Chapitre-1
Farid, bel homme de 35 ans, costume, cravate, bien bâti, 1m80 pour 77 kg, les cheveux courts qui frisottent quand même, petite moustache qui le vieilli légèrement, des yeux noirs profonds qui scrutent toujours ses interlocuteurs entre à son travail. Il est Directeur dans une entreprise de BTP, emploi une trentaine de personnes, une secrétaire, est un homme heureux, marié avec une française de son âge qui a su le mâter en se rendant indispensable tant dans la vie qu'au lit. Deux enfants, deux garçons de 8 et 10 ans qui sont sa fierté, sa joie.
Cette semaine il est seul à la maison, sa femme et ses enfants sont partis pour les vacances chez les beaux-parents. Farid n'a pas pu fermer son entreprise durant une semaine compte tenu du travail déjà en retard.
Il salue sa secrétaire, parle quelques instants, il voit bien qu'elle le regarde en fronçant les sourcils et il entre dans son bureau, se renferme!
Car il est crevé Farid, crevé de sa nuit!
Qu'est ce qu'il m'a pris hier soir? pense t-il encore, car cette question, depuis son réveil tourne en boucle dans sa tête pas très fraîche.
Hier soir après le dîner, il a parlé avec sa femme, dit bonsoir aux enfants, leur souhaiter bonne nuit et il s'est installé devant la télé. Mais le programme ne l'a pas captivé et son cerveau s'est mis à repenser à sa jeunesse, avant qu'il ne rencontre sa femme.
Il se revoyait dans la cité de son enfance, avec ses potes et les conneries qu'ils faisaient, mais surtout d'un coup tout lui revient, et il se met à transpirer en repensant aux sgegs qu'il prenait dans son petit cul que pas mal de potes aimaient beaucoup!
Il n'a pas voulu approfondir, penser à sa femme qu'il avait rencontré à ce moment et qui avait su l'accaparer, l'amener à ce qu'elle désirait, l'avoir pour elle toute seule. Elle était amoureuse folle de Farid le beau gosse, ils avaient 20 ans tous les deux à cette époque et les zobs qu'il prenait se sont envolés avec la présence de sa femme dont lui aussi est tombé éperdument amoureux.
Ils se sont mis rapidement ensemble et la belle vie a commencé! Une vie dont il est fier maintenant.
Mais pourquoi ces images de sgeg lui revenaient ce soir, si bien qu'il s'est mis à bander, sentir son zob se développer sous son peignoir, libre le zob, il n'allait quand même pas se branler!
Mais une sensation qu'il n'avait pas eu depuis des années s'est fait ressentir, son petit cul s'est mis à le gratter, alors tout en repensant aux sgegs de ses potes, surtout celui de Malik, il est venu se toucher l'anus, le gratter et constater que c'était bien fermé, contrairement à sa jeunesse!
Il s'est amusé avec son cul, a mis de la salive, s'est doigté et son zob était raide de chez raide! Putain il n'avait même pas un gode à la maison, il s'en serait servi avec plaisir!
Mais les images qui lui reviennent deviennent plus précises, les fourrés en face de la tour, Malik qui le faisait mettre à genoux en le traitant de salope pour se faire sucer et ensuite le traîner dans une cave pour le niquer. Putain les coups de reins qu'il avait son pote, secs et bien profonds, mais il savait lui dire les paroles qu'il attendait et il avait toujours aimé se faire niquer par Malik.
Qu'était il devenu Malik ? Depuis son départ de la cité il n'avait revu personne et jusqu'à ce soir là, personne ne lui avait manqué!
Et s'il allait voir ce soir ce qui avait changé ? Malik serait il encore là ?
Tout tournait dans sa tête, quand machinalement il s'est relevé, enlevé son peignoir et s'est habillé avec sa tenue de sport, quand il va courir dans les rues de Paris, son sweat, son pantalon de survêt, ses baskets et il s'est surpris à ne pas mettre de slip! Pourtant il fallait qu'il se calme s'il ne voulait pas effaroucher les gens!
Il n'a pas mis longtemps à retrouver la cité, la tour où il habitait, le fourré qui était toujours là, les rebeux qui tournaient, qui se chamaillaient en rigolant se traitant de tous les noms. De jeunes branleurs comme ils étaient à son époque.
Farid est resté dans l'ombre, essayant de ne pas se faire remarquer, il observait.
Il a vu arriver un jeune mec à pieds, dans la même tenue que lui, s'est fait remarquer des rebeux, un s'est détaché du groupe et ils sont allés dans les fourrés!
Farid avait le cœur qui battait plus vite en s'approchant s'y dirigeant aux murmures qu'il entendait et d'un seul coup il arrive devant le tableau, le jeune mec à genoux suçait le rebeu!
