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HISTOIRE

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Premier épisodeÉpisode précédent

Agriculteur | Saison 25 | Le retour

4 | Où est ta chambre ? – Le récit deThomas

La porte de mon appartement claque derrière nous et, déjà, la langue de Julien se noue à la mienne, son épaule cloue les miennes au mur, ses grandes mains pétrissent mes fesses avec gourmandise.

Nous y sommes !

Aussitôt, je capitule et je prends l'eau, je sombre entre ses bras de sauveteur providentiel ... Je me raccroche à lui à deux mains mais il les chasse. Je suis un pantin sans volonté qu'il tourne et retourne entre les siennes, je m'en remets à lui.

Il dégage mon tee-shirt coincé dans ma ceinture et passe ses mains en dessous qui balaient ma peau. Leur froideur me saisit et j'en frissonne. Ses doigts s'emparent de mes deux tétons percés avec la même assurance qu'il prendrait en main les manettes de ma console de jeux. Une salive froide envahit ma bouche dans l'attente qu'il appuie sur "play!", qu'il lance la partie.

Mais il s'en détourne pour, prestement, déboucler ma ceinture, ouvrir ma braguette. Ses mains reviennent dans mes reins et font glisser, ensemble, pantalon et boxer sur mes courbes pour lui révéler mon cul. Mon cul qui est poilu ; que va-t-il penser de cette prairie, lui ? Est-il plutôt amateur d'éphèbe imberbe et lisse? Vais-je lui paraître négligé ? Imbaisable ? Mais il le caresse lentement du plat de la main, puis de ses doigts en griffes comme pour le ratisser avec soin et il termine en l'encadrant, en le moulant de ses mains en corbeille.

Voilà qu'il crache au creux de l'une d'elle ; elle remonte promptement ma raie, un doigt en étrave pour la fendre. Il vient se nicher, la pulpe au coeur de mon étoile. Il vibre et y plonge d'un trait, sans rencontrer aucune forme de résistance en même temps qu'il pousse sa langue charnue dans ma bouche. Ma respiration se bloque. Chaque étape est pour moi une petite victoire et cette phalange qui me lime souplement m'euphorise déjà.

Alors je l'engage à aller plus loin, s'il n'a pas compris.

- "Occupe-toi de mon p'tit cul, il est affamé."

D'un vif mouvement, il me retourne face au mur. De ses deux mains, il arrache mes vêtements par dessus ma tête, lisse mon dos, creuse mon rein puis, s'emparant de ma ceinture, il abaisse le reste de mes frusques aux chevilles en s'accroupissant. Je sens son souffle en filet balayer mes fesses en tous sens et je retiens le mien, dans la crainte que, d'une claque et d'un rire narquois, il m'annonce qu'il renonce, que, décidément, non ...

Mais il les embrasse, l'une après l'autre, avec empressement, comme deux bonnes amies, y appose successivement ses joues qui râpent, revient les ponctuer de bisous, de petites lècheries, les écarte en les empoignant solidement à deux mains, comme on ouvre un fruit mûr. Ouf !

Mes bras ont glissé sur le mur, mon rein s'est encore creusé pour marquer l'offrande et j'ai senti la pointe de sa langue frétiller en visant mon oeillet où elle sautille d'abord malicieusement. Sa main force brusquement le passage entre mes cuisses jointes pour s'emparer de mes couilles qu'elle roule et malmène. Dans un petit cri craintif, je cède d'un coup, me casse en deux.

Immédiatement, sa large langue recouvre mon fion, le lappe puis le dévore. Merveilleusement. La caresse me fait reprendre confiance et renouer avec une volupté libératrice qui me soulève.

-"Oui!"

Je crains d'avoir miaulé tant ma voix s'étrangle sous ses redoutables lècheries ! Mais il ne s'arrête pas au ridicule de mon gémissement et sa langue se déchaîne dans un redoutable ballet encore plus magique, qui m'éreinte et me fait m'effondrer un peu plus sur moi-même. Quand ses doigts se joignent à la sarabande, je perds toute retenue, toute pudeur tant je suffoque et hoquette. Rien d'autre n'existe que ces fulgurances éblouissantes qui secouent mon corps.

