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Chapitre-10
Arrivés dans le bureau de Charles, Hassan voit bien qu'il est surpris de la présence d'Aziz, mais il ne fait aucune réflexion.
-alors Charles cela a donné quoi votre rendez vous avec le recteur ?
-oh il n'est pas content, il voulait au départ faire intervenir la Police tunisienne et que les jeunes déposent plainte. Je lui ai expliqué que s'il voulait voir la réputation de sa Faculté chutée à zéro, c'est ce qu'il fallait faire. Je lui ai dit que j'avais insisté auprès du père d'Erwan pour ne pas qu'il dépose plainte justement pour ce motif et que je lui confiais les photos que vous m'aviez remises pour inciter Sergio à refaire ses valises pour Rome et partir le plus rapidement possible. Il m'a dit qu'il allait le mettre en demeure de quitter la Tunisie, sinon il avisait la Police. Je viens de raccrocher avec lui, ses surveillants viennent d'accompagner Sergio à l'aéroport, direction Rome!
-eh bien voilà une chose de réglée, merci Charles d'avoir fait ça si rapidement! Cela va être un soulagement pour tous les jeunes. Il faudrait que j'appelle la Ministre aussi.
Charles lui tend son téléphone sécurisé.
Il papote quelques instants avec la Ministre qui lui explique qu'elle a joint son homologue italien, qui a fait celui qui tombait des nues.
-j'ai eu une discussion assez tendue, expliquant que la France était vexée par son amie l'Italie qui ne la croyait pas quand elle lui envoyait des renseignements! J'ai eu droit à des excuses et au rapatriement de celui que vous appelez Marco!
-alors tout se termine bien, je suis content dit Hassan.
-vous rentrez quand ? demande la Ministre.
-justement, dit Hassan, j'ai quelque chose de particulier à vous demander, il me faut votre aval, je vous ai parlé du jeune franco tunisien qui m'a beaucoup aidé dans cette enquête, c'est également le fils d'un comandant de l'armée française, en retraite et son père lui a toujours promis de lui faire visiter Paris.
Fallait voir les yeux ronds que faisait Aziz en fixant Hassan, il commençait même à avoir les mains qui tremblent, en même temps qu'Hassan entend la Ministre rire dans le téléphone.
-c'est bien la première fois que vous me demandez mon avis pour ramener quelqu'un commandant!
-oui mais là c'est pour une récompense officielle du gouvernement Madame la Ministre, pour ce qui est de l'hébergement et de la nourriture je m'en charge!
-je reconnais bien là votre grand cœur commandant, mais qu'est ce qu'il a de si particulier cet Aziz ?
-Aziz, oh mais je vous le présenterais si vous voulez et vous verrez vous même! dit Hassan en fixant Aziz qui était encore plus rouge, et là ses mains tremblaient.
-bon voyez ça avec monsieur l'ambassadeur, bien sûr qu'on va prendre en charge son voyage! A bientôt commandant.
-à bientôt madame la Ministre et merci pour Aziz.
-mais vous lui faites faire tout ce que vous voulez! dit Charles à Hassan. Alors vous partez quand que je fasse prendre les billets d'avion ?
-on part quand Aziz ?
Mais Aziz était comme statufié, la bouche ouverte, les yeux ronds pleins de larmes!
-bon dit Hassan, disons demain en fin d'après-midi, ça nous fera arriver pour dîner! Merci Charles de s'occuper de tout! Tu viens Aziz , on est attendu pour déjeuner?
Ils sont sortis du bureau de Charles, Aziz n'avait toujours rien dit, il marchait mécaniquement en regardant par terre. Hassan s'arrête :
-t'es pas content Aziz ?
Sans répondre il se jette dans les bras d'Hassan, entourant son torse, se serrant contre lui et se met à pleurer, de gros sanglots qui secouent tout son corps. Des personnes passent dans le couloir et les regarde étonnés.
Aziz relève enfin la tête, les larmes envahissent son beau visage, Hassan les essuient avec sa main tendrement :
-mon 1er adjoint se remet de ses émotions ?
-jamais on ne m'a fait un tel cadeau Hassan, je ne t'oublierais jamais! T'es un mec merveilleux, bon, généreux!
