En mission formation à Clermont-Ferrand, je logeais dans un hôtel bon marché en plein centre-ville. Formateur je terminais vers 16 h 30 à 2 mn de mon hôtel. Cela me laissait pas mal de temps libre. Le deuxième soir, dès que je rentrais dans ma chambre je me mis en boxer et allais sur Gr… r pour trouver un compagnon pour la soirée. La chambre contigüe à la mienne était bien occupée. Le montant du lit tapait régulièrement le mur mitoyen, les cris de la dame ne laissaient aucun doute sur son activité. Ses cris étaient très prononcés ce qui me faisait fantasmer sur la taille du zob de son amant. Sur l’application, un mec était situé à 10 m de ma chambre. Nos échanges furent fructueux et je l’invitais à me rejoindre. Je me présente Bastien 45 ans 178 pour 90 kg très brun, plutôt BM versa. Mon petit bidon fait kiffer pas mal de mecs et de femmes. Le mec de l’appli, Malik, est un rebeu 190 pour 85 kg très poilu mais surtout tttttttbm 25x9… je vais morfler… son dernier message « porte ouverte, tu es à 4 pattes au bord du lit, kapotes, gel et poppers à dispo. N’oublie pas la serviette ».
À côté le rythme a changé, les coups sont moins espacés, mais le lit cogne plus fort. Les deux amants gémissent en même temps, jusqu’à un cri viril long et puissant, puis silence. 5 mn se passent, une porte claque. Devant ma porte, deux hommes discutent avec un fort accent arabe, mon cœur bat fort. Mon anus se serre continuellement. Je dépose une grosse noisette de gel chauffant et me gaze 4 fois. La porte s’ouvre et les deux gars entrent. Ce nouveau scénario n’est pas pour me déplaire. Deux Arabes pour moi, le pied. Quand ils rentrent tous les deux échangent à voix basse, ils se mettent tout nu. Un des gars se pose devant moi, sa queue est immense et sent la cyprine de la dame. Sa me dégoute un peu, ses doigts forcent ma mâchoire à s’ouvrir, son gros zob entre dans ma bouche, il la remplit entièrement, ses couilles tapent mon menton. Derrière moi le mec lèche mon cul, un annulingus très appliqué. Sa langue me met dans tous mes états. Le poppers a bien dilaté ma chatte, sa langue me pénètre bien profond. Sa salive coule le long de mes couilles, celui que je suce écarte, à m’en faire mal, mes fesses. Ces deux mecs s’entendent trop bien. Il se gaze, ce qui augmente sa queue dans ma bouche. Je lèche son sexe comme un chien, il gémit et me dis « oui c’est ça vénère bien ma queue, je vais te faire crier comme l’autre salope, elle a tellement joui qu’elle dort là ».
