Tout le monde prit place dans la salle de réunion, pour ce stage technique informatique de gestion de serveur. Le formateur était en retard, rien d’étonnant, il vient de la grande ville voisine, et à cette heure-ci les embouteillages sont nombreux. Je suis tout seul au fond de la salle, sur un poste informatique avec un grand écran, la quinzaine de stagiaires, sont tous devant moi. Ils sont tous occupés comme moi à tenter de se connecter, je les renseigne sur la méthode qui fonctionne, générant une satisfaction de l’assemblée. J’acquiers de suite une aura de sauveur qui me sera utile pour ces deux jours de stage. Soudain la porte s’ouvre pour laisser passer M. Dupont Alexandre, maître de stage. J’ai le souffle coupé en l’observant. C’est un homme de 1m85, je dirais 75 kg, 25/30 ans, très mince, élancé, un maillot de corps moulant des pectoraux bien dessinés, une touffe de poils s’échappe de son cou, ses avant-bras sont très bruns, et ultime supplice, une veine qui sépare ses biceps en deux; on distingue ses abdos qui plissent le maillot, si je descends plus bas le bulge est indécent de puissance et de volume, son sexe a du mal à se dissimuler, il est à l’horizontale, vers la droite… j’ai du mal à reprendre mon souffle, une collègue qui me connait bien, s’est retournée et se marre en voyant mon état… Mon popaul est au garde à vous, chacun se présente en se levant, quand arrive mon tour, j’essaye de rester assis, mais c’est sans compter l’intervenant qui me demande de me lever car il ne me voit pas bien. Ma collègue manque de s’étouffer quand elle voit ma braguette, elle tape du coude sa voisine qui se marre à son tour. Fines mouche elles ont compris les coquines. « J…je je m’ap m’appelle Bast Bastien, je trav je travaille à Lyon au dép dép département infor inf informa tique… »
Lui me décroche un sourire éblouissant, sa dentition est impeccable, il n’a pas pu ne pas voir mon état, je voyais ses yeux faire des allers retours entre mon visage et mon pantalon. Il me remercia et commença le cours. Aux travaux pratiques, j’étais tellement fasciné par ce type, que pour ne pas être largué, je dû faire appel à lui souvent: il venait rapidement à ma place, se penchait vers moi pour taper sur le clavier en m’expliquant, très professionnel, la procédure. Il sentait l’eau fraiche, un mélange de lavande et de fleurs des champs. Ses biceps tendaient le tissu de ses manches, gonflant encore plus cette veine très virile. En se penchant je sentais sa chaleur, et ce très léger essoufflement. Je me demande encore s’il l’a fait exprès, mais en m’expliquant une solution, il souleva avec sa main droite légèrement son maillot, découvrant une broussaille brune débordant de son nombril. J’étais à la torture. A midi au restaurant, il prit place face à moi, la plupart du temps je fixais mon assiette ou discutait avec ma voisine de copine, qui sans gêne me parlait de lui… toutes les filles bavaient sur lui, si je bandais, elles devaient mouiller grave de chez gravounet… La reprise du stage fut une délivrance, ma tension était retombée, popaul s’était enfin calmé et j’ai bien pu avancer dans le programme du stage. Hormis son physique, c’était un excellent pédagogue, qui se mettait à la portée de tous ayant des petites attentions pour chacun. Y compris quand il posa ses mains sur mes épaules pour s’adresser à la classe, personne ne le vit, trop occupé à fixer leur écran personnel… m’avait-il gaulé, je le pense.
« Bien, ça sera tout pour aujourd’hui, on a bien avancé, on se retrouve demain à 9h30, passez une bonne soirée. »
Je me retrouvais à sortir en dernier, il m’interpella :
« Bastien, je crois que vous couchez à l’hôtel ce soir ? »
« Oui je suis au Novotel au bout de la rue »
« Ah comme moi, on peut diner ensemble si vous le souhaitez… »
« Sans problème, on se retrouve vers 19h30 au bar de l’hôtel… »
« Très bien à tout à l’heure alors »
Avouez que je l’aurais cherché ça n’aurait pas fonctionné… je marchais dans la rue d’un pas léger, arrivé dans ma chambre je m’allongeais 40mn pour une petite sieste, je pris une bonne douche, une belle chemise blanche, un jean 501, des Nike fashion, une petite veste… il était déjà au bar, devant une bière brune et quelques olives. Il m’offrait la même bière, on se dirige vers le restaurant de l’hôtel pour un repas sur le pouce, assez vite avalé. « Bastien si tu veux goûter du rhum arrangé, j’en ai rapporté de Guadeloupe… » Je sentais le traquenard, mais me laissais faire.
J’avalais trop rapidement le rhum, la tête me tournait de suite, ma vue se brouillais, Alex se mettait à l’aise, deuxième séance de torture. Il retira devant moi son maillot, sa toison brune me sautait au visage, il s’approcha de moi et retirait ma chemise lentement. Il balança ses shoes dans la chambre, déboutonna son pantalon et se retrouva en slip. Ses jambes poilues achevèrent de m’exciter, je me retrouvais en un clin d’œil tout nu, popaul à l’horizontale. Sa queue en érection barrait son slip sur la droite pour dépasser sa hanche, très humide au bout, sa queue et sa grosse veine déformaient outrageusement le slip. Je me précipitais à genoux, mon visage face au gros paquet, je descendais le slip et me prenait sa grosse teub sur le visage, bifflé sans faire exprès, il ouvrait ma bouche et enfonça jusqu’au bout son sexe dans ma gorge. J’avais envie de vomir mais je résistais. Il me prit la tête et enfonça encore plus sa queue, je ne pouvais plus respirer, il me laissa devenir cramoisi, et me libéra quand je fus au bord de la syncope. Il prit pitié de moi, me plaqua contre le mur, graissa mon cul, enfila une capote, me souleva comme une plume, mes jambes autour de sa taille, son sexe entra en moi naturellement, il appuya sur mes épaules et s’enfonça en moi jusqu’aux couilles. Bizarrement je n’avais pas mal, mais je me sentais rempli de ce membre palpitant. Il s’empara de ma bouche, et me baisa comme ça contre le mur, le voisin de chambre devait entendre nos corps cogner contre la cloison. Je kiffais sentir cette grosse queue coulisser en moi, les poils de son torse agressaient le mien ; on passa du mur au lit sans me séparer de lui, il me pilonna violemment comme s’il voulait me fendre en deux. Je gémissais fort en permanence, saisissait ses hanches pour qu’il aille plus loin encore. Il me baisa ainsi pendant 35 minutes sans s’arrêter. Il était très endurant, puis son rythme s’accéléra, je jouis sans me toucher, lui décula, retira la capote et enfonça sa queue dans ma gorge et me féconda sans perdre une goutte. Je sentais son jus couler dans mon gosier, en prenant mon pied. J’avais ce que j’avais recherché toute la journée. On se doucha ensemble, il fut très tendre, sa queue ne débandait pas, il me prit encore dans la douche, doucement, sa queue envoya quelques giclées directement sur mes cuisses. Le lendemain, on avait tous les deux une tête de déterré, des cernes trahissaient la nuit de folie, pendant laquelle il me baisa encore 2 fois. Mes collègues me fixaient d’un regard très entendu… elles ont su ce qu’elles voulaient savoir à la pose, un peu déçues qu’il soit gay, mais contentes pour moi. J’appris qu’il habitait à 15km de chez moi…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
Merci de me laisser vos impressions sur l’histoire à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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