-c'est un cadeau pour moi également dit Hassan en souriant.
-comment ça ? demande Hassan.
-ben j'vais t'avoir pour moi tout seul à Paris, chez moi le temps que tu voudras! Tu verras que tu vas demander à être libéré!
Il rigole enfin, lâche Hassan, le prend par la main :
-viens, on a le temps ?
-de quoi ?
Mais Aziz ne répond pas et entraîne Hassan dans les couloirs de l'ambassade, ils passent dans des endroits où Hassan n'a jamais mis les pieds, pour s'arrêter devant une porte, qu'Aziz ouvre, pousse Hassan à l'intérieur et ferme la port à clé derrière lui. C'est un bureau inoccupé apparemment.
Aziz se retourne, pousse doucement Hassan jusqu'à ce que ses fesses touchent le bureau et il se met à genoux devant lui, défait rapidement son pantalon, sort le zob et s'amuse avec :
-le commandant a dit qu'on allait passer des vacances ensemble monsieur le beau zob, alors j'espère que tu seras à la hauteur car je vais m'occuper de toi! dit Aziz comme s'il parlait à la queue d'Hassan qui ne peut s'empêcher de rire.
Et Aziz ne fait pas que parler, une main enveloppe les couilles, les masse, les caresse, pendant que ses lèvres enveloppent le beau gland déjà dur comme l'acier et que sa langue entre en action, l'inondant.
Hassan caresse ses cheveux, sa tête tendrement!
Aziz enfonce ses lèvres sur le gros zob, Hassan sent son gland toucher le fond de la gorge, Aziz tousse, mais continue et il réussit à tout avaler pour aussitôt se mettre à le piper en mode accélérée.
Il sait y faire ce voyou de tunisien, entre sa main, sa langue, ses lèvres, les sensations arrivent de partout, et il sent bien qu'il ne va pas tarder à jouir! Aziz doit s'en rendre compte car ses lèvres ceinturent bien son zob! Dans un râle il jouit dans la bouche d'Aziz qui dégluti à chaque giclée, ses yeux rieurs le regardent, il est heureux le petit tunisien.
Puis il lèche, nettoie bien le beau zob d'Hassan, qui croit que c'est terminé!
Mais Aziz relève la tête, le fixe, Hassan voit qu'il y a une question dans ses yeux :
-j'voudrais quelque chose Hassan.
-quoi ?
-j'voudrais te bouffer le cul, j'adore bouffer les culs, y mettre ma langue et l'enfoncer le plus loin possible!
-mais on est attendu et s'ils nous cherchent ?
-oh y sont pas prêts de nous trouver! tu veux bien commandant ?
Hassan se retourne et couche son torse sur le bureau offrant son cul au Aziz gourmand.
Il repense d'un seul coup à Manuel, le toulousain, il lui a fait le même coup avant de le niquer! Ils deviennent finaud les jeunes!
Mais il arrête de penser à Manuel, quand il sent les mains d'Aziz ouvrir ses fesses, son souffle passe dans la raie, son nez frotte, il le hume et d'un seul coup sa langue entre en action.
Il sent la salive couler dans sa raie, la langue qui appuie sur l'anus, l'anus qui commence à s'ouvrir un peu! La salive arrive encore, la langue force, les lèvres font des bisous, la langue revient et il arrive à faire entrer la pointe, donnant des frissons à Hassan qui repense encore à Manuel! Il lui fait la même chose Manuel!
Mais Aziz tient parole, et ne fait que lui bouffer le cul et il a faim le garçon! Il ne lésine pas sur la salive, les coups de langue et il est content quand il entend gémir Hassan!
Il se redresse, fait relever Hassan, lui tourne le dos se colle à lui, ouvre sa braguette, sort son sgeg raide en inondation, tourne la tête vers Hassan, et avant d'accaparer ses lèvres :
-branle moi et fais moi jouir commandant! Mon homme merveilleux!
La branlette et le baiser n'ont pas tellement durés longtemps vu l'état d'excitation d'Aziz.
