Pour me faire un peu de thunes, à 20 ans j’ai pris le job de père Noël dans un grand magasin parisien. C’était extrêmement bien payé, avec des chèques cadeaux, une grosse réduction sur le magasin et une grande considération de la direction. On était deux à faire le job. Rendez-vous immuable le matin vers 10 h dans un bureau pour se changer, avec mon compère Maxime, 22 ans, grand sportif gaulé comme une statue grecque, avec un organe largement plus grand… un oreiller pour ventre factice nous tenait chaud, et la tentation de bouloter des papillotes toute la journée était grande. Elles étaient délicieuses. Assis sur notre trône à l’opposé chacun du magasin, et à des étages différents, ce n’était pas un taf très fatigant. Heureux de faire plaisir à des bambins, certains hurlaient en me voyant, d’autres étaient impressionnés… moi j’étais plutôt intéressé par les papas. Le plus souvent des trentenaires bien sur eux. Sans arrière-pensées scabreuses, pour un ou deux j’avais bien quelques idées derrière la tête. Je précise que les mamans étaient charmantes aussi, bienveillantes avec leurs progénitures…
Vers 21 h on retournait au bureau/vestiaire pour se changer. Il y avait une douche dans le bureau, Max la prenait en premier, il déambulait sans complexe à poil, la porte vitrée de la douche ne cachait rien de son anatomie, assis sur un fauteuil en boxer je matais pendant un quart d’heure ce beau mec. L’eau chaude gonflait un peu son sexe, un bon 19 cm large. Quand il se penchait pour laver ses pieds, comme dire, j’étais à la fête, son anus découvert et sa paire de c… au grand jour. Son dos puissant me faisait rêver également très musclé, ils bougeaient dans tous les sens. Il sort de la douche et se sèche les cheveux avec la serviette, sa queue bouge dans tous les sens. « arrête de me calculer Bastien, je suis plutôt branché femmes, tu le sais… » « Oui je sais… c’est bien mon drame, no zob in job, mais je sucerais bien ta grosse queue et tes couilles qui ont l’air bien pleines » « ouais, là tu as raison, je suis à nouveau célibataire depuis 3 semaines et je ne me masturbe jamais. » Cette remarque me met dans tous mes états. Ma queue va craquer mon boxer c’est sûr. Il me la montre du doigt, siffle un coup et éclate de rire « oui je te fais de l’effet apparemment, le père Noël serait-il un gros pervers ? » ajoute-t-il mdr. Sans complexe je baisse mon boxer et me dirige vers la douche. J’adore l’eau chaude sur mes couilles, j’en profite donc pour me faire du bien. Maxime prend ma place sur le fauteuil, il reste en boxer. Son paquet est impressionnant, très viril. Le filet de poils qui part du nombril me désigne le chemin vers son chibre… je sors de la douche, tout propre. Maxime s’avance vers moi, il a des yeux bizarres, un regard de pervers. Il saisit ma queue et la branle doucement. Elle grossit dans sa main, il approche son visage et embrasse doucement mes lèvres. Ce grand type, hétéro, viril, macho est en train de se faire plaisir. Il veut se vider visiblement. L’occasion est trop belle, je m’agenouille, retire son slip et gobe ce glaive palpitant. « oh que c’est bon putain mec, tu suces mieux que mon ex ! vas-y vas-y fais toi plaise » il est exact que j’y vais de bon cœur, je mets une main par derrière en haut de sa cuisse droite, très poilue à cet endroit. Il aime trop, ma bouche remplie de mouille et de salive fait un bruit de succion. Je caresse l’intérieur de ses cuisses et touche ses couilles par-derrière. Il râle de bonheur. J’adore caresser ce beau mec. Il est doux avec moi, il ne tente pas de gorge docile, j’accélère la masturbation de cette belle bête. « max putain je vais… » il n’a pas le temps de finir… il remplit ma bouche de son jus d’homme. J’avale au fur et à mesure, ses éjaculations sont puissantes et fournies. Ses jambes tremblent. Il s’assoit sur le fauteuil, je garde son gland très sensible en bouche pour lécher tout autour. Reconnaissant il caresse tendrement mes cheveux. « Putain on ne m’a jamais pompé comme ça mec, tu veux me faire virer ma cuti ou quoi ? Tu fais quoi ce soir ? Tu passes la soirée avec moi ? » . Je tombe sous le charme de sa voix très grave. Il me dit qu’il n’embrassera pas, mais il a quelques idées.
J’ai du mal à débander, je la cale comme je peux, à l’horizontale. J’ai kiffé faire du bien à cet hétéro pur bœuf, c’est une petite victoire pour nous (hein, les mecs) ! Je ne sais pas ce qu’il me réserve, on sort ensemble du magasin, les vigiles font le tour, nous saluent. On se dirige vers PIZZA PINO pour déguster leurs célèbres pâtes aux palourdes. Les portions chez eux sont toujours énormes. On se régale. Maxime est de très bonne humeur, il m’avoue être soulagé et beaucoup moins sur les nerfs, ses clins d’œil sont assez révélateurs. Quant à moi, même 1 h après, mon popaul est à peine débandé en mode 3 quarts molle… plusieurs clients d’ailleurs ont maté mon entre jambe, des filles m’ont souri, des gars sont devenus rouge de jalousie… eh eh !
