La fibre

Pile poil à 10h il est au rendez-vous. Un beau beur bien bâti, avec son gilet jaune. Il vient installer le boitier de la fibre. Il est baraqué, masqué, avec des magnifiques yeux bleus. C’est plutôt rare.

Il utilise une mèche de 1m pour percer le mur, je m’assoie sur le canapé et le regarde travailler, impressionné. Je le scanne, il a un énorme bulge avec une grosse mèche orientée vers le bas. Il m’a déjà calculé, mais fait comme si de rien n’était.

A travers de son sweat noir, je distingue des gros biceps bien veinés, il me tient au courant de l’avancée des travaux, ses gestes sont précis efficaces, quand il me regarde, il me fixe de ses yeux perçants. Je suis en survêt, je réajuste ma queue qui gonfle, qui gonfle…

Par la fenêtre, il voit un collègue arriver, il descend dans la rue le siffler, j’en profite pour rafraichir mes avant-bras. la tension redescend, il remonte avec son collègue, un grand gaillard, mince, rigolard, aux yeux marrons et au bulge impressionnant. Dans mon salon deux rebeus s’activent pour brancher le matos.

Je m’appuie au canapé, le cul offert en mode salope.

Le nouveau technicien sort et en passant effleure mon cul, je ferme les yeux, il fait un « hummm » discret. Son pote ne dit rien mais toussote.

Quand il revient, sans gêne, il colle son paquet sur mon cul, je sens bien sa teub, ça dure 10 secondes mais ça me rend dingue. J’ai envie de m’ouvrir à leurs teubs.

A deux le travail va plus vite, il ont terminé, branché la box, testé la connexion. Je me connecte à Netflix, putain ça booste grave…

Je leur propose un café, je leur propose du lait.

Lui « moi j’ai du bon lait pour vous, asseyez-vous là. »

Je suis à hauteur de leurs braguettes, ils sortent tous les deux, de gros zebs bien juteux, l’un deux tire les rideaux. Le premier que je pompe a une queue longue et fine.

Il investit à la mode arabe ma gorge, direct dans le gosier. Je manque de vomir, je ressors sa queue, très glairée, et bouffe son gland, il tient ma tête par les oreilles et me baise la bouche, il enfonce souvent sa queue. Son sexe sent fort le mâle, mélange d’urine et de sueur. Ses boules sont très poilues, je caresse son ventre, je kiffe les poils de ses abdos, il retire ma main, il n’a besoin que de ma bouche.

Lui « j’ai vu de suite que tu aimais les zebs, salope de céfran ! On va te démonter, demain tu marcheras mal, tu vas voir le zeb de mon collègue, gros mastard »

Son copain me place à genoux sur le canapé, il descend fermement mon survêt, il bouffe mon cul en se régalant, sa langue est grosse, il lèche tout mon sillon fessier pendant que je me gave du précum, comme si c’était du jus.

Je m’inquiète de la taille du zeb qui va me féconder, j’essaye de toucher, mais le mec écarte mes mains. Il attrape un tube de graisse dans sa caisse, il enduit mon cul, enfonce de la graisse en moi, il a de gros doigts qui explorent mon fondement, il entre facilement trois doigts, j’ai du mal à respirer.

Lui « bientôt mon collègue va te casser le cul, prépare toi salope, tu vas manger ta mère, j’ai hâte de voir ça. »

Le mec derrière commence une fessée, toujours au même endroit, j’ai la fesse en feu, j’ai envie qu’il me pénètre, je n’ai toujours pas vu son membre…

Je sens qu’il graisse son zeb, il pose son gland sur mon trou, dit un mot en arabe à son pote qui enfonce sa queue dans ma gorge, je sens un gland énorme qui se pose sur mon anus, il me prend par les épaules et enfonce son outil en moi. Je ne peux pas respirer, je ne peux pas crier, une douleur atroce vrille dans mes reins. Je me dégage de la queue que je suce et hurle à la mort.

Le mec retire son zeb, il rigole franchement, je tâte son sexe gigantesque, une grosseur de canette allongée toute visqueuse, son pote enfonce sa queue dans ma bouche et l’autre dans mon cul. Je ne pensais pas pouvoir encaisser une telle bite. Dans un grand élan, il me pénètre à donf, je me sens écartelé, rempli comme jamais. Au lieu de me laisser m’habituer, il va et vient lentement, comme celui de devant, je commence à prendre mon pied.

La bouche pleine, je gémis de plaisir. Ma queue pendouille flasque, comme un homme vaincu qui devient chienne.

Mon enculeur prend un rythme de croisière, ses coups sont amples, puissants, en bout de course son bassin tape mon cul, ses lourdes couilles balancent sur les miennes. Il détruit mon cul avec méthode, je m’abandonne à sa loi, à la loi du mâle alpha. Devant le mec est très endurant, sa queue est de plus en plus dure, elle continue de suinter du précum.

Le mec décule, s’allonge sur le canapé, son copain me positionne au-dessus du gourdin, je suis effaré par la grosseur du machin… comment j’ai pu encaisser çà ?

Je positionne cette grosse bite et me laisse descendre dessus, empalé comme au moyen âge, je gémis tellement la sensation est forte, je touche la hampe et ses grosses couilles, elle doit faire 23 à 24 cm… au moins 7 à 8 de large.

Sa queue est hyper dure, un gros bout de bois, je suis essoufflé, je nage dans le bonheur, son copain me plaque contre lui, il pose son gland et pousse. Je crie fort, il n’en n’a rien à foutre et se loge le long de la queue. Je suis écartelé, je regrette de ne pas avoir de poppers, ils me pilonnent de concert, je jouis sans m’en rendre compte, ma prostate est à vif.

Ils jouissent en même temps, un flot de jus déborde de ma chatte, ils grognent tous les deux. Je suis épuisé. Ils s’en vont en rigolant.

Je reviendrai dit le mec à la plus grosse teub.

Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.

Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !

J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm

N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…

Merci de laisser vos impressions.