Heureusement qu'Hassan l'embrassait en étouffant son cri, mais il a juté dans le bureau de longues traînées.
Hassan lui a donné ses doigts à lécher, ce qu'il a fait, avant de se retourner et l'embrasser tendrement :
-je crois que je devrais passer de bonnes vacances avec toi comme guide à Paris! Tu es un amour Hassan d'avoir pensé à ça! Si tu savais le plaisir que tu me fais!
-j'espère bien dit Hassan en souriant, c'est fait pour!
-ah au fait j'adore ton cul, mais je n'aurais pas pensé qu'il était visité!
-oh t'es médecin maintenant ?
-expert en cul commandant! faudra que je vois ça de plus près commandant, que je touche avec mes doigts pour bien le savoir!
Hassan rigole et le serre contre lui.
-bon on va se faire remarquer d'être en retard!
Aziz l'a vite accompagné jusqu'à l'appartement des parents d'Erwan. Tout le monde était là et les jeunes les regardaient avec des regards soupçonneux, d'autant que Tarik, qui vient faire un bisou à Aziz, lui dit tout bas à l'oreille :
-tu sens le sperme mec, vous étiez où tous les deux ?
-ben dans le bureau de monsieur Charles, le commandant téléphonait à sa ministre et elle doit être amoureuse de lui car elle l'a baratiné tu peux pas savoir!
Là il avait parlé plus fort, et tout le monde avait entendu.
-j'peux leur dire commandant ? demande Aziz.
-bien sûr c'est pas un secret d'Etat!
-eh bien en tant que 1er assistant du commandant, en remerciements, je suis invité à Paris pour visiter la ville avec comme guide le commandant!
Il était tout rayonnant en disant cela et regardait tous ses potes, qui, le moment de stupeur passé, se sont tous mis à parler en même temps ensemble!
-vous faites comment commandant pour les supporter tous comme ça ?
-je m'amuse énormément Daniel, ils me font rester jeune je pense, de les entendre faire des réflexions, me charrier sur mon âge..
-ils ont osé ? même Erwan ?
-je ne balance pas Didier, mais sachez que cela m'amuse et ils doivent m'apprécier car cet après-midi, il parait que j'ai droit à une surprise, mais chut faut rien dire, je suis sensé pas le savoir!
-vous savez ce que c'est ?
-ah non, j'ai failli le savoir mais les tunisiens se sont retenus à temps!
Ce fût un joyeux brouhaha durant le repas, l'enfermement d'Erwan semblait bien être oublié et tout le monde voyait bien que son préféré était Yassine. Mais durant le repas, Erwan se penchait souvent à l'oreille de Tarik, qui avait l'air étonné de ce qu'il lui disait. Mais Hassan n'entendait pas, et cela devait plaire à Tarik qui avait encore plus le sourire.
Le déjeuner terminé, les parents d'Erwan et Hassan ont bu le café au salon, pendant que tous les jeunes se réunissaient dans la chambre d'Erwan, porte fermée!
-le complot commence! dit Hassan en souriant, je commence à être pressé de savoir ce qu'ils ont imaginé!
-vous nous raconterez! dit Didier.
Cela est moins sûr, pense Hassan.
Puis les jeunes sont sortis de la chambre, Erwan en tête qui vient devant Hassan.
-bon commandant c'est l'heure! faut y aller! Désolé les parents on ne peut vous inviter! dit Erwan sérieusement.
-je suis prêt dit Hassan en se levant, faut que je fasse quoi ?
-rien de spécial pour l'instant, dit Erwan, tu restes avec Aziz qui va t'amener en moto là où il faut, et nous on part devant en voiture. On vous attend disons dans une heure tous les deux pour que la fête commence!
Aziz vient se mettre à côté d'Hassan :
-à partir de maintenant c'est moi le chef commandant, faut m'obéir aveuglément!
-aveuglément, ça je suis moins sûr Aziz! dit Hassan en riant.
-faut qu'on repasse par ton appartement pour prendre les casques dit Aziz.
-oui mais vous endormez pas dit Tarik avec son sourire coquin.
On voyait bien que les parents d'Erwan étaient dépassés.
Hassan et Aziz sont retournés dans l'appartement.
