J’étais en train de faire mon affaire dans ces toilettes publiques, je m’étais longtemps retenu et le flot de pipi semble intarissable… j’étais seul dans ces w.c., quand un grand mec en short vient s’installer à côté de moi, il ne me regarde pas et déballe une grosse queue épaisse. Je le regarde en coin, je ne suis pas de taille à riposter s’il m’en met une…
Son jet a du mal à sortir, il râle dans sa barbe, puis soudain c’est un jet puissant qui m’éclabousse…
Lui « Oh excusez monsieur, ça fait tellement longtemps que je me retiens… »
Moi « Merde, mon pantalon tout propre, vous pourriez faire attention non ? »
Lui « Qu’est ce que tu as ? Tu n’es pas content ? Je m’excuse, je ne vais pas te faire une pipe en plus ?
Moi “Ben pourquoi pas ?”
Lui “putain encore une tafiole ! Qu’est-ce qu’ils ont tous après moi ? Attend je termine…”
Des fois je me trouve space, gonflé… pourquoi je lui ai dit ça ? Je me suis arrêté dans ce petit village de province pour pisser… les chiottes sont très excentrées, il n’y a pas grand monde dehors ce dimanche midi…
Il se secoue la queue, et sans la ranger, m’entraine dans la seule cabine, étonnamment propre, il s’agenouille devant moi et aspire comme un spaghetti mon membre flasque en mode gorge profonde. Il sait y faire, il bave beaucoup, ma queue se tend au maximum, mes couilles se resserrent, je m’adosse au mur, bascule le bassin en avant, mes 18 cm palpitent dans sa gueule…
Je repousse sa tête sinon je jouis, il se relève, me retourne, mouille ma rosette, et commence à rentrer sa grosse queue. Sur le mur du côté, une inscription au feutre “j’encule tous les dimanches à midi, TTBM”. Je suis tombé sur l’auteur du graffiti…
Un coup de reins, il me pénètre jusqu’au bout de ma vie, je gémis et souffle fort. Mon colon est encore sensible de l’avant-veille ou deux rebeus m’ont fait la fête…
Ses énormes couilles s’écrasent contre mon scrotum, je me sens rempli comme une jeune mariée vierge le soir de ses noces. Mais comment a-t-il pu tout rentrer ? Il commence à me besogner sans pitié, ses couilles tapent fort mon cul, ma queue tape le mur… en bonne lope j’écarte mes fesses, il redouble d’efforts, à chaque coup il me projette contre le mur, il m’écrase même ! Il grogne virilement, il me serre contre lui, tient mes épaules et se vide en moi, le jus coule le long de mes jambes et le mien sur le mur…
J’ai les jambes qui flageolent, je m’essuie rapidement et fonce à ma voiture. Je ne sens plus mon cul. Lui sort des toilettes, une grosse barre étire son pantalon, il se marre en me voyant. Je verrouille mes portes, il s’approche de la voiture, me demande de baisser la vitre, je m’exécute, il me crache à la figure.
Je démarre en trombe, en m’essuyant comme je peux. Salop de mâle alpha !
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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