Me présente Bastien, 45 ans 178 cm 90kg petit instrument, passif un peu ventru. J’ai habitude d’aller à un coin gay à côté de Valence au barrage de la Roche de Glun. Pour proposer des fesses accueillantes. La semaine dernière un grand gars, 35 ans environ 2 m, aux oreilles décollées, mais charmant comme tout, m’aborde. Il dit aimer les nounours murs.
On s’isole il se colle à moi et prend possession de ma bouche. Sa langue puissante explore toute ma bouche, j’en ai des étoiles dans les yeux. Son corps collé à moi m’impose la forme d’une teub assez énorme qui m’inquiète un peu. Je plonge ma main dans son short pour évaluer la bête. Je n’arrive pas à en faire le tour, elle palpite littéralement et elle produit une mouille importante. Mon partenaire pétrit mes fesses et insinue un doigt sur ma rosette. Son geste est viril, il mouille régulièrement son doigt pour faciliter l’intromission. Je me retourne et me cambre outrageusement genre lope à dispo. Il se baisse et lèche mon trou. Sa langue puissante et pointue pénètre comme une petite queue mon conduit. Un mateur qui observait à 2 m s’approche et prend possession de ma bouche avec sa langue. C’est un rebeu en survêt qui ne cache rien de son anatomie imposante. Une tâche révèle une excitation certaine.
Pendant ce temps-là dans mes fesses le grand mec introduit 3 doigts pour élargir sa future maison… j’entends un sachet qu’on déchire, sa queue cogne contre mes cuisses, elle doit bien faire les 24 cm, de la mouille se dépose un peu partout puis je sens qu’il encapuchonne. Il se penche vers moi et me dit doucement « penche-toi mon chéri ». Avant il me gaze au poppers. L’arabe de devant appuie sur mes épaules et colle ma tête sur son zob. Derrière il a entrepris la pénétration : son énorme gland a du mal à passer, je gémis très fort, la queue du rebeu entre dans ma gorge, j’ai l’impression d’étouffer… le gland réussit à passer mes sphincters… la tête me tourne. Devant le mec est compréhensif et ressort sa grosse queue. Il m’insulte salle chienne tu vas être déchiré par le beau céfran… l’autre ressort un peu sa queue et pénètre plus loin, ses couilles commencent à taper mon cul de plus en plus. Je me sens investit, dévasté, dilaté, rempli… puis il me dit à l’oreille c’est bon tu me laisses la place et d’un coup m’enfonce toute sa queue jusqu’aux couilles. Je hurle. L’arabe me met sa main sur ma bouche. Et biffle mon visage. J’ai un sentiment d’être une pute à jus, une lope, la chose de deux mecs bien montés. Le grand mec avait pausé 1 minute, il ressort entièrement sa queue mets du gel et me re-pénètre d’un coup à fond jusqu’aux couilles, s’en suit un pilonnage de mon anus qui bien ouvert réclame d’avantage… je prends un pied inimaginable… l’arabe dit qu’il veut sa part. alors mon grand mec décule et s’allonge au sol. Il m’oblige à m’empaler face à lui. Sa queue palpite dans mon cul, je prends possession de sa bouche. Je ne suis que jouissance. Le rebeu s’accroupit derrière moi et pose son zob sur mon trou et tente une pénétration. Il sort une fiole de poppers et me gaze 6 fois. J’ai l’impression que mon cul s’ouvre d’une manière béante et je sens son gros sexe qui vient longer mon premier amant. La sensation est extraordinaire. 3 mecs nous entourent la queue à l’air. Puis les deux bougent dans mon cul en alternance. Je me sens déchiré et encore plus dévasté. Sans me toucher, la tête en arrière sur mon beau rebeu, j’hurle ma jouissance 4 jets de sperme atterrissent sur les pecs de mon bomec. Un atteint ses yeux. Les contractions de mon anus précipitent leur jouissance, le sens leur sexe remplir la capote. Ils grognent virilement. On reste comme ça couchés au sol, le rebeu sur moi qui écrase mon beau grand mâle. Leurs queues dégonflent lentement, et sortent de mon anus. Les voyeurs entrent leurs doigts pour tester l’élasticité.
Un des voyeurs baraqué s’allonge au sol, les deux autres me portent pour m’assoir sur sa grosse queue. Ils m’allongent sur lui… je sens un énorme sexe se frayer un passage pour une autre double pénétration… un peu rassasié je me laisse faire sans apprécier des masses, mes deux premiers amants se sont rhabillés et me chambrent sur cette nouvelle baise. Le rebeu continue ses insultes. Le 3e voyeur a une très longue queue plutôt fine, il discute avec eux et me gaze encore… les pilonnages s’arrêtent, et je sens un sexe qui essaye une triple pénétration. Je panique et crains la déchirure. Exploit je sens cette nouvelle queue faire sa place. Les trois gars gémissent fort. Moi je fais un petit malaise de temps de bonheur et ma queue coule sans arrêt. Ils ne tardent pas à éjaculer, je sens des vagues de sperme dans mon cul, je réalise qu’ils m’ont baisé sans capote. Mes deux premiers amants sont partis. Le 2e et 3e ont vite déculés et partent discrètement. Seul reste en moi celui sur lequel je suis allongé qui ne débande pas. Il me serre fort dans ses bras très velus. Ses couilles sont très poisseuses de tout ce sperme. Il se retire me place sur le dos me pénètre à nouveau mes jambes sur ses épaules je ne sens que sa grosse bite qui fait des flocs indécents. J’ai fermé les yeux. Sa puissance m’extrait mes dernières gouttes de jus. Il jouit dans un hurlement ventral, sa queue a doublé de volume en moi. Il tombe à côté de moi. On est tout seul. Je ne sens plus mon anus dilaté à l’extrême qui peine à se refermer. Gentiment avec des lingettes il entreprend un nettoyage, me demande de pousser pour faire sortir tout le jus mélangé. C’est un peu au-dessus de mes forces.
Il m’aide à me relever. Me rhabille. J’ai du mal à marcher, mais je suis hyper repu et satisfait. Il me dit que les deux autres mecs il les connait et sont clean… pour l’instant je cuve. Je rentre dans ma voiture et m’endors de suite. 3 heures plus tard, j’émerge la bouche pâteuse, mon cul me fait mal, mon pantalon est tâché. J’ai du mal à passer les vitesses, mais je réussis à rentrer chez moi. La semaine prochaine je remettrai ça…
J’espère que cette fiction vous aura plu. Dans la vie de tous les jours protégez-vous.
LE7
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