L’arabe sur mon cul, déchire une kpot et râle « putain tes kapotes c’est pas du xxl… je peux pas les mettre, ça me fait trop mal, vais te baiser sans » « … mais non je… » « ta gueule encaisse ça » il branche le tube de gel directement sur mon anus et appuie. C’est froid et inonde mon cul. Le tube est vite remplacé par un gros gland très dur, je l’évalue à la main… c’est énorme… l’autre écarte à nouveau mes fesses et je sens le zob forcer le passage. La douleur est très forte, mais le mec pousse toute sa queue dans mon cul d’un coup sans s’arrêter. J’ai le souffle coupé, je me sens déchiré. Une poutre est dans mon corps. Je rejette la queue que je suce. Il me laisse le temps de m’habituer et me gaze encore et encore. L’autre me biffle avec toute sa mouille, il badigeonne mon visage. Puis mon actif retire entièrement sa queue, ça me fait mal, mais moins, un courant d’air s’engouffre dans mon conduit, il dépose du gel sur son sexe et le représente sur mon anus et l’enfonce encore plus vite, ses couilles claquent les miennes. Je n’ai plus de souffle, la bouche ouverte je cherche de l’air, l’autre en profite pour me cracher dedans et pose ses couilles velues et me dit « allez lèche sale pd » ses couilles sont grosses comme des kiwis, habillées d’un poil noir très dru. Elles sentent fort le mâle, la pisse, la transpiration, la jouissance de la dame, la cigarette. Ça me tourne la tête, mon cul est torturé dans tous les sens, il fait tourner son gourdin dans mon cul, histoire de bien le dilater, et quand il arrive en bout de course dans mon cul, me prend pas les épaules et pousse plus loin, ce qui me fait crier. Celui de devant me laisse tranquille, il se contente de mater, en se branlant doucement. J’ai posé ma tête sur sa cuisse poilue subissant le pilonnage en règle de mon baiseur viril. La chambre sent la transpiration, le mâle, le poppers. On gémit tous les deux fort, quelqu’un dehors tape à la porte et cris « bonne baise les mecs » encourageant celui qui m’encule très endurant. Je prends ses couilles et les colle contre mon scrotum, le mec gémit et dit « je vais te féconder ma chérie » ses pénétrations sont très amples et son bassin claque le mien, puis d’un coup au fond de mon cul, il s’arrête et grogne fort. 8 éjaculations tapissent mon colon et apaise le feu. Je ne me suis pas rendu compte que j’avais joui sur le drap. Son zob ne débande pas, il tasse bien son sperme en moi, il retire d’un coup son membre, celui de devant dit simplement « cool c’est à moi ». Mon baiseur se pose devant moi et dit nettoie mon zob stp. Son gros zob sent mon cul et son sperme très odorant.
Derrière moi le mec est plus tendre il essaye de faire rentrer sa queue, il a du mal car elle est drôlement plus grosse que l’autre. Un gazage s’impose. Même méthode quand le gland est passé il va direct au fond. La tête me tourne, je pose mes épaules sur le lit, en mode levrette de chienne, la tête orientée vers mon premier baiseur qui me caresse la tête en me disant « lui va te déchirer, je le connais, son zob est énorme » il a raison mon anus est dilaté comme jamais et je me sens plein rempli. Mais conscient de son engin il me baise lentement, en me disant des mots d’amour, il est couché sur moi, je sens ses muscles, les poils de son torse sur mon dos, il adopte un rythme très régulier et se laisse tomber à chaque coup dans mon cul. Ses bras sont très musclés, les veines ressortent malgré les poils, ses biceps sont barrés d’une grosse veine. Mon cul est inondé de sperme, sa queue glisse trop bien. Je ne voudrais pas que cela s’arrête, je gémis en permanence, je sens que cela bouillonne encore dans mon ventre. Celui de devant me fait des bises et me dit « petite lope tu vas jouir plus qu’avec moi, il est entrain de formater ta chatte au diamètre de nos deux zobs, tu ne pourras plus te passer de nous, tu vas tomber amoureux » je saisis sa queue comme une poignée dans le bus, il me prend l’autre main, je suis au bord de l’extase. L’autre me pilonne sans arrêt, un vrai métronome. Ça y est je sens que je vais cracher… il décule, me mets sur le dos, ma tête pend du lit et il enfonce son zob dans mon gosier, j’étouffe et dans un hurlement continu je jouis sur mon ventre pendant que l’autre me dose directement dans le gosier. Il se retire de suite, je reprends mon souffle. Mon cœur bat à fond. Mon cul se vide de jus et d’autres choses pas très belles. Les deux me nettoient avec une serviette chaude. Ils m’allongent entre eux. On se couvre. Je m’endors de suite, malgré mon mal de tête causé par le poppers. Ils sont allongés orienté vers moi, leurs gros zobs posés sur moi. Il est 19 h deux heures de baise pleines.
