Il m’avait chauffé dans snapchat avec sa belle queue, il se branlait en live, son gland très luisant était très appétissant, je l’imaginais explorant mes entrailles, dilatant mes chairs… j’en ai encore des frissons. Il apporterait du poppers et des capotes.
Lui « si tu veux en rentrant chez moi, je passe près de chez toi, je passe et je te fais la fête… »
Moi « grave envie de toi. Les blacks et les beurs sont les meilleurs amants du monde, je t’attends passe quand tu veux. »
Lui « ce sera tard, laisse ta porte ouverte, je me glisserai dans ton lit, je repartirai au petit matin »
Dans cette perspective, je me fais une douche bien soigneuse…
Ce beau black quarantenaire n’est pas réellement beau, mais il dégage un charme puissant. Il a l’air bien baraqué, des muscles longs, puissants, pour ce que j’ai pu en voir sur snapchat. Il aime les nounours comme moi, les daddies dodus comme il dit. Il est professeur de match, il est élégant.
Il m’appelle « j’arrive chez toi prépare toi »
Je me mets à genoux au bord du lit, le cul indécemment en l’air, la tête posée sur le lit. Capotes et gel posés à côté de moi. Je ne me suis pas travaillé le cul, je veux le sentir brut de décoffrage… il est entré dans la chambre à pas de loup. J’entends le zip de sa braguette, il extrait sa longue queue, il chausse une capote. Le tube de gel dégueule son miel, il enfonce le produit en moi sans ménagement, je gémis. Il se déshabille entièrement.
Il pose son gland sur mon trou, écarte mes fesses, prend mes hanches et pousse sa teub profondément en moi. J’ai mal, j’ai mal. J’ai senti mes sphincters craquer. Il ne me laisse pas de répit. Il me pilonne de suite, j’essaye de repousser ses cuisses, mais il est plus fort que moi. Ses couilles s’écrasent contre moi, elles balancent en rythme. Mes cris se transforment en gémissements. Il en profite pour détruire ma chatte, salop.
Je pensais pas sa queue aussi longue, quand il la ressort ça n’en finit pas, il la repositionne à mon entrée et pousse d’un coup. Je perds la tête, cette sensation inconnue est divine, le claquement de ses couilles parachèvent le bonheur. Je repoussais ses cuisses, maintenant je les attire vers moi. Il rentre ses longs deux pouces avec son zob, je suis dilaté davantage. La sensation est tellement forte et viriles que je débande direct.
Il accélère le pilonnage, le bruit de son bassin qui claque mon cul remplit la pièce, mes gémissement deviennent rauques, je vais cracher. Ma queue rebande. Ses coups de boutoir sont sans pitié. Il s’allonge sur moi, je cède et tombe sur le lit. On forme un seul corps. Il n’y a que ses reins qui bougent, je saisis ses fesses en arrière, elles sont très musclées. Il me baise en profondeur, je sens qu’il tape le fond, son gland a doublé de volume en moi. Son souffle sur mon visage, sa langue dans mon oreille, les poils de son torse sur mon dos. Ses jambes font prisonnières les miennes, ses mains sur mes épaules, je ne peux plus m’échapper.
Son corps musclé est noueux et dur, pas un poil de graisse, il ne me pilonne plus mais me baise an forçant la pénétration, il veut jouir en moi, ses fesses se contractent à fond. En remontant ma main droite, je sens une capote sur le lit. Il me nique à cru, je proteste, il n’en n’a rien à faire. Je m’abandonne. Mon jus bouillonne en moi, chaque coup de queue est une mini jouissance. Je lâche prise, ma bite sur le drap déverse son jus, j’hurle ma jouissance, lui se libère en moi, sa queue grossit à chaque jet. J’ai l’impression qu’il me remplit. La quantité de son éjaculat est énorme. Il m’a pas crié, juste un souffle plus rauque… on est resté comme ça unis, sa queue en moi.
Son énorme queue glisse hors de moi, je sens son jus couler. Je me sens bien. Il se relève, se rhabille et quitte la chambre, la porte d’entrée claque, il devait rester la nuit, il est parti, peut être vers d’autres aventures. Je vais me faire un lavage en profondeur, il y a beaucoup de jus. Les tests sérologiques seront négatifs. Il ne m’a plus recontacté, sauf hier :
Lui « hello Bastien, je suis avec deux cousins, on passerait bien vider nos6 couilles en toi, tu es dispo ? »
Je ne sais pas quoi répondre, dites-moi les gars ?
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressionsà histoiresle7@yahoo.com
LE7
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