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HISTOIRE

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Agriculteur | Saison 25 | Le retour

6 | Ton dernier mot – Le récit de Thomas

Julien jouit en moi dans un rugissement, ses doigts se plantent presque cruellement dans mes hanches, je m'amuse de ses derniers soubresauts accompagnés de souffles en quintes expectorantes, de son ultime soupir exténué et je roule sur le flanc à son côté. Oui !

- "Ça y est? Tu t'es bien vengé de Cédric? Tu as bien évacué ta rancune après son lapin ?"

Mais il rit, il me prend dans ses bras, me serre, nous fait rouler l'un sur l'autre, me couvrant de petits bisous tendres en roucoulant, soudain joyeux, joueur.

Mon désir inabouti me revient alors comme un paquet de mer glacé en pleine face et me noue le ventre : assurément, maintenant qu'il a joui, lui, il va m'abandonner ainsi !

Je le laisse me bercer un moment, ma gorge sèche, mon corps se glace progressivement alors, pour surmonter la frustration qui m'étreint inexorablement, j'en devance l'échéance.

- "À la toilette ?"

Il me suit dans la salle d'eau, noue sa capote avec soin, cherche des yeux la poubelle où la jeter, refuse la douche et s'empare d'un gant pour un nettoyage sommaire au lavabo. Il étire sa bite, la décalotte, l'astique de sèches rotations du poignet. Je ne peux contenir tout à fait mon envie de me frotter encore à lui, à ce grand mec solide qui me jette un coup d'oeil en souriant malicieusement, d'ébouriffer les prairies de son torse. Je ris comme une quiche quand il m'empoigne, me retourne, face à la vasque et entreprend de me dégraisser soigneusement la raie du cul avec le gant savonneux, je frémis quand ses gestes se font plus précis, plus lents, plus doux, que son bras me ramène contre lui, me presse contre son torse chaud, ferme, dans sa toison, quand sa main niche ma tête dans son cou. Je ferme les yeux quand sa main, débarrassée de l'écran d'éponge, revient se poser nue sur ma fesse, simplement, pour la dorloter, presqu'affectueusement.

- "Et si on poursuivait notre conversation ? Juste pour nous, hmmm? Qu'en dis-tu ?"

Je ne dis rien, je n'ai pas besoin de mots.

Il glisse entre mes bras, s'accroupit, me fait pivoter ; d'un doigt, il rabat ma queue à l'horizontale et l'aspire lentement, TRÈS lentement, dans un fourreau agité de mille ondulations, aspirations, pressions, frémissements, ... Mes jambes se font flageolantes, mon menton est irrésistiblement attiré vers le plafond et j'inspire profondément un air des cimes qui m'enivre.

Il se redresse et sa grosse langue grasse et voluptueuse se mélange à la mienne, elle l'enveloppe de son flot souple et l'entraîne dans une ronde tandis que sa barre chaude s'affronte à la mienne. Une promesse.

- "Un gros palot arôme bite baveuse de petit pédé, tout ce que j'aime !"

J'étire mon cou, avance mes lèvres et le ballet reprend, calme et langoureux.

Pourquoi dit-il "petit pédé" ? Est-ce qu'à ce moment précis je me vis comme un "petit pédé"? Et dans ma vie de tous les jours, à l'exception des circonstances où on me l'envoie comme une insulte, un rejet ? Suis-je un "petit pédé" parce que je roule une pelle à un "grand pédé costaud poilu" ou suis-je, simplement, moi-même, au-delà de toute étiquette, d'une catégorisation réductrice, engagé dans le plaisir par un désir qui m'est spontané ? J'ai failli dire "naturel"...

Pourtant ...

Objectivement, je SUIS un pédé – peut importe le mot employé, voilà la chose dite, posée comme un fait - puisque, précisément, je m'emploie à embrasser un autre pédé, et avec gourmandise car j'aime follement ça. Est-ce qu'un homme hétérosexuel qui embrasse une jolie fille désirée s'applique à prendre conscience de ce qu'ils font et du plaisir qu'ils en retirent ? Peut-être ... Est-ce qu'ils se désignent, se nomment, se proclament : "nous sommes hétérosexuels" ? J'en doute car, pour eux, être hétéro va de soi mais moi, à cet instant ...