Voilà qu'il crochette mes couilles de ses doigts en griffes et les étire vers l'arrière pour me doigter du pouce de la même main. La pulpe lime obstinément mon conduit, jouant de l'un ou des autres, me partageant entre une tension qui m'électrise presque douloureusement et des sensations émollientes dans lesquelles je me dissous, jambes flageolantes.

Il me redresse, le dos en appui contre son torse. Son autre bras enserre le mien et ses doigts retrouvent mon téton, son barbel, le roulent et ... c'est une succession de courts-circuits qui courent le long de ma moelle épinière. Je perds le nord, le haut et le bas tout pareil, tous mes repères dans l'espace où je flotte en apnée. Quand, en alternance, il me lèche ou me mordille l'oreille, je suis si tourneboulé, le coeur au bord des lèvres, que je ne sais d'abord que répondre aux questions dont il me bombarde d'une voix murmurée mais qui me paraît pourtant impérieuse.

- "Dis-moi, Thomas ... de quoi as-tu envie ? ... VRAIMENT envie, hmm ? ... Tu aimes les produits du terroir ? ... Tu sais combien les paysans sont dévoués, ils aiment à faire plaisir ... Qu'est-ce qui te ferait plaisir, là, maintenant? ... Pour un vrai cadeau, juste avant Noël ?"

- "Baise-moi."

Les deux mots ont jailli, comme une évidence : je lui suis voué, qu'il dispose, qu'il abuse de moi mais, surtout, qu'il m'étourdisse encore, moi que ses mains disloquent, que ses questions désarçonnent, moi qui vibre et ne respire que grace aux électrochocs qu'il me prodigue en rafale.

Mais il insiste.

- "J'ai pas compris Thomas."

Et il s'acharne ; son doigt me lime somptueusement, j'en vagis, tout en pressant fermement mes couilles, et alors je me crispe. Ils tordent sauvagement mes mamelons percés, sa bouche froisse bruyamment mon pavillon, ses dents le mordillent, sa langue l'envahit et m'assourdit, le flot de ses paroles ensorcelantes se fait litanie entêtante, il me dispense tour à tour des éclairs de volupté et des piqures si vives qu'elles me font crier, je suis happé comme par un puissant rouleau venu du fond de l'océan qui s'empare de moi ; il me renverse cul par dessus tête, me tourneboule, m'éclate et me disperse ; je suffoque, éperdu, disloqué, à bout de souffle. Je me perds en mer, un naufrage.

- "Mets moi ta queue, dans mon p'tit cul, profond, il a faim, s'il te plaît ..."

J'ai rassemblé mes dernières vestiges de volonté pour les jeter dans cette supplique de désespéré proche de renoncer, mes mains ont glissé vers l'arrière pour tenter de cerner sa queue durcie dans son pantalon, m'y raccrocher, l'attirer à moi ... Il cède mais en ricanant.

- "Je suis déçu ! Tu voudrais pas me sucer un peu, auparavant ? Ça se fait, non ?"

Tout ce qu'il voudra ! Pourvu que j'échappe de cette spirale de sensations si puissantes qu'elles me renversent, m'anesthésient, me perdent, me font chuter dans un gouffre, un puits sans fond, effrayant ... Soudain, la succession précipitée de tous ces vertiges hallucinants étreint mon coeur, le perce avec le stylet accéré d'une terreur indiscible.

J'ai juste le temps de prendre une goulée d'air, d'en remplir mes poumons, d'échapper quelques secondes à cette sensation d'oppression, d'étouffement et, malgré l'entrave de mon pantalon aux chevilles, je réussis à faire volte face. Je me casse en deux, bouche ouverte, guettant sa queue qui bondit comme un beau diable dés qu'il la libère de la contrainte des tissus en ouvrant sa braguette, visant son gland cramoisi, suintant, lustré.

Sans plus hésiter, je l'engloutis et, dans le rythme même de mes aller-retour réguliers de pendule, dans mon application à ne pas érafler son sceptre radieux avec mes dents mais à le serrer avec délicatesse et fermeté, des lèvres et de la langue contre mon palais, dans cette agitation familière, je me recentre et reviens à moi, reprends peu à peu pied, mon pouls décélère, ma respiration se fait moins précipitée ...

Je réalise alors qu'à son tour, il s'abandonne, petit à petit. Il est donc friable lui aussi.