-on a le temps de se reposer un peu dit Hassan, il faut combien de temps pour aller dans le piège ?
Aziz rigole,
-oh un petit quart d'heure! dit Aziz, alors faut bien s'occuper jusqu'au départ!
-et tu veux faire quoi ? demande Hassan.
-te faire des bisous et un gros câlin sans toucher ton zob, on va jouer avec nos lèvres et nos langues, je vais t'amener dans le piège comme tu dis, tu vas bander comme un ouf!
-surtout que je vais être collé à ton petit cul durant le voyage, ça va rien arranger!
Aziz est venu à califourchon sur Hassan et le jeu de langues, de lèvres à commencé.
Jeu de tendresse, tout excitait Hassan , sentir les lèvres d'Aziz épouser les siennes, les effleurer, les caresser. Les langues se toucher, se frôler, s'enrouler en déversant leurs salives!
Les bisous yeux dans les yeux, les caresses des visages, ils parlaient avec les yeux et Hassan lisait toute l'admiration qu'Aziz avait d'être dans ses bras.
Puis ce fût l'heure de partir.
Ils bandaient tous les deux comme des fous, les pantalons étaient bien déformés. Aziz n'a pu s'empêcher de caresser la grosse bosse!
-c'est bien t'es en forme pour l'après-midi! dit Aziz sourire coquin.
Ils prennent les casques et descendent dans la cour de l'ambassade récupérer la moto d'Aziz, qui éclate encore de rire quand Hassan enfile le casque.
Hassan ne peut s'empêcher de l'agacer en caressant son corps, son gros zob lui faisait mal tellement il bandait, coincé contre le petit cul d'Aziz.
Il regarde le chemin que prend Aziz et quelques instants après, il se rend compte qu'ils vont en direction de l'Université. Hassan ne dit rien, mais ils passent devant sans s'arrêter et filent vers les vestiges de Carthage!
Un doute prend Hassan, ils n'ont pas décidé de baiser sous le Théâtre Antique quand même?
En tout cas Aziz s'arrête devant l'entrée qu'ils connaissent tous les deux.
Il a le sourire ce coquin en prenant Hassan par la main.
-viens commandant.
Ils prennent le même chemin que pour aller délivrer Erwan, mais continue dans une deuxième salle encore plus belle que la première. Toute illuminée, un trône est installé sur une petite estrade, de la musique douce, envoutante se fait entendre!
Aziz lève son doigt.. et apparaissent Erwan, Yassine et Tarik, mais vêtus d'une grande toge blanche et ils semblent bien nus dessous.
Ils viennent vers eux et Aziz va par où ils sont arrivés.
Erwan le regarde:
-commandant, comme tu le sais maintenant, c'est ici que l'on faisait des partouzes, alors on a décidé tous ensemble de te remercier pour tout ce que tu as fait, surtout pour moi et mes parents! Alors on va te déshabiller, laisse toi faire!
A trois il est vite nu et ils rigolent tous de voir qu'il bande déjà! Quand Aziz revient portant des vêtements dans les mains.
-tu vas revêtir la toge romaine.
Il lui attache avec un cordon doré à la taille, Et Aziz sort une couronne de lauriers que Tarik vient déposer sur sa tête !
-tu es l'empereur César de la Rome antique, tu viens rendre visite à Carthage, ton comptoir préféré mais il y a eu un scandale dans la cité, un de tes nobles a violé plusieurs de ses serviteurs tunisiens, alors on va te le présenter et tu dois ordonner une punition! En attendant tu t'assois sur ton trône et tu attends!
Ils ont de l'imagination ces jeunes pense Hassan en les voyant disparaître.
Peu de temps après ils reviennent, et Hassan est vraiment stupéfait :
Aziz est vêtu d'une tunique de l'armée romaine, il tient une lance d'une main et de l'autre tient Erwan, du sang sur le visage, des vêtements en lambeaux, une chaîne entrave ses mains, suivis de Tarik et Yassine, en tunique d'esclave, portant des petites jupettes qui mettent en valeur leurs jambes et cuisses.
Ils s'avancent tous vers lui et en chœur :
-Ave César!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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