Cela fait bien une heure qu’il est attablé dans ce fastfood avec 3 filles toutes plus excitées les unes que les autres. Cela fait une heure aussi qu’il me regarde déjeuner d’un œil discret, sauf que vous savez toujours quand vous êtes observé. C’est un étudiant, un peu boutonneux, petit pantalon rouge bien serré tenu pas une ceinture beige, chevilles apparentes sur des socquettes blanches, chaussures Adidas bien bariolées. En haut c’est un teeshirt bien moulant sur de jolis petits pectoraux. Il est clairement efféminé parle en faisant de grands gestes, et s’esclaffe tout le temps. Visiblement il me mate de manière insistante, il a vue sur mon paquet qui le fait saliver. En le fixant, je me lève et me dirige vers les toilettes. On est à Berlin, les pissotières sont un mur en zinc ou s’écoule un filet d’eau en permanence. Je m’installe, sors ma queue (13x4) au repos et commence à me soulager, je ferme les yeux. Une autre main retire la mienne et tient ma bite qui pisse à n’en plus finir. Je garde les yeux fermés, la personne me tourne un peu et une bouche gobe mon engin. Le contact de sa langue autour de mon gland déclenche le gonflement de mon gourdin qui fait maintenant 21x6.5, mes couilles se resserrent automatiquement. Je garde les yeux fermés. Le gars sait y faire, il lèche partout, aspire ma queue, me branle en même temps, je m’appuie à un mur, le bassin en avant m’abandonnant à cette pipe magistrale.
Je veux saisir sa tête pour mieux m’enfoncer dans sa gorge, mais il retire mes mains. Un gars entre dans les w.c. et je l’entends rigoler, toujours les yeux fermés, je sens un autre gland cogner à la bouche de mon mignon. Le contact de ce gland sur le mien rend mon souffle court. Mon voisin de pipe pose son bras gauche sur mes épaules. On forme ainsi un duo de bite pour cette bouche gourmande. Derrière la porte des w.c., on entend deux filles qui gloussent, qui rigolent ayant compris la situation sans la voir. Le suceur redouble d’efforts, je sens la sève monter, je dis « i’m coming… » à ce moment le mec fait une gorge profonde, j’injecte directement dans son gosier plusieurs jets de sperme bien chaud. Il me masse les couilles pour être sûr de tout prendre. J’ai émis un grognement viril, mais garde les yeux fermés, je touche le paquet de mon voisin qui est dans la gorge du gourmand, je lui masse les couilles par derrière, lui se vide avec trois petits cris graves. Quand j’ouvre les yeux, je vois juste une jambe de pantalon rouge qui passe la porte. Les deux filles et le gars remontent les escaliers en rigolant aux éclats. Mon voisin de pipe me fait un clin d’œil rentre sa queue dans son pantalon, me fait une bise sur la bouche et remonte. Quand je me rassois à ma table le joli garçon est tout rouge, les filles le branchent visiblement, il me fixe encore en se léchant les lèvres. Toute la table se lève, je regarde le pantalon du jeune qui est barré d’un bel engin, avec une grosse tache humide vers la hanche. Une fille délurée lui touche la barre… Il me fixe en mettant son blouson, en se soulevant la bite avec un cri à la M. Jackson.
Moi je baisse les yeux, par pudeur vu l’âge du jeune. Je sors du restaurant juste le temps de l’apercevoir au volant d’une Peugeot. Deux filles dans la voiture me regardent en rigolant, celle qui est devant fait la gueule. Je suis rassuré sur l’âge du jeune conducteur et étonné par la liberté de ces jeunes, c’est vrai qu’en Allemagne c’est plus facile, en France les gens sont trop coincés. Je rentre à mon hôtel qui est juste à côté, les yeux bien cernés. Je m’affale sur mon lit. Les couilles vidées, je me rappelle qu’un mec doit venir me voir dans 1 heure, contacté par l’appli G… r. Je coince la porte de ma chambre avec une serviette, je me couche tout nu, éteins la lumière, seule celle du couloir fait un rayon dans ma chambre.
Dans un demi-sommeil j’entends la porte qui se ferme. Dans le noir relatif, j’entends un mec qui se désape, le clic de son ceinturon me rassure, il retire le drap et s’allonge à côté de moi. Sa grosse queue repose sur ma cuisse gauche, il sent très bon, je décide de faire ma salope très passive. Il marmonne des trucs en allemand, je comprends à peu près « relève tes jambes ». Je sens deux genoux près de mes fesses, un tube de gel qu’il m’enfonce dans mon anus, et une queue qui tente une pénétration. Je pousse pour faciliter l’entrée de cette grosse bite. Il est à l’horizontale, mes jambes souples reposent sur ses hanches, il m’embrasse profondément et en même temps enfonce sa grosse queue. Je respire fort dans sa bouche, mais il ne lâche rien.
Je touche son corps, ce mec est un petit format, très musclé, peu poilu, des fesses super fermes, des hanches étroites et un coup de queue très viril. Il se laisse retomber sa queue saccageant mon cul, des petites couilles poilues chatouillent mon cul, la douleur a fait place au plaisir et sans me toucher je lâche mon sperme en gémissant. Lui aussi inonde mon cul en criant. Là je ne tiens plus j’allume la lampe de chevet, et là tous les deux on pousse un cri. C’est le petit mec du resto. Il rigole aux éclats, je lui montre les préservatifs… il me dit dans un français impeccable « t’inquiètes je suis sous prep et très clean ». Sa queue n’a presque pas débandé (ah les jeunes) elle est énorme. Un si petit mec avec une aussi grosse gaule m’étonne encore. On décide de prendre une douche ensemble, l’hôtel dispose de douches dans les chambres, mais aussi de douches collectives à l’italienne, on prend des serviettes, la carte de la chambre et nous allons nous doucher dans les collectives, ah la gourmandise. Ce gars est magnifique, bien musclé, ses abdos se contactent quand il me parle et quand il rit, il est très bien proportionné. Sa longue queue pend maintenant sur des petites couilles poilues. Il me sourit, et nettoie mes fesses et mon cul avec le savon, il insiste sur ma rosette, j’ai l’impression que du jus s’en échappe. Il fait ça face à deux autres mecs très bruns qui ne sont même pas étonnés sous leur douche. Un des beaux bruns vient vers nous et suce la grosse queue de mon baiseur, il me roule des patins profonds pendant qu’il se fait pépom. Il jute rapidement sur la gueule du brun et macule sa barbe noire et ses yeux avec de longs jets. On quitte les douches sur les deux bruns qui s’embrassent à pleine bouche. Cet hôtel doit être gay-friendly.
On revient dans la chambre. Moi un mâle de 45 ans avec un jeune mec de 21 ans. La nuit va être caliente. Il me dit qu’il aime les daddies virils comme moi. Je suis aux anges… bisous à mes lecteurs, sur le frein de leur queue, hi hi hi !
Dans la vraie vie protégez-vous svp.
LE7
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