Il m’avait donné rendez-vous chez lui. Sa femme est partie une semaine chez sa sœur. Il a trop besoin de se vider. Je sonne, il m’ouvre en boxer.
Ce mec est puissant, ses muscles roulent sous sa peau. Il est plutôt massif, des cuisses puissantes, un tout petit bidon, des pectoraux bien carrés. Sa voix est très grave. Son paquet est outrageusement énorme ! Une grosse barre se prolonge sur la gauche, elle se termine par un gros gland. Il n’arrête pas de rajuster son paquet, sa grosse teube le gêne. « Viens, on va dans la chambre, déshabille-toi stp » je suis très impressionné, le charisme qui se dégage de lui me pétrifie. Il s’assoit sur le lit et entreprend de me mettre à poil. Il retire mon teeshirt, il me fait des bisous sur le ventre, il aime mes poils, il descend sèchement mon bas de survêt, retire mes shoes, je suis en boxer devant lui. Mon état ne donne aucun doute sur mon degré d’excitation. Mes 17X5 s’expriment à fond. Il lèche ma teube au travers du tissu.
Un beau mâle comme ça, très actif, qui me suce toute la longueur de ma queue me flatte, je suis au bord de l’explosion, je caresse sa tête, ses cheveux sont courts.
En léchant mon boxer, il titille son objectif et ses gros doigts sont passés sous le tissu et agacent mon trou. Il retire mon boxer, ma queue se plaque contre moi non sans l’avoir bifflé. Il rigole un peu vexé. Ma mouille lui a laissé une belle trace luisante sur la joue. Une noisette de gel sur son doigt, il me pénètre directement, je crie, son doigt est énorme. Il coulisse bien dans mon cul, un deuxième doigt rejoint le premier, je grimace, c’est gros, c’est déjà la largeur d’une grosse queue ses deux doigts.
Sa bite est sortie du boxer, elle avait besoin de liberté et je comprends, on dirait une grosse courgette, un gourdin. Du liquide coule sans discontinuer de son gland, elle bat vers le haut cherchant surement de quoi la contenter. Je prends l’initiative de lui échapper et de me poser face au mur de sa belle chambre. Dehors des enfants crient, font les fous fous. Il se colle à moi, sa queue ouvre mon entrejambe, j’adore ce contact en haut de mes cuisses, le bout de sa queue soulève mes couilles. Je suis comme assis sur une barre palpitante qui mouille mon scrotum. Il lèche mon cou, sa main droite s’est emparée de mon paquet, sa main gauche triture mon téton, il me fait mal, mais j’accepte. Je m’abandonne à lui, pose ma tête en arrière sur lui, il me fait des bisous, il va me saillir…
En 1 min il chausse une capote, tartine son chibre de gel, il me gaze deux fois dans chaque narine, la tête me tourne, je pars en live, lui en profite pour poser son gland sur mon antre… malgré que je sois bien ouvert, le gland a du mal à passer.
« Ouvre-toi chéri, je vais te défoncer, laisse-moi passer, pousse comme si tu étais aux w.c. »
Terrorisé vu l’engin, je pousse et m’ouvre à lui, le feu vert, son coup de reins viril, il me pénètre d’un coup. Je hurle sans arrêt, la douleur est atroce, bizarrement je reste accroché à lui. Il ne bouge pas, les sursauts de sa grosse queue me font chavirer. Cette batte de baseball dans mes intestins va me faire jouir au-delà de ce que j’ai déjà connu.
Je me cambre davantage, imperceptiblement il bouge sa queue, je sens tout d’elle, ses veines, son gland, quand il avance je recule et il m’encule à fond à chaque fois. Le passage est fait, sa teube est libre dans mon cul, le gel lui facilite la vie, mon anus est perdu, j’ai beau serrer, ça ne fait rien du tout. « Tu vois chéri tu la prends bien ma grosse bite, je vais détruire ta chatte, et tu vas en redemander » ce fut le départ d’un pilonnage en règle de mon conduit. Comme une poutre qui ravage mon colon, il me retourne me soulève et me plante sa queue, mes jambes autour de lui, il me fait sauter sur son membre, mes bras autour du cou, il me roule des patins baveux, sa grosse langue, comme sa grosse queue, a pris possession de ma bouche, ma langue a engagé le combat, sans espoir de victoire, je fais des mini jouissances, je deviens fou. Le poppers me rend accroc, j’en veux et j’en veux encore et encore. Lui est très endurant, il ferme souvent les yeux, il me soulève comme une plume puis me lâche, je retombe sur son pieu qui détruit de plus en plus mon colon. Je suis hyper dilaté, à chaque descente je hurle, le fond de mon colon est soumis à dure épreuve. Je jouis d’un coup, je l’ai senti venir du fin fond de mes entrailles, elle est d’une violence sans nom, le pilonnage de mon mec n’arrange pas les choses. Lui hurle d’un coup, je sens sa queue tressaillir en moi, il me féconde. Je tombe amoureux, je pose mes jambes au sol, je me colle à lui, son énorme chibre est contre ma cuisse, la capote est pleine de jus, la forme d’un petit filou… On s’allonge sur le lit, épuisés. Ses cuisses tremblent, son ventre se soulève sans cesse, je retire la capote, fais un nœud, je nettoie sa queue, son jus a bon gout, très viril. Il caresse mes reins. Mon anus ne se referme plus, je sens l’air dedans. Je me colle à lui et m’endors de suite.
Protégez-vous, le vie est trop belle !
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