(Épisode très hot)
Fin juin 2000 je me fais livrer un poêle dans la maison de campagne. C’est un gros colis, j’ai payé la livraison, l’installation et la mise en route.
Samedi 8h30 on frappe à la porte de la maison :
« Bonjour, je viens pour votre poêle, livraison et installation »
« Bonjour, entrez entrez, il faut le mettre là et là vous avez l’évacuation de la cheminée. Je vais vous faire un café »
Je suis en pyjama, ou plutôt en short de pyjama, avec une gaule qui ne se calme pas. En claquettes et torse nu, j’indique au monsieur l’endroit où installer la machine. Régulièrement mon gland tente une sortie par la braguette du pyjama, ce qui n’échappe pas au beau livreur barbu, tout poilu, en short et débardeur. Un beau rouquin tout hirsute, doté d’un pelage très dru.
Je lui porte son café, avec un sucre, le gars est tout rouge… je baisse les yeux, mon sexe est encore dehors, bien développé, bien décalotté. Je le range précipitamment, il fait une barre horizontale lourde dans mon short. Il me demande un peu d’aide pour gérer le diable qui transporte le poêle. Le livreur tombe sa chasuble et se retrouve torse poils comme moi pour bouger ce truc. Il est très sec, très velu, ses muscles bandent outrageusement, c’est un bel ours puissant. La masse de poils roux sur son ventre est impressionnante, comme entre ses pectoraux. Sa peau est luisante de sueur, on arrive à force d’efforts à bien positionner le poêle à l’endroit voulu. Je sors du frigo deux petites bouteilles d’eau bien fraiches, le mec boit au goulot, sa glotte bouge dans tous les sens, ses poils se collent, cette figure virile déclenche à nouveau mon érection façon taureau.
« Je vais prendre une douche si vous n’avez pas besoin de moi » je me dirige vers la salle de bain, je me dessape et entre dans la douche. Vicieusement je n’ai pas fermé la porte de la salle de bain, je prends une douche bien chaude, je kiffe l’eau chaude sur mes couilles, ça me fait bander direct… je me lave la tête, le shampooing à la pomme sent bon, cela me détend… quand j’ouvre les yeux, l’installateur est en face de moi dans la salle de bain. Je pousse un petit cri de surprise… il est tout nu et me demande s’il peut se doucher avec moi… je lui fais un peu de place, c’est un gros bébé qui entre dans ma douche deux places. Il sent fort la transpiration, je prends mon gant avec du savon et je le savonne de partout. Ses poils font mousser le savon, il est trop beau. Je frotte énergiquement son sexe, ses couilles, dessous, entre ses jambes, entre ses fesses très musclées, sa queue se déploie, très large, épaisse, bien bombée au centre de sa barre, avec un gland en forme d’abricot. Son gland me touche en permanence maintenant… je le rince attentivement, je choppe une capote sur le lavabo, je l’équipe, et bascule mon bassin vers lui, en écartant mes fesses. Il est essoufflé, il verse du gel douche sur le gland et me pénètre violemment, j’hurle à la mort.
Sa queue est énorme, elle occupe tout mon colon, son gland distend mon conduit. Ses poils me touchent de partout, je suis contre un ours qui va me démonter. La douleur est partie, le mec se met à me pilonner comme si je n’existais pas, son membre ravage mon anus qui en demande toujours plus : je sens tout de lui, son gland difforme, sa grosse veine puissante, les plis de son prépuce, ses grosses couilles poilues, ses abdos durs comme l’acier contre moi, ses cuisses qui remontent son sexe en moi. Il me plaque contre le mur à chaque poussée, on est jamais allé aussi loin en moi, mes intestins sont dévastés. J’ai déjà joui deux fois, ma queue est en lambeaux, elle pend lamentablement, j’ai les cernes aux yeux, le mec me baise comme un bucheron en grognant comme une bête.
Tout à coup, il se colle à moi plus fort, je sens sa queue remplir la capote, il crie dans mon oreille son plaisir, son bassin me tape violemment au rythme de ses éjaculations. Je n’ai plus de jambes, c’est une ruine dans mon cul, il décule d’un coup, je tombe au sol. Lui se sèche, se rhabille de son short et repart travailler. L’homme dans sa force virile et sa puissance. Il a fait un nœud à la capote qu’il a jetée dans le lavabo : on dirait une mozzarella, énorme.
Quand je reviens dans le séjour, un petit feu crépite déjà dans le poêle à bois, et mon gars est entrain de remplir des documents. Aucune allusions sur la baise torride, il m’explique le fonctionnement, je ne l’écoute pas, je n’ai d’yeux que pour sa bouche et son torse puissant. Sa queue est en demie molle dans son short, on distingue nettement le gland. Je ne l’avais pas bien regardé, mais c’est une bête musclée, des veines apparentes de partout, un poil soyeux harmonieusement réparti. Ses abdos sont bien découpés, les poils garnissent les sillons, ses reins sont poilus, seul son dos échappe à la pilosité. Ses avant-bras sont très velus également. Je suis sous le charme, sous sa coupe, je le sens en moi, j’en ai encore envie.
« Voilà ton installation est complète, tous les documents sont là. Je repasse vers 19h30 pour un dernier contrôle, si tu veux bien… »
« Oui s’il te plait reviens, je veux te voir, on peut passer la soirée ensemble, la nuit et demain dimanche aussi »
« Oui tu me plait beaucoup aussi… »
C’est ainsi qu’on est restés ensemble, 6 mois de bonheur, de belle entente sexuelle. Puis il s’est marié avec une promise, une amie d’enfance, il voulait avoir des enfants. Ils sont partis au Canada. J’ai mis un an à m’en remettre.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
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LE7
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