Putain le zob de Farid n'a fait qu'un bond dans son survêt, tout lui revenait en mémoire, tout! Et l'envie de sucer une queue le reprenait comme au bon vieux temps!
Le mec suçait avec application, de temps en temps le rebeu allumait son briquet pour regarder le mec le sucer, puis tout s'est accélérer :
-donne ton cul la pute! a dit le rebeu d'une voix dure et ferme.
Le mec n'a fait aucune réflexion, s'est relevé, lui a tourné le dos en baissant son survêt laissant voir un beau cul blanc dans la nuit, les mains du rebeu s'emparer des hanches pointant son beau zob sur l'entrée!
-tu gueules pas comme un putois la salope, sinon mes potes vont se ramener! a dit le rebeu en rigolant.
Le mec a mordu son poing et d'un coup de reins le rebeu est entré dans le cul du mec pour se mettre à le niquer comme un fou, donnant des claques sur les fesses, et il ne faisait pas semblant!
Le mec n'arrêtait pas de se mordre le poing, de gémir, de pousser de petits cris mais putain pense Farid il s'offre cette salope et l'envie revient chez lui, envie d'être à la place de ce mec et de se prendre le sgeg du rebeu.
Il n'en perd pas une miette, il y a longtemps qu'une main a sorti son zob et qu'il se branle en essayant de ne pas trop faire de bruit! Mais putain il sent le plaisir arriver, mais il voudrait jouir en même temps que le rebeu, son cul le démange alors de son autre main il vient se doigter, pencher en avant il s'enfonce l'index au plus profond et il sent que le plaisir ne va pas tarder!
Il est prêt, mais d'un seul coup du bruit dans le fourré, des pas, il n'a pas le temps de se redresser, qu'une main se pose sur son cul le tétanisant sur place et la voix d'un rebeu se fait entendre, une voix de mâle, grave :
-alors on mâte sans payer son dû ?
Il sent la main venir dans sa raie poilue, le doigt du mec venir à la place de son index et s'enfoncer dans son cul en même temps qu'il se redresse pour regarder le mec.
C'est bien un rebeu, un rebeu dans ses âges voir plus âgé, petit sourire narquois aux lèvres, il vient se coller à lui, toujours avec son doigt qui bouge dans son cul!
-alors t'es venu te faire niquer le bourgeois ? parce que t'es un bourgeois rebeu hein ?
Farid essaie de parler, mais il bredouille des mots sans suite, il veut se rhabiller, comprenant d'un coup qu'il aurait mieux fait de ne pas venir, mais trop tard, le doigt ne sort pas de son cul et son zob ne débande pas bien qu'il ait arrêté de se branler!
-il est bien serré ton petit cul, y'a longtemps que tu t'es pas fait niquer cousin ? demande le rebeu.
-oui dit Farid, mais là j'ai plus le temps, faut que je rentre dit-il essayant d'être persuasif.
Le rebeu rigole.
-et tu me laisserais dans cet état ? dit le rebeu en prenant sa main pour la poser sur son sgeg.
Putain plus de 10 ans qu'il n'a pas touché un zob et là sa main fait la curieuse, elle passe rapidement dans le survêt du rebeu et va la chercher, la sortir et c'est lui qui gémit en regardant le rebeu quand il caresse cette bonne, longue et grosse queue!
Le rebeu rigole en ricanant!
-eh oui cousin quand on y a goûté aux zobs on ne peut jamais s'en passer et toi je sens que t'es une bonne salope qui a faim, alors tu sais pas, ben tu vas te mettre à genoux et me tailler une pipe que je te donne tout mon bon lait chaud!
-je sais pas dit Farid en essayant de reprendre ses esprits.
Le rebeu le saisit par le col de son sweat :
-écoute bien ma salope tout ce que je te dis et obéis surtout!
Ses yeux le fixaient, ils étaient nez contre nez, et Farid sentait le souffle du rebeu!
-à genoux salope! dit le rebeu en lui appuyant sur l'épaule.
Farid sent le doigt sortir de son cul, cela lui fait un vide, il s'agenouille devant ce beau zob et tous les souvenirs reviennent rapidement!
Prendre en mains ce gros morceau, le caresser, le lécher, enlever la mouille, goûter au gland, caresser les grosses couilles poilues, les lécher, les avaler, les sentir rouler dans sa bouche et revenir au sgeg, essayer de tout avaler, mais putain il est gros et long, il essaie de calculer la longueur, 22-23 cm ou plus même, ses doigts en font à peine le tour! Mais putain qu'elle est bonne, le jus, il tète et sent la main du rebeu lui tenir la tête pendant qu'il pousse de petits gémissements!
