En Mai 2019 je commande un jacuzzi gonflable en super promotion, depuis longtemps mon rêve, avec une option installation.
Pendant un mois, je spécule sur cet appareil, je n’ai pas de piscine, c’est une bonne alternative, on trempe, on se détend, bref on profite. Des copains me disent « Tu verras tu pourras tremper à poil, avec des bulles c’est génial ».
Le jour de la livraison, je suis excité comme une puce, la petite camionnette se gare dans ma cour, il est 15h. Un beau mec baraqué sort en short (c’est dur à dire ça rapidement), en combinaison de travail et chaussures de sécurité. Le gars est très souriant, de la sueur perle sur le front, il fait très chaud, je le plains. Il dépose le gros paquet dans mon entrée, c’est un mètre cube, il a porté ça à bout de bras, sans effort. Au travers de sa combinaison, on devine des muscles puissants, on voit même la grosse veine de son biceps… (mon pêché mignon)
« Alors où voulez-vous que je l’installe ? »
« Sur la terrasse, il y a de la place, il y a un robinet pas trop loin, une prise électrique, et c’est plutôt protégé de la vue des passants et du soleil, devant la porte fenêtre de la cuisine»
« Effectivement l’emplacement, vous avez raison, c’est un bon choix. Vous me permettez que je me mette à l’aise, c’est ma quatrième et dernière installation aujourd’hui, il fait si chaud… est-ce que vous auriez un short à me prêter svp, j’ai fait le choix de vous installer en dernier, mon studio est à deux pas de votre maison.»
« Oui, no problemo, ne vous gênez pas pour moi… je vais vous en chercher un»
Quand je reviens, l’installateur est déjà en slip, je bafouille en lui tendant le short, je bafouille parce que je n’ai jamais vu de paquet aussi énorme… il doit avoir des couilles énormes et son zob énorme aussi est sagement à l’horizontale, vers la gauche. Ses vêtements et chaussures sont posés sur une chaise de jardin, bien rangés, bien pliés. Ce mec est méticuleux. Quand il enfile le short, son paquet de déplace de droite à gauche, je suis en plein rêve. Il est plutôt imberbe, mis à part un ruisseau de poils bien noirs qui se déverse de son nombril pour alimenter le gros paquet de mes rêves.
Sa voix est rauque, mâle, elle me fait frissonner, je le laisse bosser, retourne dans ma cuisine sur mon ordinateur, en repositionnant ma queue demie-molle, mon écran est équipé d’une double caméra, je fais quelques clichés, je me régale de ouf. J’ai une vue directe sur le gars, il déplie avec dextérité l’appareil, ses muscles se contractent et m’affolent. Il ne me regarde pas, mais je sais qu’il sait que je le mate, je salive sur ce modèle masculin, trop bien entretenu, trop viril pour être honnête, assez animal.
Je décide de me mettre à l’aise aussi, je retire mon teeshirt collector ACDC, cadeau de mon père, groupe mythique que j’adore pour les avoir vus en concert à Marseille. Il fait plus frais chez moi que dehors, la chair de poule parcourt mon corps de trentenaire, ou serait-ce la vision de ce mec… son torse est luisant de sueur, des gouttes glissent dans le short… je lui apporte une serviette de toilette… et un grand verre d’eau.
« Merci, vous êtes sympa, ce n’est pas le cas de tous les clients » Je bave quand il s’essuie, tous ses muscles sont en action, ce mec est magnifique.
Je retourne à ma table, j’ai activé la vidéo de mon ordinateur, je peux le regarder sans gêne… il actionne le gonfleur, le jacuzzi prend forme assez rapidement, c’est un 4 places. Il branche le tuyau d’arrosage, et commence à remplir le jacuzzi.
Il entre dans la cuisine et m’annonce
« Ça va prendre deux heures, j’ai le temps de passer chez moi, me changer, et je repasse pour finir l’installation, ou si vous me permettez d’attendre chez vous… »
« Pas de problème, restez je vous montre la salle de bain, si vous voulez prendre une douche… » dis-je avec une idée malsaine derrière la tête…
« Oh ce serait gentil, avec plaisir je veux bien… » Je l’emmène à la salle d’eau, il se désape sans pudeur devant moi, je lui donne une autre grande serviette propre… son énorme queue est comme une troisième jambe, énorme, très large, avec un long prépuce.
Je sors rapidement, ferme la porte et m’adosse dans le couloir pour reprendre mes esprits et mon souffle. Mon glaive est tendu au maximum et me fait mal, il voudrait grandir plus, mes 18X6 cm ne lui suffisent plus, il a besoin de place. J’ai mentalement photographié ce sexe d’homme accompli, puissant et hyper monté.
Je vais souvent vérifier le remplissage du jacuzzi qui n’avance pas des masses… je me rassoie à ma table, je suis dos au couloir, un grand verre d’eau a calmé mes ardeurs, je suis revenu à un comportement plus correct, ma queue n’est plus qu’une demie-molle. Je me raisonne, ce n’est pas bien de profiter de la situation.
Je reprends la rédaction du rapport commandé par ma hiérarchie, assis sur mon tabouret. J’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir, deux bras se posent sur moi par derrière, je ne sursaute même pas, inconsciemment je l’attendais, je l’espérais, je le voulais, je me laisse aller contre lui. Il sent le frais, le propre, les muscles de son ventre sont durs, ses poils chatouillent mon dos, ma tête trouve sa place entre les pectoraux lisses. Il prend ma tête, la bascule en arrière, ses lèvres se collent aux miennes, sa langue investit ma bouche… je repars pour une érection folle, je sens la sienne directement sur ma peau, son gourdin marque mon dos, un gros tuyau palpitant qui mouille sans cesse, inondant mon dos. Nos bouchent jouent une musique de succion, il tient ma mâchoire pour que je ne m’échappe pas.
