Au parc

Non rassurez vous rien avec les enfants jamais, dieu m’en préserve… plutôt avec Les papas voire certains grands papa…

Cet après midi je garde ma petite fille, que j’emmène au parc pour faire de la balançoire, du toboggan bref des activités sympas. Mon fils viendra la chercher directement au parc, d’ailleurs le voilà qui arrive. Comme d’habitude ma petite fille pleure quand elle me quitte, je me retrouve seul sur mon banc. Il n’y a que des papas aujourd’hui au parc, trentenaires, tous barbus, tous minces et avec de gros bulges.

Il est 17 heures il ne reste qu’un papa avec son petit garçon. Une jolie dame entre dans le parc, discute avec le monsieur, puis elle part avec le petit, le gars se retrouve seul et il vient s’asseoir à coté de moi.

« A chaque fois j’ai envie de pleurer quand mon fils part avec sa mère, on est séparés, elle a la garde du petit, c’est trop injuste » me dit-il des sanglots dans la voix.

Le mec est mince, assez velu, son panta-court révèle un gros paquet, ses cuisses poilues appellent mes mains, mais je n’en ferai rien, je suis respectueux. Il a moins de 30 ans c’est sûr. Ses biceps jouent bien à se gonfler, il étend ses jambes, mets ses bras en arrière, il se déplie, son ventre se creuse, accentuant encore plus la bosse et la forme de sa teub.

Je lui réponds une banalité « oui ce sont souvent les mamans qui récupèrent la garde des petits »

« Elle s’est séparée de moi car elle m’a surpris en train de sucer mon cousin au mariage de son frère, je suis bi et je m’étais marié pour les convenances, pour mes parents, pour le petit qui allait naitre. »

« Et tu fais quoi ce soir ? » je m’étonne de mon côté direct, mais qu’est-ce qui me prends ?

Il pose sa main sur ma cuisse, il m’avoue qu’il est abstinent depuis 3 mois, et qu’il a envie de rompre cet engagement… à cause d’une aventure sans lendemain qu’il a eu et qui la laissé meurtri. C’était un gars de son âge magnifique en qui il avait fondé des espoirs de couple et qui s’était moqué de lui après avoir eu plusieurs plans.

Ses yeux sont un peu rouges, sa queue a pris du volume et barre sa braguette.

« Tu me plais beaucoup, j’ai envie de rompre mon engagement d’abstinence avec toi…, je suis sûr que tu es gay, je t’ai vu mater tous les mecs, surtout leur bulge. Hein c’est vrai »

On est là tous les deux sur un banc dans un parc, avec une demie molle chacun, j’ai envie de répondre à ses avances, mais je m’interroge : ça se voit tant que ça quand je mate un mec…

« Oui c’est vrai je suis de la paroisse, et beaucoup de mecs ici m’avaient très émoustillés. Surtout toi avec tes poils bien noirs et ce gros paquet. Si tu veux viens chez moi j’habite à 100m… on dinera ensemble, j’ai un reste de poulet et de gratin dauphinois, tu as des kpots ? moi j’ai du gel »

« J’en ai dans ma voiture, on s’attend à l’entrée du parc… »

Quand on monte l’escalier, il est derrière moi et il pose régulièrement un doigt entre mes fesses. Cet attouchement me fait frissonner, je me retourne, il bande a fond maintenant, sa queue tend son short vers le haut, et ça a l’air très gros !

J’ai 45 ans il en a 28, il s’en fout, il aime mon cul, il veut se vider aujourd’hui… on va direct dans la chambre, on ne tire pas les rideaux, mon vis-à-vis est chez lui, c’est un beau mec qui est souvent à poil chez lui.

Il m’assoie sur le lit et face à moi il se déshabille lentement. Sa chemise tombée révèle un torse puissant très velu, jusqu’au pubis, il retire ses chaussures, et me demande de retirer son short. Je rame un peu avec son bouton, mais ça y est je descends son short, son slip est déformé par une énorme bite tendue vers le haut, je lèche toute la longueur de sa queue, sa grosse veine palpite… je retire délicatement son slip, son sexe m’explose au visage, ses couilles pendent, elles sont très grosses, je les soupèse, ce contact lui fait rejeter sa tête en arrière.

