J’ai passé tout mon deuxième cycle en internat, au début on dormait dans de grands dortoirs, puis pudeur oblige dans des chambres de 2 lits. J’avais la chance de partager une chambre avec un pote avec qui je m’entendais bien nous avions tous les deux 19 ans, Charles, breton de naissance. La chambre était assez spartiate, deux lits, deux armoires, un lavabo, deux bureaux avec une lampe, deux autres chaises, et deux étagères au-dessus du bureau. Une lampe nue au plafond coiffée d’un béret en métal diffusait une lumière crue, on ne l’allumait jamais. On avait des douches communes à 6 pommeaux, on se retrouvait tous les deux seuls, on préférait se doucher, seuls, quand le coup de feu était passé, vers 21h30.
On partait en pyjama, savon et serviette sous le bras. On ne mettait pas de slip, juste la veste et le pantalon de pyjama, où flottaient nos queues de jeunes hommes, elles ballotaient, on en rigolait souvent car elles s’échappaient souvent par la braguette. Il n’y avait pas de cabines, une pièce moyenne, 4m de large, froide, carrelée du sol au plafond, avec une grande dombe d’évacuation au centre, on pouvait se mater sans retenue, enfin discrètement.
Mon pote, Charles, avait fini sa croissance, une barbe bien drue, bien fermée, des poils sur le ventre, un filet de poils noirs imposant (j’adore ça vous le savez), des cuisses larges bien noires aussi, une coupe de cheveux destroy, il jouait au foot et au hand, ces deux sports avaient sculpté son corps, il avait une démarche de félin, un peu chaloupée, très virile, sa peau était satinée souvent agressée par un système pileux broussailleux.
On se frottait le dos mutuellement, en bons copains, des fois je descendais jusqu’aux fesses pour kiffer, il se retournait aussitôt, et frottait le mien énergiquement. Il avait toujours une demi-molle sous la douche, la chaleur de l’eau, la promiscuité, certainement mon corps d’athlète… (Et alors ! Allez vérifier maintenant…mdr) je jouais comme lui aux deux sports. Son membre était très épais, il descendait à mi-cuisse, il rebondissait sur de belles couilles bien poilues. J’adorais ses biceps et ses pectoraux. Ce que j’adorais le plus, c’était quand il perdait son savon et qu’il se penchait pour le ramasser : ses cuisses très musclées tendues, son ventre abdos cassés, le tunnel de ses cuisses avec la grosse boule de ses couilles d’homme, ses belles fesses qui s’écartaient sur une rosette bien rouge et sa respiration quand il remontait… je me retournais car je bandais taureau de suite. Il le voyait, petit sourire en coin, un brin narquois…
Régulièrement, on se branlait chacun de notre côté, face à face, pour calmer nos hormones juvéniles, on se branlait sans pudeur, sans complexe. On s’atteignait souvent, c’était un jeu, le fruit de nos orgasmes partait en pure perte dans les égouts casablancais. On n’a jamais été chopés, faut dire qu’on en imposait. J’avais toujours plus de réserve de jus que lui, deux ou trois jets en plus. On se marrait comme des frères. La sienne était bien plus grosse que la mienne, elle me faisait envie, mais pudeur de l’époque, je n’ai jamais fait de gestes déplacés. Je ne voulais pas casser cette complicité, notre amitié.
Enfin il se séchait énergiquement, il ne faisait pas très chaud ! La danse de sa queue molle malmenée me faisait rêver, je m’en souviens encore. Souvent il ne remettait pas sa veste, on déambulait dans les couloirs, sexy, parfois on croisait des profs pervers, petits vicieux, qui devaient saliver.
On dormait nus, ça va sans dire, même pas de slip, il faisait chaud dans cette chambre, en dormant il se découvrait souvent, je me masturbais toutes les nuits aussi quand je pouvais apercevoir son sexe en érection dépassant son nombril poilu, je jouissais quand je voyais son cul. Mon plaisir atteignait toujours mon visage, ma bouche se délectait de mon propre jus bien épais, puis je sombrais aussi sec.
