En manque de mâles depuis deux mois, je décide de me connecter sur l’application Grindr, pour assouvir mon besoin et calmer ma libido.
Après plusieurs touches infructueuses, je tombe sur un mec qui me propose un scénario excitant. « Tu laisses ta porte ouverte, je rentre, tu es à 4 pattes en slip, je te bouffe le cul, et je te prends, tu ne te retournes pas, disposes des kpots et du gel… j’apporte le poppers et le gel à fist ». Je suis inquiet, il ne m’a pas demandé de photos, je sais qu’il a 35 ans, rugbyman, très musclé, mais c’est tout. Je me présente BASTIEN, 35 ans, très brun, assez velu, 180 cm ,75kg, une queue honnête, 17x5, je suis versa.
Ce soir je veux être passif genre chienne… 20 min après son dernier message, j’en reçois un autre « je suis devant chez toi, tu éteins tout j’arrive ! ». Ce n’était donc pas un lapin, d’un mytho, comme souvent sur ce site, mon cœur bat à tout rompre, mes tempes cognent, et mon sexe se redresse en mode combat ; je m’installe comme demandé dans une position de salope soumise qui attend son mâle, le boule bien cambré, des capotes et du gel à côté de moi. Il est 3 h du matin, je ne le sais pas encore, mais je vais morfler grave de ouf.
La pièce est dans la pénombre, je sens sa présence, un vent de panique me prend, et si c’était un tueur en série, deux mecs qui veulent casser du pédé, malgré cette peur, je garde inconsciemment la pose. La porte il l’a laissée ouverte, un vent frais me provoque une chair de poule. Il retire mon boxer, et caresse mon cul en l’effleurant. Je gémis de plaisir. « hummmmm tu as un bon boule, bien rond, bien velu comme j’aime, et ton trou est bien serré » La boucle d’un ceinturon, deux chaussures qui tombent, un pantalon qu’il retire, un boxer qui descend, il est tout nu en un clin d’œil.
Il me caresse partout, le dos, entre les cuisses, il soupèse mes boules, les serre, les masse, il griffe l’intérieur de mes cuisses. Je commence à être essoufflé, je gémis dès qu’il pose sa très large main calleuse, je ne bouge pas, même si je crève d’envie de le toucher. Il se pose à genou à côté de moi, je sens un très gros membre qui titille ma cuisse. Sa grosseur me fait peur, il est très lourd… je suis partagé : très excité et très apeuré… « ne t’inquiète pas, ça va très bien se passer » je saisis son sexe, je l’évalue à 25x7… waouh… je ne me suis jamais pris un tel calibre… il va me déchirer c’est sûr. Dans la rue des mecs passent en rigolant fort, mon chat qui s’est approché de moi tape sa tête contre la mienne, comme s’il sentait que ça allait être chaud, il frotte sa tête contre la mienne, ah le sixième sens des chats.
Il dépose un bon paquet de gel à fist sur ma rosette, il s’équipe d’un gant et commence à me travailler la souplesse de mon trou. Il y va progressivement, doigt par doigt sans me faire mal. J’ai affaire à un expert, le baume est un peu chauffant, il est extraordinairement apaisant. « Je ne veux pas être fister, ce n’est pas mon truc mec » « nan t’inquiète, c’est juste pour ma queue, c’est pour que tu n’aies pas mal mon chéri » Mon chéri, euh pas d’accord, ses caresses sont tellement bonnes que je laisse passer, je suis arrivé à un stade de non-retour, je veux son membre, sa queue, sa teube, son gourdin.
Et BIM il se positionne derrière moi… il pose son gland sur mon trou… j’ai l’impression que c’est une pêche, c’est énorme… ça ne passera jamais… et bien si… il pousse juste un peu, en bonne salope je recule sur son membre, mon anus se dilate outrageusement, je crie, il en profite pour donner une impulsion et la « chose » me pénètre. En appui sur la tête, je le repousse avec les mains, il saisit mes épaules et enfonce son machin jusqu’aux couilles. Je touche son sexe, tout n’est pas entré… « Ça va ? Tu as vu, ça c’est de la queue » « mon souffle est coupé, je ne peux pas répondre, mon cul ne peut même pas serrer… puis la douleur se calme, il me gaze à ce moment-là. Mes boyaux se dilatent, et puis il fait une chose impensable… il sort complètement dans un bruit de bouteille qu’on débouche.
Je hurle à nouveau, sans que je puisse râler, il me pénètre d’un trait et là je prends mon pied. Il fait ça une dizaine de fois, mon anus n’existe plus, mon conduit est labouré par ce gland difforme, chaque coup sur ma prostate provoque une petite éjaculation de précum, je ne voudrais pas qu’il s’arrête, je lui crie mon amour, je lui demande qu’il me mette tout “ il en reste un peu, je vous mets tout ” en plus il se fout de moi, il a adopté un rythme puissant de croisière, il me caresse en même temps, saisit ma queue et la branle, il ne pense pas qu’à lui… sa queue me ravage et j’aime ça. Je recule sur sa queue quand il me pénètre, j’en veux, j’en veux, je morfle, je me fous des conséquences du lendemain. Je me cambre au maximum, il m’embrasse, je lui dis “ je t’aime, baise moi fort ”. Il se déchaine, à grands coups de bassin, ses couilles tapent, mon beau mec musclé, puissant va me féconder (enfin dans la capote tout de même)…
Ses cris sont coordonnés avec les impulsions de sa queue, la mienne se déclenche, j’ai l’impression que je donne tout ce que j’ai, j’ai des étoiles dans les yeux, en jouissant je serre sa queue, il gémit de plaisir. Son sexe glisse hors de moi, interminable tel un boa, et tombe lourdement sur la couette. On tombe tous les deux en chien de fusil, imbriqués l’un dans l’autre, je sens sa queue sur mes fesses.
Il restera chez moi un mois entier, à me baiser tous les soirs, le weekend les matins et soirs, ce mec est infatigable, gros juteur, il me faisait boire son nectar, puis un vendredi, dans un français approximatif il me dit “ on ne se verra plus, je rentre en Allemagne, j’ai finis mon travail ici. Byebye ”. Je n’ai pas pu aller au travail, j’ai sangloté toute la journée. Quand on dit que la “ taille ” ce n’est pas important… foutaises…
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios.
LE7
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