- "Hmmm ! Le patin d'un grand pédé qui m'a sucé la queue auparavant ... Y aurait-il d'autres parfums disponibles ?"

Il a un sourire de voyou avant de reprendre son baiser ventouse comme s'il allait me siphonner ; ses grandes mains largement ouvertes m'enveloppent dans des arabesques appuyées qui me couvrent de frissons. Lui aussi est un pédé et ça ne semble pas l'affecter. Je SUIS un pédé et, désormais, je m'en délecte, m'en émerveille. J'en jouis. Je l'affirme, je l'assume, moi, Thomas, je suis un pédé ! Je devrais dire "je suis enfin ..."

Mais maintenant que c'est dit, baste et revenons à ce qui nous occupe VRAIMENT.

De ma bouche, Julien a glissé à mon oreille qu'il froisse entre ses lèvres, pince entre ses dents, redessine de sa langue.

- "C'est bien toi qui est venu te jeter dans la gueule du loup, toi qui offrais de me tenir compagnie ..."

Sa voix grave murmurée en confidence me fait vibrer d'une crainte sourde, elle mêle l'écho terrifiant de l'interdit qui menace du pire à la promesse des délices éblouissants mais défendus auxquels je m'apprête à m'abandonner. Délicieuse balance. Qui ne m'entrave pas longtemps.

Mes deux mains enrubannent sa bite de mes doigts en lianes, je suffoque, assourdi par sa langue qui s'écrase dans mon conduit auditif et s'en retire d'un coup, dans un claquement d'air. Il tend le bras, éteint la lumière, puis il me saisit et me ramène au lit sur lequel il me bouscule avant de s'affaler sur moi. Sa bouche carnassière aspire, mordille, tête, suce au hasard, d'abord un téton dont le barbel tinte contre ses dents puis une aisselle. Je proteste, tentant de soustraire à ses lèvres, à la râpe de sa barbe le morceau de peau tendre qui est l'objectif de son offensive de pillard mais sa main, son bras me barrent. Puis il revient me baillonner, m'envahir de sa langue lourde de mes saveurs, me tournebouler, m'asphyxier avant de repartir en conquête.

Il a plongé vers le bas, s'empare d'un pied comme d'un butin, me tourne, retourne comme un objet qu'il contemple, mâchonne un mollet, suçote un orteil, trace de sinueux chemins de salive de l'un à l'autre. Perdu, noyé, balloté, je me raccroche à lui comme à une bouée, pour surnager ; entre deux hoquets, je me ressaisis par instants. Juste comme sa bite passe à ma portée. Elle bat mon épaule et je fonds sur elle, l'aspire d'un coup. Je m'agrippe à ses cuisses, à ses fesses pour ne pas me faire éjecter, pour conserver mon plantureux quatre heures dont je me régale et que quelque envieux pourrait vouloir me dérober.

Lui, je le sens, il cède sous ma caresse, il se retourne, allonge ses jambes pour me donner plus d'aisance, m'encourage de ses gromellements appréciateurs, de sa main dans mes cheveux qui m'imprime une cadence, me corrige et me guide. Mais je suis lancé et je lui sers une de mes meilleures pipes de glouton, de celles qui sidèrent ce bon Philippe et le laissent pantelant.

Lui, son dos qui s'est tendu en arc, soudain, se brise et, alors, il se dérobe. Sa main agrippe ma nuque et il me ramène à sa bouche de sangsue pour un nouveau tour de danse virevoltante, un maelstrom de salive, un cocktail de fumets épicés d'hormones mâles. Ce Julien est une drogue dure. Sa main force mon visage à balayer son torse puis me renvoie à sa bite que je repars à sucer mais lui a fondu sur la mienne et j'ai crié, cou étiré, bouche béante cherchant l'air.