J’ouvre un œil, je regarde l’heure sur la tv : 2 h 15. Les deux zobs très lourds sont en pleine érection, mes deux mains caressent leur frein, ils mouillent beaucoup. Ce jus m’aide à bien branler leurs glands. Je les sens respirer plus fort, mais sans se réveiller. La puissance de leur corps m’excite au plus haut point. Leurs pilosités caressent le mien et me font voyager. Celui de droite se réveille et me dit « assied toi sur mon zob mec » j’enjambe son corps et je saisis son gros zob, me positionne dessus et descends non sans mal sur sa queue qui entre en moi. Je la sens passer. Quand je suis posé sur ses couilles, ses poils chatouillent ma chatte. L’autre mec qui s’est réveillé lèche comme il peut mon trou perforé. Il produit beaucoup de salive, mon baiseur ne bouge pas, il semble attendre quelqu’un… je suis affolé dans ma tête, les deux queues ne vont pas rentrer, ce n’est pas possible ! Celui-ci présente la fiole de poppers à mes narines, il me gaze 6 bonne fois. Je sens la queue en moi palpiter et mon anus se détendre. Il ressort à moitié son zob, l’autre mets du gel dessus, il re-rentre bien à fond. Mon deuxième amant me dit « ma chérie on va te déchirer, tu vas être notre salope » il me couche sur mon baiseur qui prend ma bouche, je frisonne de partout, il étend ses bras et écarte mes fesses, je suis à leur merci. Un gland force le passage. Il est extrêmement dur, je pousse et il franchit le premier sphincter… je suis déchiré, enfin je pense, puis comme par magie toute sa bite longe l’autre et écartèle ma chatte. Une nouvelle paire de couilles très velues se joignent aux miennes. Nous trois gémissons de concert. Puis mes deux mecs entreprennent de me baiser en alternance, quand l’un sort, l’autre s’enfonce et vice versa. Je n’ai jamais connu ça. Ecartelé j’en redemande. Le poppers me rend dingue à leurs zobs. Je suis pris en sandwich, je me laisse aller. Je bouche la bouche du mec de dessous, celui de dessus me tire les cheveux pour mettre sa langue dans la mienne. Je ne suis que jouissance, je ne veux pas que cela s’arrête. Je ne pense pas aux conséquences, je me donne à fond. Tout ce que j’ai connu jusqu’à présent n’était que du bricolage. Là je suis BAISE vraiment. Tous les deux s’arrêtent en même temps, je sens leur que tressauter, je sens leurs jets dans mon cul. Ils hurlent tous les deux en même temps. J’ai mouillé le ventre du mec de dessous. Je me sens sur un petit nuage. Ils ne débandent pas. Leurs sexes sont toujours hyper durs. Ils donnent des petits coups de queue, je suis satisfait comblé, j’ai envie que ça s’arrête, il est presque 4 h. Je bosse à 9 h 30, il faut que je sois en forme pour la dernière journée de formation. Les stagiaires sont sympas, mais quand même.
Ils déculent en même temps. Je saigne un peu, leurs queues sont un peu rouges. Mon anus est bien ouvert. Comme tout à l’heure ils me nettoient avec une autre serviette tiède. L’un deux m’applique une pommade bien calmante et cicatrisante à l’aide d’une canule pour l’intérieur, je me pose sur le torse de l’autre qui caresse ma tête en me disant « t’inquiète c’est pas grave, ça va aller ». Effectivement je me réveille à 8 h 30, je ne sens plus mon cul, mes amants sont partis. Un petit mot à l’entrée de la chambre « chokran (merci) » avec le tube de crème apaisante. J’ai un peu du mal à marcher. Les yeux cernés j’entre dans le bureau de formation. Un mec me dit avec un clin d’œil « ouh la nuit a été dure ». À la pose je vais aux toilettes, mon slip est tâché, je dépose des serviettes au fond de mon boxer et reprends les cours. Je ne suis pas près d’accepter une autre double.
Dans la vraie vie protégez-vous svp.
LE7
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