Puis, soudain, il s'active, fouille dans sa poche, en retire deux carrés qu'il porte à sa bouche, puis il m'asperge la raie de gel en abondance.

La flèche de son doigt m'a foudroyé, je suis tétanisé, des étincelles s'allument derrière mes paupières closes.

- "Tss ! Si tu arrêtes, moi aussi alors..."

Aussitôt, je reprends mes oscillations avec ardeur, je le masse, le branle, le suce, le pompe, le lèche, le brosse de ma moustache, l'époussette de ma barbe déployant mon zèle dans ce que je veux être un savant ballet de caresses épicées et variées pour l'éblouir à son tour, me félicitant de ses hoquets, de ses sursauts, de ses plaintes dont il se défend en me dispensant, en retour, des fulgurances qui m'électrisent.

C'est ça, exactement ÇA, que je veux !

Ça, mais rien de plus et, surtout, ne pas / ne plus me perdre.

Il me tend le carré magique contenant l'étui de latex.

- "Passe lui sa combinaison de plongée."

Je déballe la fine pellicule protectrice et encapuchonne à deux mains sa queue arrogante. Quand j'achève de l'emballer, son index vient soulever mon menton et ses yeux noirs plongent dans les miens.

- "Répète distinctement ce que tu attends maintenant, pour que je sois certain de t'avoir bien compris, je ne voudrais pas abuser de toi."

Sans décrocher de son regard qui me transperce mais convaincu de la nécessité qu'il comble mon désir, j'articule distinctement à voix basse.

- "Je veux que tu m'encules."

Sa main glisse sous mon aisselle pour me redresser, me retourner face au mur et, aussitôt, je me cambre pour lui présenter mon cul disponible à son assaut. Mais voilà que sa main batifole, me caresse, ébouriffe mes poils, il tambourine sur ma fesse avec son barreau brûlant tandis qu'il ne fait que me doigter énergiquement. Putain mais enfile-moi donc ! Je m'agite, impatient.

J'entends l'ardillon tinter sur la boucle de sa ceinture dans des froissements de tissus qui s'écroulent et sa saucisse emballée et maintenant dégagée, si lisse, gluante, s'insinue entre mes fesses qu'il écarte, qu'il rebrousse à franches poignées comme une pâte. Je n'ai qu'à me laisser glisser ves l'arrière pour qu'il m'éperonne souverainement, m'ouvre, m'investisse lentement, me remplisse, me gave, jusqu'à satiété. Quand je sens les poils de sa touffe crisser en s'aplatissant dans ma raie, qu'il me presse de tout son poids contre le mur, je peste, proteste, insatisfait. Je réclame.

- "Putain, mets-moi tout ! Éclate-moi le cul !"

Des deux mains, de la joue et de l'épaule droite, je prends solidement appui au mur et lui joue la grande valse du cul. En me réglant sur l'alternance de mon souffle, je le balance pour coulisser d'avant en arrière tout le long de cette bonne tige solide qui m'éperonne, m'arme et dont je me régale sans réserve, me réjouissant d'être parvenu à mes fins.

- "Putain, oui ! Fourre-moi le cul bien profond ! Donne-la moi à bouffer en entier, ta grosse saucisse. Remplis-moi encore, oui !"

Ses doigts ont beau faire, martyriser mes mamelons à me faire grincer des dents, sa grosse langue peut bien envahir ma bouche de son flot pour tenter de m'étouffer, je me lime, je me ramone, je me goinfre de cette bonne bite enfin en moi, avec une ardeur forcenée, en célébrant bruyamment mon plaisir, conquis avec succès cette fois.

J'ai fait naufrage, j'ai sombré puis j'ai repris pied et, maintenant, je veux m'éblouir d'être toujours vivant.

J'ai crié, soulevé en saccades.

- "Salaud !"

Je m'effondre entre ses bras et il me soulève comme un sac.

- "Salaud? Moi ?"

Son rire me secoue.

- "Indique-moi plutôt où est ta chambre."

« Je te donne mes espoirs cachés / je te donne mes incertitudes / je te donne mes plus grands secrets / la vie c’est déjà si compliqué / donner pour donner / tout donner / c’est la seule façon d’aimer » Au début des années 80, Elton Jones et France Gall chantent que c’est la seule façon de vivre.

Amical72

amical072@gmail.com

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