En déplacement à Montpellier, je prends une chambre au première classe du quartier Mauguio. Je récupère ma clé à la réception et me dirige vers ma chambre. Un grand type bien baraque me suit, il est au même étage la chambre d’à côté. Les épaules très carrées, un petit cul très étroit, des bras volumineux il se déplace tel un félin. On ouvre la porte de nos chambres en même temps. Je lui fais mon plus beau sourire et entre dans ma chambre.
Ma porte ne claque pas. Son pied la bloque. Il entre dans la mienne, me force à m’assoir sur le lit, déboutonne sa braguette et sort une grosse queue. J’ouvre la bouche, son sexe sent le mâle, il occupe bien toute ma bouche. Je sens les vagues de sang qui font gonfler ce monstre. Il a fermé les yeux, prend ma tête et enfonce sa queue au maximum. Ses couilles tapent mon menton. Elles pendent très bas, j’essaye de saisir sa queue, ma main est trop petite, je le branle en le suçant, il aime quand je décalotte son gland et que ma langue fait le tour. Je suis très impressionné par ce gourdin qui doit bien développer 24x7, une masse de chair chaude et palpitante.
Je retire mon blouson et mon sweat, torse nu je suis plus à l’aise pour faire plaisir à cet homme puissant. Je le branle avec ma main droite et avec la gauche je soupèse et masse ses couilles. Je baisse son pantalon et découvre des jambes glabres, musclées. Elles sont très douces à caresser. Il gémit, mes caresses à l’intérieur de ses cuisses le font bander davantage. Il va jouir, j’ouvre la bouche en grand, ma langue titille le frein de son gland, il souffle très fort, je pose son gland sur ma langue, 6 jets de jus épais envahissent ma bouche. J’avale au fur et à mesure ce nectar sucré.
Je kiffe les soubresauts de son membre quand il jouit. Épuisé, il s’allonge sur le lit à côté de moi, il souffle. J’en profite pour me rincer la bouche. Ses couilles sont toutes serrées. Sa chemise relevée découvre un ventre plat, séparé en deux par un filet de poils très fins. Son gros membre repose maintenant sur sa cuisse gauche, il n’a presque pas débandé. D’un bond, il se relève et quitte ma chambre. Je suis quant à moi encore troublé, mon sexe appelle un soulagement, je décide de temporiser, de prendre une douche et de faire une petite sieste. Je dois rester une semaine dans cet hôtel. Vers 20h alors que je m’apprêtais à sortir, on frappe à la porte discrètement.
C’est lui, il est en short, torse nu, il entre, me roule une pelle, me pose à genoux au bord du lit, baisse mon froc et mon slip, graisse mon trou, et me pénètre lentement. Je vérifie, il avait mis une capote… organisé. La grosseur de sa queue cause des ravages dans mon petit cul bien sage et inoccupé depuis plus de 1 mois. Je grimace et geins très fort, le plaisir remplace la douleur, ses va-et-vient très profonds sont puissants. Je suis au bord de la jouissance, sans jamais me libérer, ma prostate est en vrac, mes sphincters sont distendus au max… quel homme !
Il ne s’est pas occupé de moi, il a pris son plaisir sans un mot. Il a dilaté mon conduit au possible, j’ai dû mettre une crème apaisante après. Il a rempli la capote, fait un nœud, la jette à la poubelle et regagne sa chambre. Je suis allé diner au chinois à côté de l’hôtel, j’ai du mal à marcher. Je n’ai toujours pas craché. Salop !
Il m’a remis une cartouche vers minuit, en tambourinant à la porte ! il me branlait en même temps d’une façon mécanique, j’ai joui sans maitriser, même après ma jouissance il me branlait à me faire mal. J’ai dû retirer sa main. Lui s’est libéré délivré en deux coups puissants contre mes fesses et en grognant façon yéti. La capote était pleine encore. Pareil il a regagné sa chambre sans un mot. Serait-il muet ? Ce mec a des besoins de dingue… je suis épuisé, dilaté, distendu, irrité du conduit mais comblé. Vivement demain.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps ! Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios.
LE7
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