Pour fêter mon anniversaire, mes parents avaient obtenu une sortie nocturne au restaurant, où j’avais invité Charles. Les mets marocains étaient délicieux, pastilla, cœur de pastèques, tomates à la marocaine, méchoui, thé à la menthe et pâtisseries. Ça nous changeait bien de l’ordinaire de la cantine, j’avais eu en cadeau une radio portative et une bouteille de champagne de la part du restaurant.
On est rentré à regrets à l’internat, le gardien nous attendait, toujours gentil, il nous a escorté jusqu’à notre bâtiment. On s’est douchés avec le même protocole, sans nous branler cette fois. Il était minuit et demi, on a traversé les couloirs, nus comme des vers, j’adorais voir son petit cul ruisselant.
Dans la chambre on a chahuté avec nos serviettes de toilette, je l’ai ceinturé. « Mais au fait on boit la bouteille ? » me demande t’il…
Nus, assis sur nos serviettes, au sol, on a bu le champagne au goulot, en rotant comme des porcs et en rigolant. J’étais charmé par mon pote, certainement un peu pompette, je me caressais les couilles, ma queue prenait de l’ampleur jusqu’à bander de ouf. Il allongea son bras et saisit mon membre. On ne m’avait jamais touché, je fermais les yeux, sa douce main me caressait, j’étais essoufflé, d’un coup mon gland était enveloppé par sa bouche. Je poussais un cri, m’adossait au lit, avançait mon bassin. Ma première fellation fut divine, ce mec-là était expert, sa bouche serrait ma queue, ses coups de langue sur mon frein me faisait sursauter de plaisir. Je caressais sa tignasse, tenait sa tête pour ne pas jouir de suite, ma jeunesse a eu le dessus, j’explosais dans sa bouche, il ne se retira pas, je l’entendais avaler mon nectar.
Il se leva d’un bond, ouvrit ma bouche délicatement et introduisit sa lourde queue, il était doux, il ne força pas ma gorge, il pilonna mes joues de l’intérieur, malgré la douche, sa queue sentait l’homme, je kiffais ce gout viril, je posais mes mains derrière le haut de ses cuisses, où c’est le plus poilu, je léchais son gland avec avidité, son sexe était en béton, il mit ses mains derrière ma tête et enfonça sa queue dans ma gorge. Il gémissait, il se vidait en moi, j’étais étonné, je pensais être étouffé, sa queue éjacula 5 fois, il se retira, enfin je connu le sucré de son sperme, je rebandais aussi sec. Il s’agenouilla devant moi, ses couilles pendaient outrageusement sous lui, il prit ma bouche et me viola de sa langue puissante. D’une main je tenais sa tête, de l’autre je déposais des mollards sur son trou, je positionnais mon gland sur son trou, sans rien dire, mais dans une plainte horrifiée, il s’asseyait sur mon sexe. Très serré, il dû s’y reprendre à plusieurs fois. Je le serrais contre moi, sa queue sur mes abdos, il réussit à absorber mon membre. Ma queue et ma langue en lui, il commença à sauter en écrasant mes couilles. Je ne mis pas longtemps à le féconder en serrant les dents. Lui se vidait sur moi, mon torse était trempé, gluant.
Grâce à Charles, je connus ma première sodomie, lui aussi n’était plus vierge. Cette nuit-là on a dormi ensemble. J’ai refusé qu’il me prenne, sa queue me faisait peur, alors je l’ai défoncé encore 3 fois dans la nuit, dans toutes les positions. Ça y est j’avais un mec, un copain, on était fusionnel « ils sont inséparables ces deux-là », des filles et des gars faisaient des messes basses dès qu’on apparaissait… on s’en foutait. On a tellement bossés ensemble, qu’on a eu quasiment les mêmes très bonnes notes au BAC et la mention Bien.
On est rentré en France avec nos parents, lui en Bretagne et moi à Bordeaux. La distance était trop grande, je ne l’ai jamais revu.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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