Il pose son gland sur mon cou, et dépose une grande quantité de mouille, je penche ma tête, fais une sorte de fourreau qui branle son gros membre. C’est très érotique, la peau du cou est super sensible, vous allez kiffer chers lecteurs, vous me direz. Alors Oui c’est un monster et il va me baiser. 25X7 je vais déguster…

Déception il ne veut pas que je le suce, il a peur de partir d’un coup. Ce mâle est puissant, il me retourne, il enduit mon orifice de gel, il m’insulte, il me reproche de lui faire rompre son abstinence, mais qu’il va se venger en me détruisant mon cul : « je vais te le ravager, je vais te faire passer l’envie de mater les mecs… petite salope »

J’ai hâte qu’il me pénètre, j’ai envie d’être à lui, envie qu’il me pilonne, qu’il me montre qui est le patron. Je vérifie avec la main qu’il a mis une capote, c’est une capote spéciale avec des petites bosses pour accentuer le plaisir.

Il me pose contre le mur, il me met face au mur, je sens sa grosse queue taper derrière mes cuisses, je suis un peu inquiet. Il me cambre au max, pose son gland contre ma rosette et en saisissant mes hanches il m’investit d’un coup. Je hurle ma douleur, il prend mon cou pour m’étouffer, du coup je n’ai plus mal… je sens ses couilles, il n’attend pas que la douleur s’en aille et il me baise de tout le long de sa queue. Je commence à aimer son pilonnage, d’autant qu’il claque bien mon cul et que ses couilles remontent taper les miennes. Je me cambre plus façon salope, et tire ses hanches vers moi, j’en veux davantage.

Mon cul chauffe à mort, je rajoute du gel, ça accélère ses coups de boutoirs, il ne semble pas vouloir juter, il est très endurant, ça fait un quart d’heure qu’il me baise, il me prévient ça va venir… il me retourne face à lui, me fait asseoir, retire la capote et hurle : ce sont de véritables jets de sperme qui m’aspergent, j’ai le visage et les cheveux recouverts, son jus sent fort, il tombe sur le lit, son gland lâche encore un léger filet de jus. Ses cuisses sont maculées de traces blanches, il souffle fort, encore en mode orgasme.

Je vais me passer la tête sous le jet d’eau, mon cul ne se referme pas, j’ai du mal à marcher. Je me sèche et m’allonge à côté de lui, une jambe sur les siennes, ma tête sur son épaule, ma main sur ses abdos. Il se saisit de ma queue, il fait deux pressions et j’explose à mon tour, bah que deux jets bien minables.

Il pousse ma tête sur son ventre, sa queue entre dans ma bouche, elle sent fort le mâle, elle est visqueuse, je le suce comme je peux, un peu écœuré, elle est bien droite, il pousse ma tête pour faire entrer sa queue dans ma gorge, je manque de vomir, mais j’aime cette domination, je suis son jouet, il se sert de moi pour vider tout son stock de jus. Au bout de 5 minutes, il souffle fort et m’insémine directement dans la gorge. Il me met un doigt dans l’anus et me travaille mon cul, comme s’il en avait encore besoin…

Jamais deux sans trois, il me couche sur le ventre et m’encule doucement. Il est couché sur moi, tous ses poils me frottent, il me lèche le visage comme mon regretté chien, il tourne ma tête pour lécher l’autre profil… ce mec est lourd aussi je ne peux pas bouger, il gémit et se vide en moi, je sens clairement sa queue tressauter. Son jus fait un effet de miel dans mon conduit. Il me dit « je t’aime, merci mec… je te kiffe grave »

On s’est douché ensemble, je lui ai fait un shampooing sur son torse, on s’est recouché, dans la nuit il m’a encore pris, je me suis réveillé sous ses coups de hanche. Il me serrait fort dans ses bras, relié par sa queue, j’ai eu une jouissance super forte. Ma queue s’est libérée toute seule. Extrêmement fatigué, j’ai fait un petit malaise.

Dans la vie, protégez vous ne laissez pas le sida prendre votre vie

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