J’avais décidé en ce bel après-midi de juin de me poser dans le parc de ma ville, sur un banc, avec un bon bouquin, une bouteille d’eau. Je suis en débardeur, en short échancré, en converse blanches.
Je levais régulièrement les yeux pour voir passer un jogger torse nu luisant, paquet ballotant de droite à gauche, courant dans l’allée. Il devait faire plusieurs tours du parc. Il était simplement magnifique, très sec, des muscles noueux, des abdos parfaits, creusés au centre, sur un filet de poils bien noirs très discret. Ses jambes étaient glabres, ses puissants muscles des cuisses se dessinaient à chaque impact avec le sol. Cet homme dégageait une réelle puissance.
J’avais perdu depuis longtemps le fil de mon romans, pour me laisser aller à admirer ses courbes, ses muscles. Je n’arrivais pas à me concentrer, le sex-appeal de ce mec avait pris possession de mon esprit. Son smartphone fixé à son biceps droit, il écoutait certainement de la musique, le fil de ses écouteurs agressait régulièrement son corps, pffff. Est-ce cela le coup de foudre ?
Le comble de l’érotisme a été franchi quand il a bu sa petite bouteille d’eau au goulot, de l’eau fraiche s’échappait sur son torse après avoir dévalé son menton, sa pomme d’Adam, son cou, entre ses pectoraux, ses abdos pour se perdre dans son short et ainsi rafraichir un sexe déjà bien humide de sueur. Mais pourquoi s’arrêtait il précisément devant moi, en me faisant un sourire éclatant ? J’adorais voir son torse se soulever puissamment pour reprendre son souffle… et ses abdos se contracter quand il tousse.
J’avais chaud, très chaud, ce gars me mettait le feu de l’intérieur, j’avais ainsi une demie-molle bien visible que mon roman de poche avait bien du mal à dissimuler…
Il continua ainsi à tourner, agitant son sexe dans ce short trop petit, contactant tous les muscles de son dos puissant. A la fin du 30ème tour, il vint s’asseoir à côté de moi, ruisselant de sueur, les jambes bien écartées, il soufflait.
« Salut, vous devriez courir, ça fait tellement du bien, ça vide la tête et le reste… » Me dit-il avec un grand sourire.
« Oh j’ai bien couru hier, on a gagné un match de hand contre Nanterre. »
« Comment t’appelles-tu ? »
« Bastien pour te servir… et toi ? »
« Romuald, tu viens souvent ici ? C’est la première fois que je te vois… »
« Non c’est rare, je devrais venir plus souvent il y a de beaux spécimens à mater… j’habite juste devant l’entrée du Parc au rdc»
« Ah Bastien, tu me dragues là non ? Je suis hétéro, branché femmes»
« Un peu, je te trouve séduisant, magnifique… tu ne veux pas prendre ta douche chez moi, on est à 50m… ? Je te filerai des affaires pour te changer… je n’oserai rien faire avec toi »
« Ah c’est tentant… si tu me payes un coup à boire bien frais, je me laisse faire, mais en tout bien tout honneur… d’accord ? Je ne veux pas avoir de problèmes avec ma copine, je vais me marier dans un an»
« D’accord, ne t’inquiètes pas, je ne suis pas un prédateur pervers… »
Dans l’ascenseur qui nous mène au 5ème étage, vers mon studio, je ne peux m’empêcher de mater son short qui a du mal à contenir son sexe et ses deux copines… il porte à gauche visiblement, un très gros tuyau… il respire fort, comme s’il montait à pieds mes 5 étages. Il m’a grillé, il sourit simplement. Ce mec est d’une douceur et d’une élégance rares. Arrivés à l’appartement, je lui passe un gant, une serviette propre, un boxer et un short semblable au sien. Mon studio est équipé d’une cabine de douche, ainsi que d’un lavabo. Mon invité se déshabille en me tournant le dos, révélant un cul musclé et des hauts de cuisses légèrement velues à l’arrière. Il entre dans la douche, en fermant la porte vitrée j’entrevois son sexe, dimensionné comme un bâton de relais… hummmm, quand il se savonne il se tourne souvent vers moi, je suis au spectacle, j’aime ce savon qui ruisselle sur ce corps d’athlète, sur ce sexe qui a l’air de pisser, et toujours ces abdos qui travaillent… Malgré moi je bande façon taureau.
« Tu peux me passer la serviette s’il te plait ? »
Il est là devant moi, les yeux fermés, sa queue en demie-molle qui rebondit sur ses couilles, il est trop craquant. Je décide de le sécher moi-même, il se laisse faire, je frotte énergiquement sur son torse, sa tête, son dos, ses fesses, ses jambes, et luxe suprême, je sèche son sexe et ses couilles, même entre ses jambes.
Il me sourit tendrement, on frappe à la porte, c’est mon pote Thierry qui débarque…
« ca va les mecs tranquille ! Mais je te connais-toi ! Comment vas-tu ? »
Il se dirige vers mon invité, lui saisit la queue et l’embrasse sur la bouche. Je suis médusé, sans gêne, mon pote se mets à genou et pompe mon jogger dont la queue dépasse tous mes fantasmes…
« Tu peux me passer la serviette s’il te plait ? » « Tu peux me passer la serviette s’il te plait Bastien ? »
Ouf ce n’était qu’un rêve, je m’étais assoupi. Mon invité se sèche avec application, j’ai aimé quand il s’est décalotté devant moi, quand il a séché le tunnel en haut de ses cuisses… que des moments d’un érotisme fort.
Il a réajusté son paquet avec mon boxer Calvin, ça lui fait vraiment un très gros bulge ! Le mini short accentue cette grosse bosse, on s’assoie sur le canapé, je lui tends son coca zéro.
« Merci mec tu es vraiment sympa Bastien, tu as une copine ? »
« Nan j’ai un régulier qui me baise 2 fois par semaine, et un que je baise entre les deux fois… »
« Ah ok… tu es versa» Un long silence s’en suit… « Je n’ai jamais fait avec un mec, j’aimerais bien essayer… »
Je me penche vers lui, je lui saisis la nuque et lui roule la galoche de l’espace à en voir des étoiles !
Puis lentement je vais chercher les capotes, du gel et du poppers, je me mets tout nu, à genoux sur le canapé je lui lance « vas-y mec fais toi plaise » je me gaze deux fois, m’enduis de gel et prend une pose bien cambrée, il ne lui a pas fallu longtemps pour revêtir une capote et me pénétrer… j’ai vu une deuxième fois les étoiles, son énorme queue m’a presque déchiré.
« Whaaa comme c’est bon, c’est mieux que la chatte à ma meuf, putain tu es serré, c’est chaud… je vais te défoncer ma couille ! » il se met à me baiser avec puissance, ressortant sa queue presque à chaque fois, puis me pilonnant à toute vitesse, puis ressortant son membre complètement pour mieux m’enculer jusqu’au fond. Je suis complètement dominé, ses lourdes couilles ravagent mon scrotum, il se couche sur mon dos et me baise à fond sans s’arrêter, j’ai senti sa queue jouir dans la capote, et ma queue se libérer de 4 jets de foutre bien blanc. Il m’a pris par le bras et m’a entrainé dans la douche, où on s’est rincés tous les deux. On s’est allongé sur mon lit, comme çà, trempés, et on s’est endormis enlacés.
Il est devenu un régulier de plus qui passe quand il veut… je l’aime mais je ne lui ai pas dit encore. Il a pris des distances avec sa copine, le mariage n’est plus envisagé… j’ai mes chances… vous voyez comme le hasard peut faire basculer une vie… je nage dans le bonheur.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
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LE7
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