Je suis en vacances chez moi depuis une semaine en ce mois de juillet, mes parents sont partis en vacances en Bretagne, la mairie nous avait écrit pour nous informer que des artisans feraient le tour des maisons pour aider les habitants à gérer les arbres cassés suite à la tempête du mois de juin. Je me présente Bastien, 20 ans, très sportif, adore baiser, 185 cm 71kg, assez velu pour mon âge, un engin très bien selon ma copine… 17X6…
Je me suis levé tôt (enfin vers 9 h) quand j’entends la sonnette.
« Bonjour, jeune homme, nous sommes les bucherons envoyés par la mairie, on peut entrer ? » les deux hommes sont très athlétiques, l’un plus âgé que l’autre, je dirai 35 et 20 ans comme moi. Ils trimbalent une tronçonneuse chacun, des grandes cisailles. Ils préparent leur matériel, il y a beaucoup à couper.
« On peut se changer à l’intérieur svp ?
« no problémo les gars… »
Je suis moi-même en short running assez court et débardeur échancré. Je les détaille quand ils retirent leur pantalon, je suis fasciné par leur gros bulge, surtout celui du plus jeune, sa queue fait une belle bosse orientée vers les bas, il doit avoir des couilles énormes, le plus âgé a un sexe plus discret, il est juste aussi velu que moi. Tous les deux sont bien musclés, bien bâtis. Il fait tellement chaud ce jour, ils décident de rester en short et en teeshirt. Leur casque de chantier les rendent adorables et très sexy. Je les observe de l’intérieur de la maison, ils sont très énergiques, leurs cuisses sont bandées très souvent, je craque pour leur biceps bien gros. Le bruit des tronçonneuses est régulier, il est 11 h je leur prépare un déjeuner, des pâtes à la bolognaise, une salade verte, des fruits et des bières. Ils en sont à peine à la moitié du chantier, cette foutue tempête a causé de gros dégâts, mais déjà une partie du jardin retrouve un look sympathique.
« Est-ce qu’on peut prendre une douche avant de déjeuner, svp ? » je les conduis vers la salle de bains, je leur donne deux serviettes du gel douche. Je ne ferme pas complètement la porte de la salle de bain, les deux se retrouvent tout nus, je n’avais jamais vu des hommes nus chez moi… ils sont tous les deux bien montés, leur queues arrivent à la moitié des cuisses. J’adore mater ces hommes, bien musclés, qui se lavent en même temps. Pas de gestes déplacés, ils se respectent. Ils se frottent juste le dos réciproquement. Ce contact et l’eau chaude font gonfler leurs bites et la mienne. Ils ont l’air de bien se connaitre… j’espérais vicieusement un attouchement, mais non, très virils, ils se douchent simplement. Un peu déçu je descends mettre le couvert sur la terrasse. Tout est prêt quand ils arrivent, ils me remercient, ils sont torses nus, je décide de retirer mon haut aussi. Ils sont vraiment sympas, on mange de bons appétits, on finit le gros plat de pâtes, la salade, ils ne prennent pas de fruits, mais avalent un double café.
On a bien discuté et rigolé, ce qui marque bien leurs abdos à se damner, leurs biceps proéminents sont bien veinés comme j’aime. Je suis tombé amoureux de ces mâles. Après le repas, je les informe que je vais siester à l’étage, je suis en vacances…
Je me réveille paniqué, je suis attaché, pieds et mains au lit, sur le ventre, tout nu…
Les deux mecs se marrent, ils m’ont drogué à mon insu. J’ai dormi 3 h, leur travail est terminé, ils veulent prendre du bon temps. Ils sont nus tous les deux, leur queues se dressent fièrement vers le ciel. Je suis excité au possible, ils me disent qu’ils me détacheront dès que je le souhaite, je bande à mort à me faire mal, j’ai envie qu’ils me prennent, qu’ils me mettent la misère.
« Alors comme ça on aime les mecs ? On t’a vu nous mater sous la douche, on a vu que tu bandais… » C’est le plus jeune qui parle, il s’allonge à côté de moi et entre sa queue dans ma bouche, elle sent l’homme la pisse et la sueur… elle est énorme, elle fait bien 20 cm et large comme je n’ai jamais vu. Son collègue me travaille l’anus avec ses gros doigts et le gel trouvé dans ma table de nuit… je kiffe cette introduction, cette pénétration. Mon cul est vierge, la petite douleur me renverse de bonheur, il enfile un préso et m’encule direct. Sa queue est plus fine, mais longue, elle farfouille loin dans mes intestins, son gland fait des ravages, il est gros, lui, il dilate mon cul et semble le formater pour son jeune collègue dont je crains la pénétration… ses coups de reins sont puissants rapides, sa queue touche toujours le fond, il jouit sans un cri, je sens juste les soubresauts de sa queue et sa sueur qui coule sur mon dos. Il se retire très lentement, et lèche mon anus, le frottement du drap sur ma queue achève ma torture, je me détache de la queue du jeune et hurle ma jouissance. Le jeune a déjà fait le tour et m’embroche comme si sa vie en dépendait. Je hurle une deuxième fois, je me sens comme possédé, rempli, il me pilonne sans arrêt, il n’a pas mis de capote, je m’en fous, je sens tout de sa bite, ses veines, la virilité de la bête, il reste couché sur moi, son souffle sur ma joue, sa langue qui explore mon oreille, son copain détache mes mains et mes pieds… il relève mon bassin pour aller plus profondément, il claque fort mon bassin comme s’il voulait faire sortir son jus ! je sens que sa queue grossit encore, il a un souffle rauque et bestial, je sens la sueur de ses aisselles, dans mon ventre, la jouissance gronde, il me baise violemment maintenant, cette vigueur me fait jouir, son copain recueille mon jus dans sa bouche, je vois des étoiles, mon baiseur s’affale sur moi, il s’enfonce au fond de moi, je la sens cracher sa sève, des jets puissants de mâle jeune et vigoureux. Il crie comme une bête blessée, soulagée, il reste en moi, sans débander. Sa queue me fait mal, l’excitation passée, mon colon est très douloureux… il se retire d’un coup, hurlement. Je m’endors de suite. Ils resteront toute la nuit, ils m’ont ravagé. Depuis cet épisode, je suis resté le reste de mes vacances à accueillir des hommes plus vigoureux les uns que les autres. Ils sont revenus avec deux autres hommes bestiaux.
Dans la vie protégez-vous.
LE7
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