Calmement, sa main m'a reconduit à sa belle flèche durcie et je l'ai embouchée ; j'ai repris mes oscillations en m'appliquant, en m'offrant du temps : celui pour mon petit coeur de reprendre un rythme moins effréné, celui de se combler pour le creux ouvert dans mon ventre, celui de me régaler de ses goûts et de ses odeurs et, pour moi, celui de retrouver mon entrain à la tâche. Et de l'entrain, j'en ai pour régaler cette belle tige charnue et tendue à bloc qui me parait si familière !

À deux mains, Julien a ouvert le compas de mes cuisses à cent quatre-vingt degrés et me lèche. Le manche, le nombril, l'intérieur de mes cuisses. Partout. Parfois, il mordille, parfois il gobe, une couille, le gland. Et je m'étrangle. Mais c'est pour aussitôt recracher son bonbon et recommencer ses longues traînées baveuses de bon chien, les égratignures de sa barbe.

D'un coup, sa main pèse fortement sur ma cuisse droite, enroule mon rein tandis que ma jambe gauche bat l'air. Lui se précipite sur mon trou du cul ainsi dévoilé et offert que sa langue serpille vivement puis elle se fait pointue et tente de le percer. Il se racle la gorge, crache et c'est son doigt qui se plante en moi. Moi, en apnée, l'oeil hagard, insecte assommé d'éther, épinglé dans la boite de l'entomologiste.

En maintenant son doigt fiché en moi, ce diable s'est encore renversé, sa grosse main retient ma tête comme pour envisager une pomme qu'on veut croquer, ses yeux brûlent les miens, il postillonne, me balafre le visage à grands coups de langue épaisse puis me l'enfourne à m'étouffer.

- "Bouffe-moi le cul toi aussi, mets-moi un doigt ..."

Il me galoche grassement puis poursuit d'une voix douce et basse.

- "Ça me durcit comme si on me passait le pieu au feu. Enfin, si tu veux, si tu en veux bien, ensuite, en bon garçon ..."

C'est un murmure chuchoté, saupoudré d'un peu d'incrédulité feinte, ce n'est qu'une invitation, presqu'une prière mais ses yeux sont deux traits intrépides qui visent les miens, les transpercent en me désarmant, les fouillent pour débusquer mon envie qui s'y empêtre encore, maladroite et bafouillante mais me noue déjà le ventre. Son sourire s'élargit et sa main entraîne ma tête tandis qu'il roule sur le dos, jambes au plafond. Il me guide, sa main libre coiffe ses parties, les remonte pour étirer son périnée où je pousse mon nez à l'affut de ses odeurs capiteuses, darde ma langue dans son fouillis pileux qui crisse. Sans peine, elle trouve son plissé, mais si serré qu'il me parait condamné, interdit, alors je le nappe d'une abondante salive.

Sans état d'âme, puisqu'il m'en prie. Puisqu'il soupire, sa tête retombant en arrière, et s'offre plus ostensiblement encore. Mon index, intimidé, gratte timidement à sa porte et c'est sa propre main qui, accompagnant la mienne, vient le guider. Il bascule et s'assoit sur ce doigt qui s'enfonce en lui tandis que je l'observe, bouche bée devant sa détermination, puis quand son visage se fait extatique. Son ventre détendu enfle puis se retire au rythme de sa respiration profonde.

Soudain, il ouvre les yeux et son sourire revient comme un plein soleil, joueur et malicieux. Il roule souplement du bassin, posément assis sur ma main dont l'index fiché en lui lui procure manifestement des éblouissements et la sienne revient m'attirer à lui pour un baiser très doux, très fluide, nos langues comme un flot de rubans de soie.

- "Suce-moi, petit pédé gourmand ! Suce-la avec dévotion, ma queue sur laquelle tu vas t'empaler puis coulisser et moi, je vais te préparer pour une belle réception, détendre ce joli conduit, celui qui mène à ta caverne somptueuse, pour des réjouissances étincelantes."

