L’année de mes 20 ans, je suis parti avec mon meilleur ami à Malaga en université d’été pour travailler deux langues parlées espagnol et anglais. On était hébergés en chambre double dans le campus. Un mois ensemble à bosser et faire la teuf. Je connaissais Charles depuis mon enfance. De mon ainé de quelques mois, je ne le connaissais pas encore intimement.
Charles est très sportif. Tennisman classé, à 21 ans il est gaulé comme un dieu grec. Son biceps droit est un peu plus développé que l’autre, il est veiné de partout. Je vais le découvrir d’avantage dans cette chambre Twin avec une salle de bains douche, WC. Charles a un sourire à tomber, sa grande bouche s’ouvre sur des dents blanches, il pourrait obtenir tout ce qu’il veut avec cette banane-là.
On doit se rendre à la soirée d’accueil, repas et soirée festive. Il est 15h. On a 5 heures devant nous. La chaleur du sud de l’Espagne est forte, même si la mer tempère bien. Je me déshabille, reste en slip et m’allonge à même sur le lit et observe Charles qui très soigneux déballe sa valise. Les bras croisés derrière la tête je mate mon copain. On discute du voyage et des futurs cours, il plie soigneusement ses affaires, il fait ça en slip comme moi. Son corps est splendide, et son paquet est outrageusement gonflé. Sa lourde queue, bien large, est un appel à la fellation… Il se contorsionne pour passer de la valise aux étagères… ses muscles roulent sous la peau, ses abdos sont glorieux, les miens sont tellement modestes.
Je me suis assoupi, Charles s’est assis au bord du lit, il me fait des chatouilles…
Charles « Bastien tu devrais prendre une douche, tu sens le chacal, tiens d’ailleurs j’y vais de suite, ce soir on va tomber des petites espagnoles, elles sont chaudes tu verras »
Il retire son slip tout naturellement devant moi, sans pudeur. Sa lourde queue reprend sa liberté et tombe sur ses cuisses puissantes et poilues. Il cherche son savon dans la valise parterre, j’ai une vue imprenable sur son cul poilu, le haut de ses cuisses très velu, et son tunnel qui découvre sa queue dépassant de ses couilles. Je replace la mienne dans mon slip, je bande taureau. Je pose mon teeshirt dessus. Ses fesses sont petites et musclées, deux pomelos dessous des reins délicieux, son dos est musculeux puissant noué de tellement de muscles puissants.
Charles « Bastien tu me mates bizarrement depuis notre arrivée… tu sais que je préfère les femmes… même si tu es mon ami depuis toujours »
Cette remarque me fait débander aussi sec, je feins de dormir… je ne veux pas flinguer ce mois avec lui. Il entre dans la salle de bains, laisse la porte ouverte. J’ai une vue privilégiée sur la douche sans rideau. L’eau qui ruisselle sur son corps sublime sa plastique. Quand il shampouine énergiquement ses cheveux, sa queue balance, ses couilles pendantes aussi. Pourquoi ne me tourne-t-il pas le dos si ce n’est pour m’allumer ? L’eau chaude fait gonfler sa bite qui se transforme en arc sur les couilles resserrées…
Charles « Bastien, viens me frotter le dos stp, j’ai oublié mon truc »
Je mouille le gant avec le savon et passe sur son dos, puis avec le gant seulement, Charles ronronne, je descends jusqu’aux fesses, il ne bronche pas. Je le rince avec la douchette. Il se retourne et là c’est le choc. Sa queue est à l’horizontale, elle est puissante, elle dépasse les 20cm, elle doit bien faire 7 de diamètre, son gland est énorme et la base de sa queue est plus large encore.
Je ravale ma salive, je retourne m’allonger, ma queue me fait très mal. Avec mes 18X6 elle semble ridicule. Je rêve de me branler. Avoir un aussi beau mâle avec moi, et ne rien pouvoir faire, je suis frustré. Mais je respecte ses choix, c’est mon ami, j’ai peur de casser cette amitié virile depuis toujours.
Il sort se sécher dans la chambre, il est beau, tout propre comme un sou neuf. Il sent tellement bon le savon et l’homme. Sa pe au semble au satin, pas un bouton, pas une cicatrice, pas un grain de beauté. Un peu de poils entre ses pectoraux, sur ses tétons et le traditionnel filet de poils très touffu lui.
Je le remplace dans la douche trop pressé de me faire débander. Je le vois étaler sa grande serviette sur le lit et s’allonger à poil, sur le dos… je m’interroge… pourquoi fait il ces provocations… ?
