fonds, j'en deviens liquide, je me résume, me réduis à ma bite dressée comme un phare, un guide, un missile. Putain, je le veux et j'en passerai par toutes les extrémités s'il le faut pour y parvenir.

"Nourritures / je m'attends à vous, nourritures ! / Ma faim ne se posera pas à mi-route ; / elle ne se taira que satisfaite ; / des morales n'en sauraient venir à bout / et des privations je n'ai jamais pu nourrir que mon âme. / Satisfactions ! Je vous cherche. / Vous êtes belles comme des aurores d'été." André Gide - Les Nourritures terrestres - Livre II - éditions du Mercure de France 1897 -

Amical72

amical072@gmail.com

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