Première saison | Épisode précédent (Saison 1)
Chapitre -01
Deux ans après, ma boite m’a supplié de revenir, elle n’a pas retrouvé une compétence comme la mienne. 30 % de salaire en plus de ce que je gagne actuellement, une prime d’intéressement. C’est tentant. Je me laisse faire et retourne dans la l’entreprise. Je suis reçu par le PDG, le responsable Rh et le comptable. Je suis reçu comme un VIP, on vient me chercher en voiture pour un très grand restaurant de ma ville, un fameux gastro. Le patron m’accueille à l’entrée du restaurant. « Bastien ! Vous nous avez manqué ! Heureux que vous acceptiez notre proposition ! » Il est tout sourire, poignée de main chaleureuse du patron, le responsable RH et le comptable me donnent une accolade virile. J’apprécie leur eau de toilette de grande marque et la dureté de leur torse.
On est dans un salon privé, une table ronde, 4 chaises. Les mets se succèdent, les vins me tournent la tête. Je me rends compte que j’étais plutôt apprécié. Aucune allusion sur le précédent stage très sexué. Mon expertise manquante a fait baissé le chiffre d’affaires de 20 % de l’entreprise, ce qui pour ce grand groupe est considérable, les clients changent de fournisseur quand ils apprennent que je ne suis plus là. Je suis bombardé responsable régional marketing et suis chargé de présenter un nouveau plan dans un mois. À la fin du repas, une enveloppe m’est remise discrètement « c’est la prime d’intéressement des deux dernières années… » Je ne bronche pas, mais en regardant le chèque à 6 chiffres, je me rends compte que je vais pouvoir m’acheter le petit appartement pas loin de la boite qui m’avait tapé dans l’œil. « Bien Bastien, on a réservé une suite, on va aller signer les contrats là-haut. On sera plus à l’aise » mon alarme intérieure résonne à fond ! Mon ange gardien qui a apprécié le chèque me calme de suite. Le garçon d’étage nous ouvre la suite impériale, 4 chambres qui communiquent, 2 salles de bains, 2 salons, une salle à manger, un jacuzzi sur un balcon discret. Seau à champagne de grand cru, de beaux verres sur un plateau d’argent et les petits biscuits qui vont avec. Je n’ai jamais été traité comme cela dans ce grand groupe très friqué.
Dès que le garçon d’étage est sorti, le boss me remet les exemplaires à signer, à parafer. Il m’offre un joli MONT BLANC (un cadeau personnel) et on signe ensemble, tous les quatre les contrats. « Bien messieurs je vous propose qu’on se repose un peu, on a un avion à 5 h à prendre “ taleur ” pour rejoindre le stage de cadre version 2017 » j’ai la plus belle chambre, avec une salle de bain attenante, je me mets en boxer et en peignoir et m’allonge sur le lit. Je m’endors de suite. Je me réveille soudainement, je sens une présence ou plutôt 3 présences, ils sont là entièrement nus, la queue à l’horizontale. Ils sont tous très athlétiques mes collègues, des abdos puissants, des cuisses larges, des pectoraux bien carrés. « Bastien, on n’oubliera jamais celle soirée là, on a tous les trois divorcé, on est accroc à ton petit cul. On veut que tu fasses partie de notre groupe, on vit tous les trois ensemble. Deviens notre femme s’il te plait, tu auras tout le fric que tu veux. Ce n’est pas vrai que notre chiffre d’affaires a baissé, bien au contraire il a été multiplié par 6 en deux ans. Mais les clients ne veulent négocier qu’avec toi. C’est eux qui ont payé ta super prime » j’ai le souffle coupé par ces trois hommes qui réveillent ma libido, par les confidences du responsable Rh, et par les deux autres qui opinent du chef. Je ne sais pas quoi dire, je me lève retire mon peignoir, mon boxer, ma queue tombe lourdement sur mes cuisses poilues. Le PDG se met à genoux et gobe mon gland. Les deux autres se galochent et m’invitent à grimper sur le lit. Ma queue est en feu, le PDG est passé à ma rosette, il a une langue incroyablement longue qui pénètre mon conduit. Il prépare mon cul aux futurs assauts. Je suce les deux autres glands en même temps, les deux mouillant beaucoup, j’avale régulièrement le nectar d’homme. On a tous les 4 la trentaine, sans enfants, riches et beaux. « Faites-le entrer, il est prêt », dit le boss au téléphone… les collègues se sont assis sur le canapé de la chambre. Leurs queues reposent sur leurs abdos. Le mâle entre tout nu. C’est le modèle du mâle rebeu, musclé à point, une gueule virile carrée barbe de 3 jours, des biceps veinés comme j’aime, des abdos bien secs, de grosses cuisses, un long filet de poils qui tombe sur un pubis taillé. Son zob est énorme. Environ 22x5 encore flasque, il ballote de droite à gauche. Il s’assoit sur un fauteuil et claque ses doigts. Je me sens visé, me précipite à 4 pattes comme une chienne, je me mets à lécher sa grosse bite qui se développe rapidement pour devenir un gourdin de 25x7. Je ne peux prendre qu’une seule de ses couilles en bouche à la fois. Il prend ma tignasse, me positionne sur son gland et m’enfonce son membre au-delà de ma pauvre glotte. Je tente de vomir, il me prend la tête à deux mains et coupe ma respiration en enfonçant sa bite. Il remonte ma tête au bout de 30 secondes. Je reprends ma respiration bruyamment, l’autre rebeu me biffle, sa queue tellement dure me fait mal. Il me prend par la main, m’amène sur le lit, il me positionne à 4 pattes et me dévore le cul. Parfois il mord les fesses ce qui me fait crier. Les trois autres se sont assis à côté de moi, et me caressent sans cesse ; ils ne touchent jamais mon sexe qui pend lamentablement, un long filet de précum coule.
