Rappel : J’ai toujours eu un faible pour les rebeus, ce sont des amants merveilleux, bien dotés, qui cherchent leur plaisir et kiffent me faire couineR.
Mon portable sonne hier soir:
RACHID « Yo bastien ça va ? »
Moi « oui chill devant Quotidien »
RACHID « bon, je passe dans 10mn avec des potes ? »
Moi « quoi quoi avec des potes ? Tu veux faire quoi ?» J’avoue que je balise un peu, je connais ses potes sont bien plus âgés et assez rustres.
RACHID « nos femmes sont parties au bled avec les gosses, je suis seul avec deux potes à moi, allez stp on passe »
Moi « bon ok»
Il a déjà raccroché, que ça sonne à la porte, le crevard il était sur le palier.
J’ouvre, 3 mecs me bousculent, entrent, RACHID me tire par le bras et m’entraine dans la chambre. Les deux autres mecs se déshabillent, je panique, ça s’apparente à une tournante…
RACHID baisse mon short, retire mon tee-shirt, enfonce une de mes chaussettes dans la bouche, il me donne deux baffes assez fortes, j’hurle en vain. Le plus puissant des mecs, me tire par les cheveux, me couche sur le dos, relève mes jambes, crache sur son zeb assez long, un gros molard épais puis un autre sur ma rosette, enfonce son gros pouce, je sens son ongle, lui s’en tape. Il écarte bien mon orifice, il veut me baiser de suite.
Son sexe est hyper dur, RACHID et l’autre me tiennent les chevilles vers mes épaules, mon cul est offert, une pose indécente. RACHID est allé chercher du beurre à tartiner, dépose une grosse noisette qu’il enfonce dans mon colon, et fait un signe de la tête à son pote.
L’homme qui va me pénétrer est un ours, très poilu, des jambes noires de poils, il sent très fort, toute une journée de travail physique, il a besoin de se vider, j’avoue que je suis enivré par ses effluves, elles agissent comme un poppers puissant, mon conduit s’ouvre, et c’est tant mieux car le rebeu pose son gland sur mon trou et s’enfonce d’un coup. J’hurle comme je peux, RACHID me regarde avec un sourire de salop, malgré les poils on distingue bien les abdos de mon baiseur, la douleur s’estompe, je m’ouvre d’avantage à son zeb, le mec gémit, il ressort puis replonge, ses 20cm veinés, son gland énorme racle mon conduit, en bout de course, je couine. Ses grosses couilles très velues tapent, je les presse contre moi, j’aimerai qu’elles entrent en moi. Je tombe amoureux de ce mec, il provoque des micros jouissances. Il est très endurant, les autres mecs s’impatientent, son corps est luisant, son visage est en nage, soudain sa queue gonfle en moi, il largue sa cargaison en grognant comme un ours, je sens la puissance de ses jets, je serre son cul contre moi, lui se penche vers moi, je pense qu’il va me galocher, il me crache à la gueule « sale pute, sale pédale, tu n’es rien, qu’une sous-merde, mon jus est trop bien pour toi ».
RACHID le repousse, il l’engueule en arabe, le mec baisse la tête et s’assoie sur le lit sa queue toujours en érection luisante de son jus et du beurre fondu.
Le deuxième mec, me retourne, me dispose à quatre pattes, il caresse mon dos provoquant de délicieuses sensations, je sens sa grosse queue sur mon sillon fessier, elle a l’air énorme, il prend son temps, il est plus doux, il veut faire l’amour, RACHID s’est assis devant moi, il est en boxer, une énorme barre indécente, il ne veut pas que je le touche, il me chuchote « Bastien prépare toi, lui il a un monster entre les jambes, il va te déchirer… ma petite lope créfran »
Il me gaze 3 fois dans chaque narine, pendant que je pars en live, je sens une canette se poser sur mon trou déjà bien ouvert, c’est son gland, il me saisit par les hanches fermement et me pénètre, j’ai les yeux exorbités, la bouche ouverte je manque d’air, je touche affolé sa queue, elle doit faire au moins 8, et super longue, un énorme concombre, à la limite de l’aubergine, il se retire un peu et va plus loin, il m’investit sans pitié, je sens mon colon craquer, lui ne faiblit pas, au bout de 5 mn, il souffle « ah enfin hamdoulila » il est entièrement en moi, je pleure de douleur et d’humiliation, RACHID me donne des claques, l’autre se couche sur moi, prend mes épaules et essaye d’aller plus loin encore, il est imberbe, je sens son corps et ses cuisses lisses, je suis comme empalé, comme fisté, le poppers fait son effet, je n’ai plus mal, je suis en plénitude.
Il donne des petits coups de rein, je gémis fort en pleurant, ma queue flasque pendouille anéantie, ses couilles pendent, je distingue un gros sac qui se balance. Il change de rythme, il me pilonne, je m’accroche aux cuisses puissantes de RACHID, ma tête tape son boxer et sa queue. Mon deuxième baiseur détruit mon cul, je suis sa chose, son vide couille, il m’insulte en arabe, je chope ses couilles, je les tire à fond pour lui faire mal, lui me baise plus fort, mort mon épaule, j’hurle à la mort.
Il s’allonge sur le dos, les deux mecs me portent et pose mon cul sur son chibre fièrement dressé, il me lâche dessus, la gravité fait que je m’empale plus loin encore, le mec qui me baise est un peu grassouillet, pas un poil, un visage assez sévère, je deviens fou d’amour et je me baise comme une salope en appui sur ses pectoraux. Ma queue a repris de la vigueur, je vais cracher à ce rythme. Je l’aime aussi cet homme, il me fait devenir hyper chienne, je veux qu’il me féconde, je crie quand son sexe gonfle en moi, un flot de jus me remplit, le mien atteint sa bouche, il se lèche les lèvres.
RACHID me débranche de lui, je sens un réel vide, du jus coule, je tache le dessus de lit, je suis anéanti, comblé, je me pose en chien de fusil, mon deuxième tente de me fister, il y arrive presque, mais RACHID réclame la place, il m’investit gentiment, sa queue acceptable pourtant assez grosse est comme un bonbon, elle est soyeuse avec moi, RACHID se colle à moi et me fait l’amour, mon premier baiseur s’allonge devant moi et entre sa queue dans ma bouche, elle sent fort, comme lui d’ailleurs, il me baise la bouche de plus en plus loin. Je n’en peux plus déjà, je suis rassasié, RACHID se vide aussi en moi, en même temps un flot de sperme me tapisse la gorge.
On est tous les trois allongés. Ça sent le sperme, la sueur, mon cul aussi. Le poilu s’allonge devant moi, il se branle, il est insatiable ce mec, il me prend par les cheveux et me branche à sa queue, je kiffe le contact de ses poils drus sur ma joue, je saisie ses boules et m’applique pour le sucer, ce salop pousse ma tête, sa queue entre en gorge profonde, je déglutis pour l’entendre gémir. Je griffe ses cuisses velues, RACHID me donne une fessée, il tape sans arrêt au même endroit, je ne sens plus la douleur, mon deuxième baiseur serre ma gorge pour sentir la progression de la queue de son copain.
Il m’insémine directe dans la gorge. Je jouis pour la deuxième fois, épuisé mais heureux, pommade mon amour, biafine sur ma fesse
Je ne me réveillerai que le dimanche midi, 6 billets de 50 euros sont sur la table de la cuisine.
« Garde moi 4 billets, le reste est pour ta gueule. Repose-toi RACHID. »
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
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