Je pivote et face à lui je saisie sa queue, il ferme les yeux en disant « oui oui stp oui » je n’arrive pas à en faire le tour avec ma main, alors je la saisie à deux mains, sa queue dépasse encore de 10cm, j’enfourne son gland, il crie, le prépuce renferme des senteurs et parfums d’homme, je le décalotte à fond, sa queue progresse encore… je me délecte de ses humeurs, de son jus pré-spermatique, il se dégage va voir le jacuzzi, et revient, sa bite collée sur ses abdos, s’adosser à la table normande de la cuisine, il saisit ma tignasse et me tire vers sa queue. Je reprends avec gourmandise mon travail de sape, je veux son jus d’homme, je prends ses couilles ensemble et tire le paquet vers le sol, il râle de plaisir, je masse l’intérieur de ses cuisses pour le faire venir, je veux une belle faciale.
Je le branle à toute vitesse en bout de sexe, il gémit de plus en plus fort et grogne comme un ours, des giclées de sperme atteignent mes yeux, mon front, ma bouche ouverte, mon torse, son jus sent fort le sperme, cette odeur qu’on connait tous, j’ai l’impression qu’il s’est vidé entièrement. Il me relève, et sans me nettoyer, m’embrasse à pleine bouche. Je tiens son membre qui ne perd rien de sa raideur, avec mon pouce je masse son gland, nous savons que c’est douloureux, lui ne dit rien, savoure cette caresse, ma queue envoie des décharges électriques à chaque contact avec sa peau, il ne faut pas que je me touche sinon…
Il me retourne sur la table, ouvre la boite de beurre Omega 3, plonge ses doigts dedans et tartine ma rosette en enfonçant son énorme pouce, j’ai la tête posée sur la table, je me tiens à l’autre côté de la table je me prépare à la saillie.
« J’ai des capotes mec, j’ai des capotes… »
« Ta gueule mon chéri, je vais détruire ton cul, tu vas manger ta mère… ça fait deux heures que tu me mates avec ton ordi, ne me prend pas pour un con… je t’ai vu bander sous la table, salope, je n’ai plus de copain, il est parti avec un mec friqué avant-hier, tu vas prendre pour lui, et puis j’ai toute ma soirée, je vais te baiser petite pute…»
Ses doigts élargissent mon conduit avec dextérité, les tuyaux ça le connait, je ne résiste même pas, j’ai besoin de son membre maintenant. Le beurre rend mon anus très souple et très glissant… Je suis détendu… je soupire d’aise.
Il enduit son sexe de beurre, et s’enfonce en moi. Je ne peux crier tellement j’ai mal, ça fait tellement longtemps que mon cul est vierge de bite, j’ai l’impression qu’on me déchire, je subis le supplice du pal, je touche sa queue, seulement un tiers est entré, je le repousse un peu, mais il est plus fort que moi et repart à l’attaque… la douleur s’accentue, je refuse, je me plains, il met sa main devant ma bouche, avec l’autre prend mon épaule et il la rentre en entier… il ne bouge plus, je pleure, (moi qui ne pleure jamais), je souffle à fond, il caresse mon dos, mes fesses, je ne suis que plaisir. Je pousse pour le faire sortir, ça le fait rentrer davantage. Il se couche sur moi et me susurre des insanités à l’oreille « comme ta chatte est bonne, je suis trop bien serré en toi petite pédale, ton cul est formaté à ma bite maintenant, tu deviens une chienne, tu deviens ma chienne…»
Je ne réponds pas, je m’habitue lentement à ce colosse, je le compare à ce gode énorme acheté l’année dernière, jamais essayé effrayé par la grosseur. D’un coup de rein il retire la moitié de son sexe et replonge en moi plus loin, je trouve ça divin, je deviens femelle, mon esprit va vite, il habite proche de chez moi, il va devenir mon régulier, je le sais.
Il se remet droit et me pilonne sans pitié, il rajoute du beurre fondu, il peut claquer mon cul, ses couilles tapent mon cul, il me défonce pendant 20mn, l’heure du four fait foi, il est endurant, il ressort parfois, j’ouvre mes fesses pour qu’il revienne, je recule pour mieux le sentir. C’est mon homme désormais, il tape de plus en plus fort, il saisit ma gorge et m’empêche de respirer, il se vide en moi, je me vide sur le carrelage de la cuisine, il me relâche, je respire enfin de jouissance à temps. Il continue à me baiser, infatigable, sa grosse queue fait des bruits de piston, une forte odeur de sperme au beurre a envahi la pièce. Je n’ai plus de forces. Je le repousse, je n’en peux plus, mes jambes flageolent, elles ne me portent plus.
Il me prend dans ses bras et me dépose sur une chaise de jardin. Du jus coule à travers la chaise. Lui essuie sa queue avec du sopalin, il ne me dit rien… si : « tu as bon cul, c’est bon à savoir, tu n’es pas loin de chez moi, mon chéri, je vais devenir ton mec et toi ma chienne, j’ai de gros besoins tu sais, mes couilles se remplissent à toute vitesse »
Il me couvre avec un plaid trouvé au salon : «repose-toi, je reviens diner vers 21h30, j’apporte le repas, repose toi mec, je t’aime.»
Ce dernier mot m’achève, je n’ai plus de copain depuis neuf mois, cette perspective affole mon imagination. Je sombre dans un sommeil réparateur, j’ai deux heures 30 avant le repas… je suis en lévitation, en plein bonheur…
Si vous voulez une suite, écrivez moi.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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