Il m'a retourné comme un fétu, placé tête-bèche à califourchon sur lui qui s'est allongé sur le dos. Mon bras qui pèse à l'intérieur de sa cuisse l'ouvre à plat, mon poignet s'est cassé et mon doigt lime souplement son fion serré ; lui, empognant d'une main ma queue tendue comme une poignée d'outil, l'autre, aux aguets, écartant mes globes où sa bouche me broute la raie, ses joues m'en râpent les rives quand sa langue me lessive le fion. Puis elle se fait anguille qui se faufile, avant d'être détronée par ses doigts, de gros doigts rudes mais qui sont aussi, étonnament, des doigts de fée qui savent allumer des gerbes d'étincelles derrière mes paupières.

Je les sens faire incursion en moi, parfois comme une flèche qui file droit au but et fait mouche, d'autres fois, ils gambadent, musardent, me nouant le ventre dans une attente aussi délicieuse qu'une veillée de Noël quand les guirlandes clignotent sur un mode aléatoire, ou encore ils s'invitent en bande de pesants lourdauds qui se baffrent, prenant leurs aises.

Et moi, j'engloutis sa queue.

Quand je retrouve un peu d'air entre deux suffocations qui me sidèrent, je m'efforce en hâte de lui rendre la pareille.

Car ses doigts ne cessent de me surprendre pour me suffoquer, ils ne sont jamais ni là où, ni tels que je les anticipe. À chaque toucher, mon coeur bondit, ma gorge se serre et je ne peux que protester d'un ridicule couinement rouillé, comme si je venais d'inhaler d'un coup l'intégralité d'une cartouche de protoxyde d'azote détournée du siphon à chantilly auxquel elle était initialement destinée.

Je suis liquide, effondré, si ballotté par les vagues successives que j'en suis démantelé, anéanti, flottant sans réaction.

Oui, flottant délicieusement sur un merveilleux nuage ouaté.

Il m'a fait rouler sur le matelas, s'est allongé contre moi, bras tendu vers le chevet. Maintenant, il se capote avec soin, lubrifie son braquemart, puis ma raie, mon fion où il replonge ses doigts avec des murmures de satisfaction avant de se presser de tout son long contre moi, de tricoter nos jambes, de relever ma cuisse supérieure, de guider ce fer chaud qui trouve sans peine sa voie en moi, une voie qui l'accueille avec empressement et gratitude tant elle s'en complète, s'en nourrit. Mes bras partent en arrière, mes doigts en crochet pour s'agripper à lui, l'attirer en moi, encore. Il me lèche le cou, me lappe derrière l'oreille, tord mon téton avec le barbel qui le traverse, il m'électrise.

Putain, OUI !

Et pourtant, j'en veux plus encore, je réclame ; il rit, se retire, se cale solidement, les fesses enfoncées dans le matelas, les cuisses ouvertes, remobilise rapidement sa turgescence du poignet. Au passage, il happe ma queue et, en quelques succions bien senties, lui redonne de la vigueur, puis ma main prend le relais et, d'un geste de la tête, il m'invite à l'enfourcher, face à lui. Je m'accroupis, bassin en rétroversion et il me guide du bout des doigts, sa queue trouve à se nicher et j'amorce la descente le long de cet axe que j'avale en gémissant à mesure qu'il me remplit à nouveau. Mes pieds glissent sur le drap et mes jambes vont encercler ses hanches. Je halète sous l'envahissement. Il se redresse et m'enjoint de me branler puis il entoure mon cou de son bras et nos langues se nouent tandis que nos bassins roulent l'un vers l'autre. Sa bite plantée en moi me rabote à chaque passage, me creuse, me ravage d'une vague si magistrale que nos bouches doivent se séparer pour me permettre de hurler l'écho de ma volupté éclatante.

- "Gueule tout ton saoûl, petit pédé et prends ton pied de gourmand. Polis-toi sur ma queue, lustre-moi le champignon qui masse ton bouton, fais-toi reluire, j'aime entendre ton plaisir."

Une vague plus puissante m'a emporté dans les limbes et, quand le bourdonnement de mes oreilles s'est en partie dissipé, j'ai senti qu'il tressaillait encore en hoquetant. J'ai compris que son soupir alangui était une ultime réplique, que le plaisir nous avait réunis. Nous nous allongeons, encastrés, membres emmêlés, il me bécote, me serre contre lui.

- "Merci de m'avoir tenu compagnie de la sorte, notre conversation était fort ... agréable."

Je ne sais ce qui me passe alors par la tête.

- "Tu sais, le mec tout à l'heure au Bar à Thym, c'est mon mec ! Enfin, je crois!"

- "Comment ça : tu crois..."

Je ris doucement.

- "J'avais sans doute besoin de me mettre à l'épreuve, d'explorer autre chose auparavant."

Son bras se resserre légèrement autour de mon torse qu'il ramène au sien, sa bouche glisse à mon oreille, ses lèvres sont maintenant frangées de barbelés qui égratignent mon pavillon, j'en frissonne.

- "Est-ce que notre plaisant échange t'a permis de découvrir ce que tu cherchais."

Soudain, quelque chose me submerge que je ne peux réfrener. Gorge serrée, ventre noué, je me serre plus étroitement encore contre lui, frémissant irrépressiblement de la croupe, affolé de stupre et de fornication.

- "J'espère bien que tu n'as pas encore dit ton dernier mot, Julien !"

Ce mec, un bel homme, me trouble infiniment, je vacille ...

Je le recroise à l'occasion, ce soir, dans un bar et il m'invite à une partie de jambes en l'air comme à un simple casse-croûte entre potes, mais c'est plutôt un banquet, des ripailles fastueuses, effrénées et joyeuses. Sans cesse, il me ressert généreusement une grande rasade qui me suffoque, il me bouscule sans me ménager, jamais, ni sacrifier en rien aux conventions, il s'asseoit en sacrilège sur la plus élémentaire bienséance avec ses manières de malfrat mais je sens, également, qu'il maîtrise ses élans, qu'il se soucie de mon plaisir et reste attentif à moi comme à un précieux convive dont il prend soin.

Il installe un vrai dialogue, vertigineusement cru, nu, affolant même, mais il sait, en même temps, être rassurant et ... j'avoue qu'avec lui, j'incline à la goinfrerie sans limite, que j'en reprendrais bien un morceau et peut-être encore une cuiller tant ... c'est vaste, inconnu, éblouissant, suffocant ... Addictif comme le sucre !

Et donc, tout autant, effrayant.

Mais autre chose m'accroche aussi chez ce grand costaud.

Il avance dans l'existence avec naturel, affirmant "je suis pédé" dans une vie qui semble, pourtant, absolument ordinaire, comme il dirait "je suis chasseur ou cruciverbiste" ou "je vais faire les courses", toute honte sociale bue. Il émane de lui une telle assurance confiante qu'il parait hors de portée, même des stigmatisations, si douloureuses, sans qu'on décèle en lui la moindre trace de forfanterie ou de provocation bravache. Il me retient encore, je l'observe avec une curiosité qui m'interpelle, je répugne à le laisser partir de crainte de ne pas avoir percé le secret de cette force paisible dont je voudrais qu'elle m'inspire au quotidien.

Mais aussi ...

Je voudrais voir se cristalliser en moi toute la puissance que me laisse entrevoir cette aventure qui me tourneboule ... avant d'aller retrouver le paisible Philippe.

- "Dis-moi, Thomas, serait-ce que tu n'est pas rassasié?"

Animatrice de l’émission télévisée « Mosaïque » le 26 avril 1980, France Gall y interprète une chanson qui deviendra le tube de l’été : « il jouait du piano debout / quand les trouillards sont à genoux / et les soldats au garde à vous / Simplement sur ses deux pieds / il voulait être lui, vous comprenez » A cette époque, ce n’était PAS un détail pour nous : « il jouait du piano debout ».

Amical72

amical072@gmail.com

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