J’ai fait mon service militaire l’année de mes 20 ans. Je me retrouvais dans un grand dortoir, mon lit était en plein milieu de la salle, on avait nos armoires le long des murs.
Toutes les nuits, je jouais avec le frein de ma teub, juste en le massant, j’arrivais à éjaculer, il est bien loin ce temps. J’entendais mes copains se branler aussi, quelques gémissements les trahissaient. Le matin on se lavait au lavabo de grande taille, à l’eau froide. J’avais toujours le même voisin à côté de moi, un bel apollon, de mon âge, toujours en slip, hyper bien monté. La mienne était bien plus modeste, 17x5, la sienne le matin avait du mal à dégonfler.
Sa barbe était bien formée, son corps poilu aussi. Il se mettait tout nu devant le lavabo et se lavait à l’eau froide, son gant passait de partout, j’adorais quand il passait sous ses couilles et qu’il se lavait le cul.
Lui « Lave toi au lieu de me mater, retire moi ce caleçon, petite bite »
Je lui obéissais, en soufflant à cause de l’eau froide, celle-ci rétrécissait ma bite à sa plus simple expression.
Lui rinçait son gant, il me lavait le dos et les fesses, en échange je lui faisais pareil. J’avais observé que si j’insistais sur ses reins, il développait une demi-molle assez énorme. Quand c’était mon tour, il kiffait passer le gant sur mon trou, pour ne pas se faire brancher par les autres hommes, je retirais sa main, lui rigolait.
Lui « Alors ma petite tapette, ton cul a l’air bien ouvert, vous avez vu les gars ? » plusieurs insultes fusaient, les gars quand ils sortaient, ils me mettaient un doigt au cul sans aller plus loin.
Mes parents souvent en déplacement, je restais le week-end en pension, c’était des après-midi cinéma, glaces et bières. Le soir on se retrouvait à 4 dans ce grand dortoir, sans surveillant, lui-même en week-end…
Je me réveillais souvent avec une grosse bite qui forçait mes lèvres, et une langue qui agaçait ma rondelle, plutôt frêle à l’époque, les gars me positionnaient à leur guise et me baisaient par tous les trous. Ah la belle époque sans sida.
Ils jouissaient plusieurs fois, ne débandant pas. On sautait le petit déjeuner, dormant jusqu’à midi. Les 4 gars trop gentils me lavaient eux même au lavabo. On formait un bon groupe, respectueux des autres.
Un samedi soir, les mecs avaient rapporté du vin rouge et des bières. Ils avaient mis un contrat sur moi. Ils m’ont fait boire plus que de raisonnable. J’étais bien gai, bien gay aussi. J’ai découvert cette nuit-là, 3 queues en moi, deux dans mon cul et une en bouche. J’ai bien morflé quand il a fallu entrer la deuxième queue pour une double péné. Une grosse queue dans ma bouche étouffait mes cris. Dans mon cul, les queues distendaient mes chairs, avec l’alcool je perdais la notion du temps, les mecs soufflaient comme des bœufs, me pilonnant avec violence. J’étais soumis, genre lope, mon anus explosé, mon colon rempli, ma gueule tapissé de jeunes jus.
Un sommet a été franchi le lendemain soir, alors que deux queues étaient moi, facilement introduite grâce à la vaseline, le 4ème copain avec une queue très longue, 24cm, assez fine, il força le passage pour retrouver ses deux copains en moi, j’ai fait un court malaise, me sentant déchiré, j’ai joui énormément, sans me toucher, le copain sur lequel j’étais, râlait, il ne voulait pas de sperme sur lui. Il raclait ce qu’il avait sur lui et me le mettait en bouche.
Tous m’embrassaient tendrement, mais me défonçaient la chatte, quand ils ont joui, leur queues sont sorties à cause de la vaseline et de leur jus. J’ai senti un vide, avec un air frais qui entrait en moi. Je me retrouvait avec sur mon lit une flaque de jus, que je dus éponger avec une serviette. Mes trois hommes, m’insultaient, quelque chose était cassé, j’étais devenu une pute, une moins que rien, j’avais perdu mon honneur.
Les regards vicieux des autres hommes dans la caserne, les messes basses et les éclats de voix, les rires, les gestes déplacés sur mon cul, les propositions indécentes, m’ont fait connaitre d’autres expériences viriles. Certains restaient même le weekend pour se vider, la hiérarchie n’en n’a jamais rien su, enfin je croyais. Jusqu’à ce qu’un copain m’ait avoué plus tard, que le chef de ma division fermait les yeux, j’étais un service public qui calmait les mecs fougueux qui ne retournaient pas chez eux. Quand je rentrais chez les parents, je ressortais le soir pour retrouver deux mecs bien bâtis en mal de baise hard. J’y ai découvert la baise en sandwich, j’étais au milieu et je faisais bien couiner le mec de devant.
Puis j’ai viré ma cuti dans l’autre sens …
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
Merci de laisser vos impressions.
LE7
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