Le PDG me souffle à l’oreille « vous allez kiffer cher ami, c’est un baiseur hors pair qu’on paye très cher, bonne bourre, c’est notre cadeau, il nous a tous enculés, c’est notre dieu » Un liquide froid envahit mon anus, puis un gland se positionne, je vérifie avec ma main qu’il a mis une capote. Je suis inquiet parce que son anulingus n’est surement pas suffisant pour la pénétration… mes collègues ouvrent mon cul en écartant mes fesses, il cause en arabe, remercie mes collègues et entreprend la pénétration. On me fait sniffer du poppers extra fort qui me tourne la tête, pendant ce temps-là le gland est rentré. Je hurle, une grosse bite viens dans ma bouche, le bel arabe me baise un coup en avant, un coup en arrière, un coup en avant plus loin, un recul qui m’arrache les tripes, en 10 va et vient, il touche le fond de mes entrailles. Tous les mecs font « mmmmmm quel enculé, c’est bien Bastien » il a temporisé, il s’est retiré d’un coup, nouveau gazage, je deviens fou, c’est pire qu’un fist, on injecte encore du gel à fist, et là mon bel arabe prend un rythme de croisière, il claque mon cul et me le détruit. Ses très lourdes couilles tapent les miennes. Il n’a pas de pitié, il me baise comme si sa vie en dépendait. Tout glisse trop bien maintenant, il souffle au-dessus de moi, je sens bien son corps, j’ai plein de mini jouissances, ma tête tourne ; il se couche sur le dos, mes collègues me positionnent sur lui, je me laisse pénétrer comme une chienne. Je suis accroc a son zob, je ne venge j’écrase ses couilles. Mon patron décroche le téléphone « c’est bon faites le rentrer » je panique essaye de me dégager, j’ai de suite capté l’évolution de la baise, le nouveau je ne vois pas je suis face à la tête de lit, on me gaze sans arrêt, j’entends qu’il s’équipe, un autre gland se présente à côté de celui de mon bel arabe… il rentre sans ménagement son gland, je hurle à nouveau, mais le mec ne se laisse pas impressionner, et m’encule entièrement. Il est moins gros que mon arabe, mais prend bien toute la place restante. Sans se coordonner avec mon premier baiseur, il me pilonne sans arrêt. Mon premier baiseur a un rythme plus profond plus puissant, il semble bien apprécier le frottement du nouveau, qui tire mes cheveux en arrière, me crache dans la bouche, creuse mes reins, me sens chienne. Les trois collègues me jouissent sur le visage, du sperme tombe sur mon bel arabe qui râle un peu, du coup il me défonce. Mon cul est ravagé, le plaisir est insupportable, je jouis en hurlant, je compresse leurs bites qui se mettent à cracher. Celui qui est au-dessus se couche sur moi, et saisit mon bel arabe pour une étreinte virile, il lèche l’intérieur de mon oreille et me provoque une mini jouissance…
Je me réveille, je suis tout nu, sur le dos, je sens un parfum délicat, mon cul est propre. Un drap en soie est posé sur moi. J’ai dû m’évanouir de plaisir ; mes trois collègues sont dans leurs chambres, j’entends leurs ronflements discrets. Il est 1 h du matin, encore 4 heures à dormir. Mes deux baiseurs sont allongés sur les canapés de ma chambre, tout nu, leurs queues dépassent le canapé et pointent vers la moquette. Je suis heureux d’être revenu. Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
Toutes les histoires de LE7