La fête bat son plein dans ce restaurant chic parisien, où j’ai été convié à passer le réveillon du Nouvel An.
Toute la soirée Omar n’a cessé de me fixer, il est à deux tables de la mienne, chaque fois que mon regard tournait vers sa table, je sentais son regard lourd de sous-entendus, vous savez ce regard lubrique qui ne laisse aucun doute sur ses intentions.
Sa copine une petite brunette pimpante était-elle fascinée par un beau mâle assis à côté d’elle, j’apercevais sa main naviguer sur la cuisse du beau mec à la trique visible chaque fois qu’il se levait.
Omar lui me fixait toujours, la bouche ouverte, son chino trahissait son envie.
Toute l’année il me draguait ouvertement, sans que je cède à ses avances, je respectais sa copine et ne voulais pas semer la zizanie dans ce couple modèle, modèle tu parles ! La voir tripoter l’entrejambe de cet homme m’avait comme libéré de mes scrupules, Omar ne pouvait pas ne pas voir la main baladeuse de sa copine, lui aussi avait envie de conclure…
Omar est monté comme un âne, j’avais pu le constater à la piscine qu’on fréquente tous les deux, très libre, il se baladait sans complexe à poil du vestiaire aux douches. La chaleur de l’eau avait un effet multiplicateur sur son gros sexe. Je rêvais de lui en permanence, son engin me faisait partir lors de mes nuits coquines masturbatoires.
Il est minuit moins le quart, je descends aux toilettes me soulager, trop de bières, trop d’eau gazeuse, trop de vin blanc compriment ma vessie, il faut que je me libère. Je libère popaul devant la vasque, un puissant jet m’éclabousse, je gémis tellement cette libération me fait du bien.
On connait tous cette sensation les mecs, à la limite de la jouissance tellement cette libération est salutaire.
Plusieurs mecs pissent à côté de moi alors que ma miction ne semble jamais ne vouloir s’arrêter. Je regarde devant moi et jamais ne jette un coup d’œil vers ces verges molles.
Tout a une fin, un coup de lavage au lavabo, et je sors des toilettes, je tombe sur Omar qui me prend par la main et m’emmène dans une pièce sombre. Personne ne risque de venir nous surprendre. Essoufflé, il se colle à moi, je sens sa grosse queue qui taquine la mienne, une sorte de combat de Jedi, nos deux glaives croisés s’affrontent sans merci.
Il maintient ma bouche ouverte, il l’explore en gémissant, sa grosse langue pénétrante, chargée d’alcool, de tabac me met en vrac. Mes bras autour de son cou, je cède et m’abandonne à lui.
J’ai envie qu’il me fasse l’amour dans l’instant, je m’agenouille, libère son gros zob et essaye de sucer son gland. J’arrive à peine à sucer son énorme abricot, il remplit ma bouche, je saisis ses couilles, très lourdes, très velues, pleines à craquer. Il n’arrête pas de gémir, il me soulève me retourne défait mon pantalon, mon boxer suit et je rentre en contact avec sa queue bouillante, j’adore ce contact, prélude à une baise imminente. Nos deux copines nous appellent dans le couloir qui mène aux toilettes, il met sa main devant ma bouche et me dit :
- Tinquiète elles ne peuvent pas nous trouver…
Le silence revient, silence relatif puisque la musique semble s’emballer là-haut. Il est minuit moins 5 mn. Il dépose une grosse salive sur mon anus et son gland, je vais y passer. Il me pénètre très virilement, directement jusqu’aux couilles, je pousse un hurlement, des larmes coulent sur mes joues. En bon macho il me dit de ne pas s’inquiéter, ça va aller.
Le silence se fait dans la salle, l’animateur annonce dans 10 secondes on est en 2020.
10… 9… 8… à chaque coup de minuit Omar s’enfonce à fond en moi, m’arrachant un cri de bonheur.
7… 6… 5, sa queue semble encore grossir ce qui me panique, je ne pensais pas pouvoir accueillir un tel monstre.
4… 3… 2… 1… bonne année !
Il se vide précisément à ce moment-là, je me sens détruit et apaisé, son sperme apaise les frottements.
Le jus coule sur mes cuisses, il me retourne et baise ma bouche, sa queue battant mon ventre.
Cette sensation me libère à mon tour… il trempe ses doigts dans mon jus et les suce… quel mec !
Tout le monde s’embrasse là-haut, je rejoins mes amis, et leur souhaite une bonne et heureuse année.
Omar, lui, envoie balader sa copine, il lui dit que c’est fini. Elle hausse les épaules et part aux bras de son nouvel amant. Il vient vers moi, et dans la semi-obscurité me roule le patin du siècle. Mes amis me tapent sur l’épaule, ravis pour moi.
Personne ne fait attention à l’état de mon pantalon, tâché de l’intérieur par mon amant. Il rejoint ma table et se met à me faire la cour, les yeux embués de bonheur.
Assis je me dandine sur le siège, son passage puissant a laissé des ravages… je vis encore avec lui le parfait amour, loin de nos familles et nos amis… il me fait l’amour tous les jours et le weekend plusieurs fois par jour.
Je suis accroc à sa queue et ses coups de rein très machos. Omar est décédé un an après notre rencontre, le 31 décembre 2021 d’une rupture d’anévrisme dans cette même salle, il s’est écroulé alors que l’animateur décomptait les secondes… depuis je déteste les 31 décembre… il me manque, sa joie de vivre, sa vigueur…
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Bonne et heureuse année à tous, Cyrillo en premier et tous mes lecteurs.
Merci pour vos messages sympathiques très encourageants.
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios à histoiresle7@yahoo.com
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