-putain faut que tu viennes plus souvent ma salope, t'es doué! c'est ça passe bien ta langue autour de mon gland, tète bien! mais c'est qu'il est doué! Je savais que t'avais faim ma belle salope, alors je vais te donner ta récompense! Continue de bien avaler, vas-y salope enfonce le bien au fond de ta gorge que mon jus coule en toi, de cousin à cousin mec!
Farid en avait des larmes aux yeux de s'enfoncer ce gros zob au fond de la gorge, il avait repris les habitudes perdues mais vite retrouvées et il a su quand le rebeu allait jouir, son zob s'est raidi, a gonflé dans sa bouche et il a senti le bon jus venir dans la grosse veine appuyée sur sa langue et gicler en lui, l'étouffant à moitié tellement il y en avait!
Il s'est cramponné aux cuisses du rebeu et n'a pas bougé jusqu'à ce que les giclées s'arrêtent pour lécher avec application ce beau zob!
Le rebeu l'a fait relever, l'a regardé en souriant :
-putain t'es bien meilleur que les bourges qui viennent mec! bon t'as le temps ? j't'invite à boire un coup chez moi, on sera plus tranquille!
-j'tai dit que j'avais pas trop le temps ce soir dit Farid parlant doucement.
Le rebeu le reprend par son sweat :
-qu'est ce que tu comprends pas dans les mots Ecoute et Obéis mec ?
-rien dit Farid en baissant la tête.
-alors tu me suis, on va passer au milieu des jeunes, alors tu fais pas genre j'suis une pute, car j'en connais qui vont vouloir venir sinon!
Ils sont passés tranquille au milieu des jeunes rebeux, qui ont tous dit salut Mourad et tous l'ont maté bizarrement, mais comme c'est un rebeu, ils n'ont pas cherché à comprendre, Farid leur a souhaité bonne soirée et ils sont montés dans les étages!
Mourad était bien un peu plus âgé que Farid, mais c'était également un beau mec. La porte de son appartement était à peine refermée qu'il prenait Farid par le sweat, l'approchant de lui :
-tu vas te foutre à poils ma belle salope et me montrer ton petit cul que mon doigt a déjà apprécié.
Tout en se déshabillant, Farid observait Mourad, le beau daron rebeu dans sa splendeur, fier, sûr de lui, et il avait hâte de le voir à poils.
Mourad l'observait et Farid voyait bien que son pantalon de survêt commençait à pointer!
-putain t'es bien une salope mec! Tu mets pas de slip pour venir ici, t'avais vraiment envie de te faire niquer alors ?
Farid bandait comme un ouf quand il s'est redressé pour être juste en face de Mourad, qui lui prend le sgeg en main et le branle sèchement.
-déshabille moi salope! dit Mourad en plissant ses yeux noirs fixés aux siens.
Le sweat enlevé, c'est un torse poilu légèrement qui apparait, une belle poitrine aux seins bien dessinés avec des tétons qui pointent, Farid ose, et vient caresser les poils, sa tête s'avance et il hume, respire l'odeur de ce rebeu, il retrouve l'odeur de son ancien pote Malik!
La main de Mourad lui appuie la tête sur sa poitrine, et il se met à lécher comme une bonne salope les tétons, les poils, il sent, s'énivrant de cette bonne odeur, il tète et Mourad gémit, il glisse à genoux en continuant de lécher le torse, le ventre, le nombril.. Il descend le pantalon de survêt, le beau zob est toujours là renfermé dans le boxer. Il lui enlève ses baskets et le survêt, baisse le boxer et le long zob lui tombe sur le visage!
Ils sont à égalité, Mourad le fait relever et l'entraîne dans une chambre.
Farid sent la main de Mourad caresser ses fesses, il le pousse vers le lit où Farid va pour s'allonger.
-t'es pas venu pour dormir, fout toi à quatre pattes au bord du lit et écarte bien ton cul que je vois bien!
Farid Obéit comme la salope qu'il était avec Malik.
Deux claques tombent sur ses fesses, les doigts passent dans sa raie, touchent son anus et un index s'enfonce sans ménagement, le faisant crier.
-tu peux gueuler la pute, j'emmerde les voisins!
Mourad crache sur son anus et fait entrer la salive, il doigte bien profond et n'hésite pas avec la salive! Farid aurait bien aimé qu'il lui lèche le cul, sentir une langue comme Malik lui faisait en le traitant de salope!