Les 5 étages de sa mansarde ont été vite escaladés, je suis un peu essoufflé, lui non. Il les a montés 4 à 4. Putain de mec ! Je suis impressionné. « Met toi à l’aise mec, tiens je sors des binouzes » je me déshabille, je me retrouve en boxer et teeshirt. Je m’installe sur le canapé-lit (clic-clac) les jambes bien écartées et sirote la Krick. Lui se met en boxer, s’étire de tout son long devant moi : son bulge éclate de grosseur. J’ai l’impression que ses abdos se repositionnent… Il me provoque clairement. Il me dit « tu ne vas pas me croire, je n’ai jamais baisé un cul, ma copine ne voulait pas vu la taille de mon engin, il parait que ça ne gêne pas les pédés, j’aimerais essayer » je manque de m’étouffer en buvant.
Je croise le même regard que tout à l’heure : celui d’un prédateur qui regarde sa proie… plutôt que de subir d’interminables négociations, je baisse mon boxer, retire mon teeshirt, sors un tube de gel et des capotes de mon sac à dos. Je me mets à genoux sur le canapé et lui dis « allez zy va mon hétéro préféré » « direct comme ça ? » « Nan mec prépare mon anus, masse la avec du gel, je vais m’ouvrir pour ta queue » « bah j’hésite, je ne suis pas péd quand même » je ne réponds pas et cambre davantage mon postérieur. Avec mes mains, j’écarte mes fesses, mettant à jour mon trou à bite… je me retourne sa queue est au maxi de sa taille, la mienne a retrouvé sa forme.
Il se met à lécher mon anus en gloussant « que c’est bon, pourquoi elle ne voulait pas cette petite conne » il s’y prend très bien. J’ai des frissons sur tout le corps, mes fesses sont devenues hyper sensibles, je l’encourage en gémissant. Sa longue langue me pénètre, lubrifie bien mon conduit ; il craque un sachet de gel, pousse le produit dedans. Il essaye de mettre une capote, il la craque, pareil avec la deuxième… je l’autorise à faire sans, s’il crache en dehors de mon cul. D’un coup de rein, il pénètre mon cul avec son gros gland. Je souffle comme une femme enceinte « ça va, je ne te fais pas trop mal ?, putain que tu es serré, c’est délicieux pour ma bite, je peux y aller ? » il s’engage jusqu’au fond de mes entrailles, ses lourdes couilles frappent mon scrotum. « bon allez je te baise, trop envie » s’en suit une baise académique, puissante sur toute la longueur de sa teube, dans toutes les positions, debout contre moi, sur le dos une jambe levée, les jambes écartelées… j’ai l’impression que sa queue grandit en permanence… il est puissant, très endurant, je kiffe mater le jeu de ses muscles quand il me bourrine, il remet du gel plusieurs fois. J’ai souvent les yeux fermés, quand je les rouvre, il me sourit, très dominateur, fier de sa force, fier de son membre. « Putain comme c’est bon, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas baisé, m’en fous que tu sois un homme, tes trous sont merveilleux ». Je suis moins endurant, il ne veut pas toucher ma bite, alors je me branle 3 fois et explose sur les poils de mon ventre. Un jet l’atteint même en plein visage. Il s’essuie d’un revers de main. Il se retire d’un coup et asperge mon corps en hurlant. « merci Bastien, je t’aiiiime… » Il déplie le clic-clac, s’allonge essoufflé à côté de moi et me câline comme pour me remercier. Comme pour amadouer sa proie. « Putain comme c’est bon un cul de mec ! Avec toi je n’ai pas eu du mal à bander… on a tous les deux un très bon feeling… tu passes le weekend avec moi ? » il m’a passé du linge de rechange…
Alors que je rêvais, on farfouille dans la serrure, c’est son ancienne copine qui entre. Elle est super mignonne, elle me demande ce que je fais dans le lit de son ex… « Ben euh… vous voyez bien… » Maxime sort des toilettes à poil, lui dit « salut »… elle est super gênée, elle prend ce qu’elle était venue chercher et lâche énervée « bon j’avais un espoir de récupérer mon mec, je vois que je suis déjà remplacée, par un type en plus, mon mec est une fiotte, dans ces conditions je te rends ta clé, petit pédé de merde… » Et elle part en claquant la porte. Maxime éclate de rire et dit « dommage on aurait pu faire un plan à trois… quelle conne, mais quelle conne cette greluche ! toi tu restes avec moi, ton petit cul est bien plus valorisant pour ma queue que sa chatte pourrie. Et tu suces dix fois mieux qu’elle, mais quelle conne !... Lundi on fera le papa Noël ensemble, je ne veux plus te quitter… je crois que je suis tombé amoureux. Je suis un hétéro mutant gay, mdr ».
C’est ainsi qu’on est resté ensemble jusqu’aux vacances d’été, je l’ai même pris un matin, une seule fois, il a tellement eu mal avec ma grosse teube qu’on n’a jamais recommencé. Sa queue, elle, est imprimée dans mon adn, mon fourreau la connait bien maintenant, il la serre jusqu’à la jouissance, il hurle toujours autant en explosant. Ce mec-là m’aime vraiment, son virage de cuti a été bien compris par son entourage, toujours pas par son ex qui lui envoie régulièrement des textos d’insultes, elle est en dépression.
Je suis toujours aussi bien quand je me blottis, nu, contre lui. Il me rassure, je suis son mec et j’aime bien. Aujourd’hui il est en Australie et il veut qu’on finisse notre vie ensemble…
Que dois-je faire d’après vous ?
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios.
LE7
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