Je kiffe la chaleur de l’eau, comme d’habitude j’envoie l’eau chaude sur mes couilles et sur mon périnée, j’adore ça. Je sens son regard lubrique sur moi. Je l’ignore. Pourtant il a bondi du lit, Il est derrière moi, Je sens le gant nettoyer mon dos, il descend jusque dans mon sillon fessier, il insiste sur mon trou, puis derrière mes couilles, je ne dis rien. Il retourne le gant en mode gant de crin et frotte énergiquement mon dos. Il se marre, moi je bande taureau. Il me rince et pose un bisou sur mon dos. Je ne la vois pas mais j’imagine sa grosse queue trembler au rythme de ses gestes virils.
J’en suis troublé. Je sors de la douche, je me sèche. J’insiste sur mon sexe, me décalotte. Il fixe ma queue. C’est gagné.
Comme lui j’étale ma serviette, je m’allonge sur le ventre pour planquer mon érection douloureuse. Je m’endors. Lui aussi.
Je me réveille une heure plus tard, il est toujours sur le dos, sa queue énorme en érection est collée à son ventre, elle dépasse son nombril. Il a un souffle puissant régulier, il dort profondément. C’est plus fort que moi, je me lève et à pas de loup je m’approche de lui et pose un bisou sur le frein de sa queue qui réagit. J’ose un coup de langue, malgré qu’elle soit lavée, elle sent fort la bite de l’homme. Il ouvre la bouche, il doit sentir mes coups de langue en dormant. Je m’étais mis comme limite « juste le bisou », mais c’est plus fort que moi, je la lèche de la base des couilles jusqu’au méat. Je lape le jus qui coule déjà. J’ai l’impression que sa queue grossit encore. J’ai honte de faire ça à mon copain à son insu… je suis lâche. Sa queue décolle de son ventre et offre un angle qui me permet maintenant de gober son gland énorme. Il gémit.
Je tourne ma langue autour de son gland, il durcit et envoie des jets de sperme épais dans ma bouche. Je manque de m’étouffer, j’avale comme je peux cette liqueur viril au goût sucré, ça n’en finit pas. Je décide de me recoucher sur le ventre, je le surveille du coin de l’œil…
Il se réveille 5mn après, s’étire, touche son ventre, du sperme a mouillé ses poils. Il me regarde, touche sa queue visqueuse, il sent son liquide. Je fais semblant de dormir en ronflant légèrement. Il se dit qu’il a jouit son trop plein de jus en dormant. Il va se laver, il met un slip, un pantacourt, et se rallonge sur le dos. Je me réveille réellement 30mn plus tard. Je m’étire…
Charles « Putain mec, j’ai rêvé que je baisais une belle espagnole et j’ai jouit en réel, étonnant hein ? »
Moi « Mouais ça m’arrive aussi des fois, quand je ne me suis pas vidé de deux jours, dis-moi tu as des capotes pour ce soir ? » je rougis car j’ai encore le goût de son jus dans ma bouche. Il n’a rien compris. Oui il a des capotes, du gel et tout et tout.
On est resté un mois sans se toucher, on ramenait des filles pas farouches dans notre chambre, les espagnoles ne sont pas si libérées que ça, des fois une seule femelle qu’on se partageait, je kiffais sentir sa queue quand on la baisait à deux, moi dans son cul et lui dans sa chatte. La fille hurlait de bonheur. Moi je me vidais dans la capote, un peu grâce à la fille, beaucoup grâce à la queue de mon copain qui frottait contre la mienne… grâce à la mince paroi de la fille.
Un soir qu’on avait abusé de la sangria si forte en Espagne, j’ai ramené mon copain, je l’ai déshabillé tout nu. Je l’ai sucé sans me cacher, il tenait ma tête, bourré comme un polonais, il a jouit comme un dingue dans ma gueule. Moi je me suis branlé sur ses couilles.
Je lui ai fait croire le lendemain qu’une fille l’avait pompé et que pendant ce temps-là je la baisais sans capote. J’ai même jouis sur tes couilles, excuses moi mec. On s’est marré comme des bossus. Il m’a engueulé, j’aurais dû mettre une capote… j’ai baissé la tête, trop honteux de l’avoir trompé une deuxième fois.
Charles « T’inquiètes Bro tant que ça vient de toi, ce n’est pas grave, elle était comment la fille ? Elle avait les cheveux courts non ? »
J’ai prétexté qu’il fallait qu’on aille déjeuner… il était 14h00 déjà. On avait tout un weekend de baise encore.
Charles n’a jamais rien su. Je pense qu’il m’aurait cassé la gueule et fâché à vie. C’est encore mon ami, marié, trois gosses, 1 maitresse qu’on a déjà baisé à deux…
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions
LE7
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