Mais Mourad c'est plutôt le jeu avec ses doigts qui l'excitent et Farid sent bien son cul s'ouvrir de plus en plus et les sensations reviennent! Il bande encore de plus en plus, il aimerait bien se branler en même temps qu'il se fait niquer..
Et c'est le zob de Mourad qui vient remplacer les doigts, il sent que son trou est resté ouvert et vite comblé par le gros gland rebeu. les mains qui saisissent ses hanches, donnent quelques claques, le serrent et le gland qui tente d'entrer, il sent son sphincter s'ouvrir en grand, comme s'il allait se déchirer, une douleur arrive de n'importe où mais qui se concentre sur son anus et ce gros gland qui poursuit inlassablement son voyage pour enfin entrer et la première gueulante de Farid arrive, un long cri strident, il se sent écartelé et c'est comme si un tison l'avait ouvert, ça le brûle!
Les claques reviennent sur ses fesses, le zob ne bouge plus, comme s'il laissait son cul s'habituer, puis les mains se resserrent et d'un coup de reins tout le zob s'enfonce dans son cul et le deuxième hurlement arrive, il pleure tellement il a mal et en même temps il se sent heureux de retrouver la sensation de se faire posséder par un bon zob!
Son corps est parsemé de spasmes, de secousses, Mourad ne bouge plus, ses mains caressent son dos, son ventre, viennent toucher sa queue qui a perdu de sa vigueur, la branle, la faisant raidir rapidement et son cul serre le zob de Mourad qui commence à bouger.
Et là Farid a été niqué, niqué en beauté par un rebeu qui aime ça.
Mourad l'a fait tourner autour de son sgeg, sans jamais sortir de son cul et Farid a aimé l'avoir en face, le voir, voir son visage de rebeu et sentir son zob voyager en lui. Il ne gueulait plus mais gémissait en regardant Mourad presque amoureusement, tellement heureux de se faire posséder, d'appartenir à un mâle comme lui!
Farid a apprécié quand Mourad l'a branlé en le fixant, sentir sa main serrer son zob et le branler de plus en plus vite, Farid la bouche ouverte, le fixant et Mourad, se léchant les lèvres!
Quand Farid a joui il a vu que Mourad était impressionné de la quantité de liquide qu'il avait émis, la force des giclées qui sont venues jusque dans ses cheveux, et son cul qui écrasait le zob de Mourad! Il a repris ses va-et-vient pour jouir rapidement en gueulant au moins aussi fort que Farid avant de s'écrouler sur lui.
Farid l'a serré dans ses bras et s'est permis de lui faire un bisou sur la joue, il a bien vu qu'il était étonné, mais lui en fait un également et ce fut un déluge de bisous sur les visages, tous les coins y sont passés, mais jamais les langues n'ont visité les bouches!
Ils étaient vidés tous les deux et se sont endormis dans les bras l'un de l'autre.
Farid s'est réveillé en premier, regardant Mourad le tenir dans ses bras!
5 heures du matin, il se lève doucement, mais Mourad se réveille :
-tu vas où ?
-je rentre chez moi faut que j'aille bosser!
-ah ok, bon si tu veux prendre une douche c'est juste à côté et laisse moi ton 06 qu'on se revoit mec! t'es vraiment une belle et une bonne salope et j'ai pas envie que d'autres rebeux profitent de toi!
Farid lui fait un câlin en lui disant :
-moi aussi j'ai envie de te revoir Mourad!
Il est passé chez lui, a repris une douche, essayer de s'enlever l'odeur de Mourad qu'il sentait encore sur lui et qui le faisait bander! Putain de nuit qu'il avait passé, car il l'avait baisé une autre fois dans la nuit et Farid avait aimé bien sûr!
Mais en partant il n'avait pas laissé le bon numéro de téléphone, il avait quand même pensé à sa femme et ses enfants bien sûr!
Et, maintenant il était dans son bureau, il repensait à sa nuit encore et encore en espérant qu'il n'allait pas devenir accro à Mourad et n'avoir que lui à l'esprit!
Vivement que sa femme revienne pense t-il.
Il en était là de ses réflexions quand il entend quelqu'un parler fort avec sa secrétaire.
Il écoute.
-bon ça fait 3 semaines que vous me dites que vous venez pour réparer et j'attends toujours! j'en ai marre dit la voix.
Il entend sa secrétaire expliquer qu'ils ont beaucoup de travail et que lui est programmé pour la semaine prochaine, mais le mec n'est pas content et exige que les travaux commencent plus rapidement.
Farid semble connaître cette voix mais il n'arrive pas à mettre un nom dessus, alors il sort de son bureau et reste statufié dans l'entrée quand le mec se retourne, le toise, aussi statufié que lui!
Mourad le regarde, la bouche ouverte!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :
