Livreur musclé

J’attendais avec impatience une enceinte Bluetooth commandée sur un grand site de vente par correspondance. J’étais un peu en colère, le site annonce une livraison entre 8h et 18h ! Quand même ils exagèrent avec cette amplitude ! La matinée passe lentement, entre la crainte de rater le livreur et mon boulot qui m’appelle sans cesse pour une panne de réseau. 15h 16h 17h je commence à désespérer, l’horloge du salon sonne les 18 coups de 18h… J’enrage ! J’essaie de joindre le site pour savoir ce qu’il se passe… On me rassure le livreur est en route, ce n’est plus qu’une question de minutes… effectivement, on sonne à la porte, on toque aussi… je manque de me casser la gueule en courant pour ouvrir… enfin il est là. Je suis un peu essoufflé, devant moi un grand mec habillé en orange qui a l’air piteux.

« Je vous présente mes excuses monsieur, j’ai eu une journée de galère, j’avais plus de 70 colis à livrer, j’ai crevé en plus… et là mon pad est déchargé, vous êtes mon dernier client, puis-je entrer pour le recharger s’il vous plait, pour que vous puissiez signer ma livraison »

Ses mains sont noires, son visage est bien carré, ses épaules larges, un ventre bien plat, des jambes qui tendent le tissu du pantalon, il a l’air assez désespéré.

« Bon entrez, on va voir ça, ne vous inquiétez pas. Venez-vous laver les mains c’est par là »

« Merci Monsieur, vous êtes bien cool. »

Pour laver ses avants bras, il défait le haut de sa salopette, il se retrouve en marcel, dévoilant une montagne de muscles, tous plus appétissant les uns que les autres, son torse est noir de poils brillants. Il se lave d’une façon virile, comme un chirurgien, soigneusement. Il se lave le visage également, sa barbe noire de trois jours crisse sous ses mains, j’admire ses biceps qui travaillent. Son marcel est un peu soulevé, son ventre est velu. Je lui tends une serviette, je suis sous le charme de ce beau gosse.

On branche son appareil, il me dit qu’il en a pour une bonne heure et je lui propose de s’asseoir pour boire un coca. Il s’étire de tout son long comme j’aime. J’ai oublié de vous préciser que je suis en short en satin noir, avec le numéro 23, j’ai enfilé un marcel très destroy qui ne cache rien de mon torse, de mes biceps carrés.

On parle de tout et de rien, je lui demande si sa copine ne râle pas quand il rentre tard, il est déjà 19h30.

« Non je n’ai pas de copine, elles me saoulent les gonzesses, j’ai viré ma cuti, je suis charmé par les gars, les gars comme toi par exemple… et toi tu as une copine ? Ou…»

Le rouge me monte aux joues, mon popaul grandit d’un coup et fait une barre qui tire le short vers le haut. Lui boit la cannette comme le gars de la pub coca, avec un peu de coca qui coule sur sa glotte, je fantasme à bloc…

« Moi aussi je kiffe les hommes, surtout ceux qui sont bien bâtis comme toi… »

Il se lève et va vérifier le pourcentage de chargement de son appareil, 22% c’est vrai que c’est un peu long.

Il s’approche de moi, pose sa main sur ma queue qui n’avait pas besoin de ça pour me faire mal, tellement elle est tendue…

« Hummmmm joli braquemart mec, lève-toi stp, je vais te biberonner »

Je me lève et prend appui sur la table de la cuisine, il descend mon petit short, il lèche mon membre sur toute la longueur, mes couilles pendent lamentablement, il s’en saisit pour les tirer vers le bas. Quand il gobe mon gland je ferme les yeux, la chaleur de sa bouche déclenche en moi des sensations, mes 19cm et mon très gros gland le fait gémir, comme je mouille toujours beaucoup, il fait des gargouillis avec sa bouche, je saisis sa tête et essaye de m’enfoncer dans sa gorge, il accepte sans broncher mon intrusion, cet homme est un expert. Mon gland fait un bruit quand il franchi sa gorge, je pénètre assez loin, je reste juste avant le point de non-retour de sa respiration, il bave énormément, le sol est bien mouillé. Il se déshabille en un clin d’œil, son sexe est énorme, son gland est énormissime, ses couilles sont énormes, un véritable yéti !

Je l’espérais actif, il est versa ! Il se met à genou sur un fauteuil, écarte ses fesses et dit :

« Vas-y mec j’ai été en retard, fais toi plaise, démonte moi, je suis ta lope… chausse une capote et mets du gel stp, je n’ai pas été baisé depuis 10 jours, j’ai trop envie… »

Chaussé d’une capote XXL, baigné dans du gel chauffant, j’ai décidé de le prendre sans préparation… il m’a trop fait attendre aujourd’hui, oui je sais je sais être sadique parfois, je pose mon engin sur sa rondelle, je prends ses hanches et je m’enfonce en lui jusqu’aux couilles, j’ai bien senti des résistances mais je m’en fous ! Lui hurle de douleur, me demande de faire doucement… je suis sans pitié, je ne suis arrêté dans mon invasion que par mes couilles, et encore j’essaye d’aller plus loin… il chiale sa douleur, mais ne bouge pas. Je me retire entièrement. Il hurle à nouveau, il me dit pourtant de le baiser, qu’il est ma chiennasse. Je le pénètre à nouveau d’un coup, il encaisse avec des gémissements, la douleur est partie, il saisit mes cuisses et m’attire vers lui, il recule sur mon membre comme une bonne salope… Je suis très serré dans son rectum, il serre souvent, comme pour m’empêcher de sortir.

Je prends un pied gigantesque, j’ai les couilles pleines depuis le départ de mon chéri en stage en Auvergne il y a 8 jours. Je commence mes vas et vient, j’ai la vision d’un mâle puissant soumis à ma queue, les muscles de son dos sont impressionnants, il se retourne sur le dos, quand je le pénètre, ses yeux changent d’expression, il semble tomber amoureux de moi. Sa grosse queue a débandée, elle repose sur son aine, elle coule et bouge au rythme de mes reins. Je la prends et la branle, elle devient énorme, lui a ouvert la bouche fermé les yeux et prend son plaisir. Je mate ma grosse queue investir ce cul musclé puissant, je la ressors jusqu’au gland et m’enfonce à fond en lui, il gémit, ses mains sont sur son torse velu, il est en nage, je caresse ses poils comme une fourrure. Je décide de jouir, je n’en peux plus, je ne peux plus arrêter la montée de mon sperme, il le sent ma queue grossit, il gémit plus fort, je sors ma queue au dernier moment, retire la capote rapidement et asperge sa toison de jets de sperme, lui aussi jouit en même temps et mêle ses spermatozoïdes aux miens. Deux de nos jets atterrissent dans sa bouche, il passe la langue et avale le sperme. Je me penche et lui roule une galoche d’anthologie. Il sent l’homme qui a bossé toute la journée, qui vient de baiser pendant une heure, ses aisselles sentent fort, et pourtant je ne suis pas écœuré.

Un bip retentit, signe que le pad est chargé, nous on a déchargé et on se sent trop bien. On s’allonge côte à côte sur le canapé, branché par la bouche, sa toison garde nos jus prisonnier. Il s’appelle Mathieu, ça fait un an qu’il fait du culturisme, les femmes et les hommes le calculent tout le temps quand il livre.

Il me dit d’une voix très rauque : « J’ai gagné ma journée avec toi, tu m’as libéré, ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas craché ni me sentir aimé… merci BB, tu sais que j’habite la rue derrière, au 70»

Je le trouve attachant, ce grand mec se blottit contre moi… comme s’il se réfugiait de quelque chose. Sûrement de son boulot compliqué. J’ai signé rapidement ma livraison, il a rendu le camion et est revenu dîner avec moi. Il était bien détendu, moi aussi du reste.

C’était samedi le lendemain, il est resté dormir. On s’est couché très tôt. On était nus tous les deux, allongés sur le dos, nos deux queues tendaient le drap. Il m’embrasse, se mets à genoux entre mes cuisses.

« Je vais te faire l’amour mon beau client ultime, je suis clean et je veux te prendre comme ça, si tu veux, je veux te faire crier, je veux empêcher tes cris avec ma langue, je veux te voir souffrir avec ma très grosse queue et te voir jouir avec ma très grosse queue »

Il enduit ma rosette de gel, enfonce un tout petit peu ses doigts, il présente son très gros membre à l’entrée, il frotte son gland dans mon sillon fessier, ça déclenche en moi des sensations inouïes, ce gros gland est chargé de bonheur, il gicle une grosse noisette de gel sur mon trou et ce coup-ci commence la pénétration, j’ai l’impression qu’il veut enfoncer un gros abricot dans mon cul, son gland n’est pas trop dur, il arrive à franchir mes sphincters, j’ai le souffle coupé, mes jambes sur ses épaules tremblent, il se penche, prend ma bouche et me pénètre jusqu’à la garde. Son membre est trop gros, je suis dilaté à l’extrême, une poutre est en moi, comme le supplice du pal, mais avec un mec qui me regarde avec amour. J’ai les larmes aux yeux, je gémis très fort sans lâcher sa bouche. Il attend généreusement quelques minutes, sa queue vibre en moi, elle déclenche des mini orgasmes qui me rendent fou. Fou d’amour pour ce mec, je pousse et il sent mon accord, il se met à me pistonner sans s’arrêter. Je jouis à sec plusieurs fois, ses couilles tapent mon scrotum, les poils de son torse grattent mes jambes, son bassin claque mon cul fortement, mon colon se détend et lui donne plus de liberté.

« Hummmm j’aime ton cul, on dirait une belle chatte mouillée, je vais te féconder mon chéri »

Son gland ravage mon anus, il est devenu dur de chez dur, il fait sortir plein d’humeur, ma queue est au garde à vous, du liquide blanc coule en permanence, mon baiseur tend ses jambes et fait ses abdos sur mon cul, je ne sens que sa queue, voir jouer ses muscles me fait voyager, je sens un grondement dans mon bas ventre, il le sent et accélère, il me pilonne en donnant du « han…han…han… » je bloque sa grosse queue pour éjaculer, il hurle de douleur, moi aussi, ça me fait du mal et du bien, puis je sens qu’il coulisse mieux, signe qu’il vient de me féconder. Mon beau mâle est grave essoufflé, il reste en moi, sa grosse queue palpite en moi, éjecte des litres de jus, je sens mon colon se remplir, il décule et s’allonge à côté de moi. Mon anus ouvert expulse son sperme, il pose une serviette sous moi. On s’endort ainsi. On n’est pas sortis du weekend, on a bu et mangé des pommes, avec du fromage. On a baisé, baisé et baisé encore. Je ne pouvais plus marcher, j’ai dissuadé ma mère et ma sœur de passer me voir, on vivait tout nus, un gros battoir devant nos cuisses, des couilles moins lourdes, une banane en permanence, ais-je trouvé le mec que j’attends depuis si longtemps… il a mon âge, beaucoup de point d’intérêt commun, demain matin dimanche on va courir ensemble. Je crois que je suis amoureux. J’ai éconduis plusieurs réguliers, je ne suis plus disponible, peut-être que je vais quitter cette application de merde, j’ai trouvé un compagnon de route, un amant, un ami, un amour…

Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !

J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm

Merci de me laisser vos impressions sur l’histoire à histoiresle7@yahoo.com